Vues: 457 Created: 2012.09.11 Mis à jour: 2012.09.11

Premières aventures amoureuses

Premières aventures amoureuses

Premières aventures amoureuses

Mon éducation m'a longtemps éloigné du plaisir de la conquète féminine. Je dirais même que j'étais rétif à toute entreprise de séduction.

Mais, quand j'ai vu les jeunes de mon âge s'enticher de belles et jeunes femmes, j'ai eu envie de faire comme eux.

Hélas ! je suis allé de déception en déception, et dieu seul sait le nombre de rateau que j'ai pu prendre. Certes, dit-on, c'est en forgeant qu'on devient forgeron, mais devant la réussite des autres, je me remettais en question : pourquoi eux, et pas moi.

Pour toutes sortes de raisons, je suis resté sur des échecs amoureux. Je vais en raconter quelques uns.

L'ENTREPRENANTE

L'une d'elle s'appelait Brigitte. Elle était jolie, un peu enrobée et avait une poitrine volumineuse. Cette Brigitte m'a été présentée, un soir, dans un dîner de famille, et ma foi, elle et moi, nous étions assortis. Sauf que Brigitte était très entreprenante. Moi, timide : je rougissais à chacun de ses regards.

Après notre 3ème ou 4ème rendez-vous, j'ai raccompagné Brigitte chez elle. Elle ne conduisait pas, n'avait ni permis, ni véhicule, ni quelqu'un qui pourrait venir la chercher. Ce soir-là, je l'ai déposée au pied de son immeuble et elle m'a proposé de monter chez elle, ses parents n'étant pas présents.

Mais... j'ai refusé, trouvant que notre relation était encore trop récente pour tenter quelque chose.

Assise près de moi dans ma voiture, Brigitte s'approcha très près de moi, et j'ai senti une de ses mains se poser sur mon entrejambe. Elle avait ouvert ensuite les boutons de mon pantalon et y a introduit sa main. Elle me dit qu'elle avait le pouvoir de me combler de bonheur et d'amour, si seulement je le voulais.

Dans le même temps, elle me prit ma main droite et la plaça sur sa poitrine. J'ai pu tâter le tissu de son soutif, mais en fait, je faisais tout pour retirer ma main. Brigitte elle, faisait tout pour la laisser. Et, assez violemment, elle serra ma main très fort et la descendit dans sa culotte. J'ai du faire un effort surhumain pour arrêter son geste. Je n'ai donc pas été plus loin, je n'ai pas toucher son vagin, directement (mais à travers la culotte, oui !).

Brigitte s'en est allée, fâchée et on ne s'est plus revu.

L'INDIFFERENTE

Quelques temps plus tard, nouvelle connaissance en la personne d'Agnès, une blonde, cette fois, mais très timide. Encore plus que moi. Face à elle, j'étais une pipelette, je parlais plus qu'elle. Elle ne répondait que par des monosyllabes.

Nous nous sommes fréquentés un bon moment. Quand j'ai invité Agnès à passer à la chose, elle n'a pas refusé. Un simple oui, fut sa réponse.

Nous nous sommes retrouvés un jour chez elle, par convenance personnelle. Elle ne se sentait bien que dans sa chambre. Et, malgré mon désir fou d'elle, j'ai acquiesé à sa demande. Agnès s'assit sur son lit. Elle ne réagissait pas quand je l'ai déshabillée, méticuleusement. J'ai d'abord enlevé ses chaussures, puis son jean. Son jean était tellement près de sa peau, que la culotte est descendue un peu aussi, juste à la lisière des poils pubiens. Agnès n'a pas chercher à remonter sa culotte.

J'ai ouvert son chemisier, pas de réaction d'Agnès, d'une passivité déconcertante. Pour finir, j'ai découvert ses seins en lui dégrafant le soutif, et je l'ai mise toute nue en lui retirant sa culotte.

Une fois toute nue, elle s'est étendue sur son lit, bras ouvert, offrant son corps à mes yeux ébahis.

Je n'y tenais plus. J'ai prié alors Agnès de me déshabiller. A mon tour d'être mis à poil !

Agnès n'a pas voulu : elle m'a demandé de me déshabiller moi-même. Tout seul.

Ca m'a refroidit et la nuit d'amour ne fut pas aussi belle que je l'imaginais. Pendant nos ébats, Agnès n'a pas réagi, pas bronché... On dirait qu'elle subissait l'assaut plutôt que de le vivre.

LA BOURGEOISE

Autre aventure : dans le cadre de l'un de mes premiers emplois, une jeune femme tournait autour de moi et se nommait Pascale. Mes collègues m'ont assuré que je n'aurai aucune chance avec elle, qu'elle était trop bien pour moi... qu'on n'était pas du même monde, qu'elle est BCBG, ce qui n'est pas mon cas...

Finalement, nous avons pu sortir ensemble. Pascale était toujours très bien vêtue, mais ne se sentait pas d'attaque pour passer à l'acte. Certes, elle avait vécu d'autres histoires avant moi (je n'étais pas le premier) et avait acquis une certaine expérience en la matière. Elle avait dit que c'était elle qui choisirait le jour et l'heure pour faire la chose. Elle attendait des sentiments, de la passion, qui tardait à venir.

Le grand jour arriva. Pascale refusa que je la déshabille, elle voulait le faire elle-même.

Par contre, elle acceptait que je la regarde nue, lorsqu'elle aura tout enlevé. Mais je n'aurai le droit de la toucher, de l'approcher, que quand, à mon tour, je me retrouverai dans la même tenue qu'elle.

Sauf que Pascale ne voulaient pas qu'on se déshabille en même temps. Elle voulait prendre le temps de regarder avant de consommer. Et puis, qu'on la regarde aussi...

Lentement, Pascale retira ses effets et se retrouva en petite tenue, comme j'aime : des dessous en dentelle, rouge vif. Ils moulaient bien ses formes avantageuses et le soutif marquait le galbe de sa poitrine. De sa culotte assortie, rien ne dépassait : elle s'était épilée raisonablement quelques jours avant (elle me l'a dit). Ses sous-vêtements étaient fabriqués par une grande marque de lingerie, eu égard à son niveau social.

Puis, Pascale, installée lascivement sur un sofa, me demanda de me mettre dans la même tenue qu'elle, et de prendre le temps à me déshabiller.

J'enlève tout, un peut trop vite à son goût, et je m'apprêtais à virer mon slip. Pascale m'arrêta net, et me fit approcher d'elle. Je m'assieds sur le bord du lit, près d'elle, m'attendant à quelques caresses, bisous, calins ou autres douceurs de ce style...

Pascale poussa un cri d'effroi :

- C'est ça ce que tu mets en dessous ? C'est moche, c'est affreux. C'est quoi cette marque de slip ? T'as acheté ça où ? Au marché ?

Et d'un geste brusque, elle me pousse et me fait tomber du lit.

- Je ne fais pas l'amour avec quelqu'un qui ne s'est pas s'habiller, cria-t'elle en se recouvrant du drap de son lit.

Et elle me congédia. Elle m'a donné le dos pendant que je rhabillais.

Je n'ai pas demandé mon reste.

CAROLE-ANNE

Fort de ces expériences, je m'en suis servi à plusieurs reprises. Jusqu'au jour où j'ai rencontré ma compagne actuelle. Nous nous sommes promis de ne pas faire l'amour jusqu'à l'officialisation de notre union. Mais nous faisions d'autres choses.

Nous sommes partis en vacances tous les deux, elle et moi, dans un meublé. Personne ne nous surveillait, et nous aurions pu en faire des choses.

Nous avons tenus parole.

Mais...

Tous les soirs, avant de se coucher, je lui prodiguais des caresses intimes, à même la peau, ou par-dessus ses vêtements. Carole-Anne ne réagissait pas, me laissait faire.

J'ai essayé d'aller plus loin. J'ai voulu la surprendre, nue, dans sa douche, après la plage. La configuration de la salle de bains ne s'y prêtait pas. J'ai voulu la voir en train de s'habiller, peine perdue.

Un soir où nous étions couchés, j'ai tenté le tout pour le tout : j'ai mis ma main sur son ventre, la droite, et la gauche à la hauteur de sa poitrine, directement sur la peau. J'ai caressé ses seins et son ventre. Je voyais Carole-Anne s'agiter sous des spasmes et me laisser faire.

Je suis allé plus loin, encore : je lui baissé sa culotte, toute blache, je m'en souviens encore, et j'ai mis à l'air son trésor. Et comme cela ne me suffisais pas, j'ai fais valser sa chemise de nuit. C'était la première fois où je la voyais complètement nue.

Carole-Anne m'a laissé faire. J'étais maître à bord de son corps. Mais ce sentiment de supériorité que j'avais, j'ai voulu le vaincre.

Alors, je me suis complètement devêtu moi aussi, je l'ai forcée à me regarder. Elle n'avait jamais vu d'homme nu. Et à vrai dire, elle n'aimait pas trop ça. Je l'ai forcée, encore une fois, à me caresser. Mais elle le faisait les yeux fermés, ne voulant pas regarder un sexe d'homme.

Malgré le temps, c'est toujours comme ça aujourd'hui. Nos nuits d'amour, à l'année, se comptent sur les doigts d'une main. Carole-Anne a un dégoût de la chose, que je n'arrive pas à expliquer.

Aujourd'hui, je vis dans l'abstinence la plus totale. Je me sens frustré, privé, puni, pour une faute que je n'ai pas commise.

Comments

clyso Il ya 12 ans