Vues: 592 Created: 2012.11.09 Mis à jour: 2012.11.09

Le stagiaire et la monitrice

Le stagiaire et la monitrice

Le stagiaire et la monitrice

Dans le cadre de mes études supérieures (si l'on veut), j'ai été contraint d'effectuer entre les deux années de formation, un stage pratique en entreprise, dans ma branche professionnelle, d'une durée minimale de 6 semaines.

Tant bien que mal, je réussis à décocher un stage sous la direction d'une tutrice ou d'une monitrice de stage, bien plus âgée que moi (je devais avoir 22/23 ans et elle, la bonne quarantaine). Cette personne que j'appellerai Mme V. était bien conservée pour son âge et très courtisée dans son service et dans ssociété, dont elle était l'une des têtes pensantes.

Mme V. m'appelait par mon prénom, me tutoyait et désirait la même chose en retour. Mais je n'ai jamais voulu : je n'étais là que pour 6 semaines, je n'avais nul besoin de nouer des amitiés avec des gens que je ne verrais sans doute plus jamais par la suite.

La première semaine de stage se déroula parfaitement : j'ai visité l'entreprise, ses services, ses capacités... Je devais faire fournir à l'université un rapport de stage qui comptait pour l'obtention du diplôme de fin d'année. Ce stage était donc fortement important.

A partir de la seconde semaine, je ne devais travailler que sous l'égide de Mme V., et me plier à ses ordres. J'occupais un bureau contigu au sien, et la porte de communication entre elle et moi restait toujours ouverte, sauf en cas de confidentialité.

Mme V. se faisait de plus en plus entreprenante, elle se rapprochait trop souvent, physiquement de moi. Elle avait le don de placer sa main sur l'une de mes jambes et de l'approcher trop près de mon sexe. Ce qui me gênait atrocement...

De son côté, quand elle venait me parler, elle s'asseyait sur le coin de mon bureau : et quand elle était en robe ou en jupe, elle s'amusait (c'est le mot) à croiser ou décroiser ses jambes, largement, pour me provoquer, m'attiser... Quand elle était en pantalon, elle mettait sa main sur son sexe, devant moi, se caressait à cet endroit.

Je ne savais plus où me mettre, ni quoi faire ! Je détournais mon regard, je ne voulais pas voir. Elle venait dans mon burerau, pour soi-disant, faire le point sur mon stage, pour me corriger, etc...

Un jour, elle a été plus loin : c'était vers le milieu de la 4ème semaine. Mme V. me convoque dans son bureau, dont elle ferme toutes les portes, après avoir pris soin de poser l'écriteau : ne pas déranger (en anglais aussi, beaucoup d'anglophones travaillaient ici).

Elle me fit assoire en face d'elle, et elle prit place sur son bureau, face à moi. J'avais ses jambes devant ma tête. Ce jour-là, Mme V. portait une jupe courte, mais très courte. A ma grande surprise, elle me demanda :

- Ouvre ton pantalon, je veux voir ce que tu as en-dessous.

- C'est hors de question, Mme V. Je suis là pour apprendre, pas pour autre chose.

- Tu ne peux pas sortir d'ici. Je ne t'ouvrirai la porte que si tu m'obéis.

J'ai quitté mon siège et j'ai voulu quitter le bureau : impossible. La porte était vérouillée, j'étais fait comme un rat.

- C'est moi qui ait la clé, me dit Mme V. Personne ne peut t'ouvrir. Quand je mets le pannonceau ne pas déranger sur la porte, personne n'entre. Même si c'est grave. On ne me dérangera pas.

- Qu'est-ce que voulez chez moi, Mme V. ? Qu'est-ce que je vous ai fait ?

- Rien. Je veux que tu m'obéisses, c'est tout !

J'ai finis par dire :

- Si y'a qu'ça pour vous faire plaisir...

J'ai ouvert la braguette de mon pantalon, qui est tombé à mes genoux, et, à en croire le regard lascif de Mme V., c'était ce qu'elle désirait.

Mais elle ne s'en tint pas là :

- Nous sommes à égalité, me dit Mme V. Je vais faire comme toi.

Et, surprise, Mme V. se débarassa de sa jupe, qu'elle laissa choir sur le sol.

Mme V. était maitenant en petite culotte, en dentelle noire, brodée et très jolie. Ca lui allait bien et quelque part, ça la rajeunissait.

Ca m'a surpris, mais j'ai quand même, profité du spectacle, je me suis rincé l'oeil, comme on dit !

Elle aussi, faut dire : elle n'arrêtait pas de me dévisager. Son regard était fixé sur mon slip. Elle guettait une réaction ou un érection, qui ne... venait pas.

Je me m'attendais pas du tout à une telle situation. Je me suis rhabillé.

- Je voudrais partir, dis-je à Mme V.

Un long silence suivit.

- Pourquoi si vite ? répliqua Mme V. Je ne te plais pas ?

- Là n'est pas la question, Mme V. Je... Je ne peux pas... Je n'ai pas été élevé comme ça... Pardon...

Mme V. descendit du bureau sur lequel elle était jonchée et revêtit sa jupe, qu'elle ajusta à sa taille de guèpe, et finit par m'ouvir la porte de son bureau, ce qui me permit de partir.

Pendant les deux autres semaines de stage, Mme V. me serrait toujours de près, se permettait de mettre ses mains sur mes fesses, ou sur mes parties, discrètement. Bien souvent, elle refermait son chemisier devant moi, ostensiblement, me laissant voir son soutien-gorge. D'autres fois, elle s'entretenait avec moi, la braguette ouverte, me laissant voir la couleur de sa culotte... Ou bien encore, elle m'appelait dans son bureau alors qu'elle était en train de réajuster son collant... Sans oublier les fois où elle faisait exprès de laisser dépasser la culotte de son pantalon !

Je m'en foutais, je n'allais pas rester ici, et j'ai fait contre mauvaise fortune bon coeur. J'ai tout accepté, et j'attendais avec impatience la fin de ce stage, qui se transforma en calvaire.

J'ai rédigé par la suite, mon rapport. Comme l'exigeait l'université, j'ai fait 4 exemplaires de ce rapport : un pour moi, un pour l'université, un pour l'entreprise et un dernier pour les professeurs devant qui j'allais passer ma soutenance.

Dans l'exemplaire remis à Mme V., je n'ai fait aucune mentions de ses actes. Par contre, dans celui que j'ai remis à mes profs, j'ai détaillé les attentions perticulères que Mme V. a eu à mon égard. J'en ai parlé à mes professeurs lors de la soutenance du rapport, ce qui les a à la fois amusé, et aussi choqué.

Cette entreprise a été classée sur la liste noire de celles suceptibles de recevoir des stagiaires dans le futur.

En effet, selon la qualité du stage, du formateur, de l'ambiance, l'université dirigeait ceux qui n'avaient pas pu trouver de stage, vers des entreprises sélectionnées par des anciens.

La mienne, inconnue alors de l'université, n'a plus reçu de stagiaire émanant d'elle.