Elle se tenait debout, le regard baissé vers le sol. Il lui était presque impossible de bouger un pied. Les instructions qu’elle a reçues se devaient d’être respectées dans les moindres détails.

Une 1h30 avant mon arrivée, tu prendras une douche. L’épilation de tes aisselles, de tes jambes mais aussi de ton intimité devra être impeccable. Un maquillage simple, tes lèvres colorées d’un rouge soutenu. Tu porteras un chemisier, une simple jupe courte, des bas auto-fixant et des talons. Les sous-vêtements sont interdits. Dans ton anus tu auras pris soin d'introduire délicatement ton rosebud.

Une fois prête tu te placeras jambes légèrement écartées au centre de la pièce face au miroir.

Étant un fait, que ces consignes se devaient d’être respectées à la lettre et ce malgré son caractère de soumise insoumise, elle se retrouva face à ce miroir, n’osant pas se regarder.

………De sa main posée sur la poignée, il fit un quart de tour et il pénétra dans la pièce. Il était ravi qu’elle ait respecté ses instructions. Dans un coin il déposa son sac à malice. Il ôta son manteau qu’il accrocha au porte manteau.

Elle était glacée de froid mais en même temps des frissons lui labouraient le ventre. Elle se sentait si vulnérable si fragile. Elle se sentait mouillée entre les lèvres de sa vulve et il lui était impossible de fermer ce robinet interne.

…….. De sa main et d’une maîtrise assurée il sorti sa cravache, martinet, padle, mais aussi les jouets intimes dont il disposait. Celui qu’il préférait de tous c’était son fairy. Il les déposa dans un ordre bien précis.

Avançant pas à pas vers elle et arrivée à sa hauteur, il lui releva la tête, l’index sous son menton, sa main dans son cou. Ses yeux baissés tentaient désespérément de le regarder mais elle savait qu’elle ne pouvait enfreindre ses règles sans une autorisation verbale.

Sa cravache dans l’autre , il commença à la faire glisser sur son corps comme lui en avait décidé. De ses seins vers son intimité en glissant vers le creux de ses reins pour remonter vers le cou.

Cette répétition la mettait dans une excitation flamboyante. Elle se mordait les lèvres de sa bouche. À la voir, à la sentir il savait en jouer de son corps sans prononcer une parole.

Il l’avait en sa possession. Elle devenait le temps d’un moment sa prisonnière dont il pourrait en abuser comme bon lui semble. Il déposa sa cravache sur un meuble situé à quelques mètres de lui. Il revient vers elle, la contourna deux fois en glissant les mains sur sa poitrine, son ventre, son dos et se positionna face à elle. Il aimait particulièrement ce moment, celui où il allait la dénuder entièrement.

………De sa main, un à un il déboutonna les boutons de son chemisier mais en commençant par le dernier juste pour qu’elle apprécie son côté pervers. Ses seins pointaient et quand enfin ils furent à l’air libre, il lui enleva son chemisier.

Fière de sa façon dont il s’y prenait, il lui restait cette jupe à enlever. Mais pas tout de suite pas trop vite.

………De sa main il soulevait ce morceau de tissu et ne pouvait s’empêcher de caresser le haut de ses jambes, remontant par la même occasion dans son entrejambe et effleurant ses lèvres presque fermées. Il fit alors un demi-tour et se plaça face à ce dos dénudé. Son souffle lui parcourait sa nuque.

……….De sa main il souleva sa jupe et glissa ses doigts sur ses jambes en remontant vers son anus. D’une voix ferme mais rassurante, il lui demanda de se pencher en avant.

Il prit alors en main la tête du Rosebud et lui ôta avec une infinie délicatesse pour ne pas la blesser. Elle émit alors un gémissement de plaisir.

………..De sa main il fît descendre la tirette de sa jupe qui tomba enfin à ses pieds. Il l’emmena alors vers le fauteuil. Debout et droite, elle plaça ses mains croisées sur sa nuque. Il prit son martinet et commença à lui chauffer le dos, les fesses en augmentant avec une intensité progressive.

Le code elle l’avait mémorisé au cas où quelque chose se passerait mal. Elle sentait les coups de martinet qui augmentaient en intensité mais aussi cette chaleur en elle qui lui procurait du plaisir.

Et ses doigts qui par moment vérifiaient son humidité en s’introduisant dans sa vulve et ressortant pour aller ensuite mouiller sa rondelle et la pénétrer de ses doigts.

Enchanté de tout cela il la mit couchée sur le ventre dans le fauteuil.

……………. De sa main il fouilla sa poche gauche, il en sorti un masque et le fixa autour de ses yeux. Ensuite il se dirigea vers son sac en sorti une belle poire de 750 millilitres. Elle ne s’imaginait même pas le temps d’une seconde ce qu’il lui préparait… bien qu'ils en aient parlé ensemble.

C’est ainsi qu’il la savait très réticente par crainte mais en aucune opposition face à son premier lavement érotique.

Il se dirigea alors vers le robinet de la cuisine. L’eau devait avoir une certaine température pour l’introduire dans la poire.

Une fois celle -ci remplie, il retourna vers elle. Il glissa ses doigts le long de sa colonne vertébrale en commençant par le cou pour arriver à son anus et le caresser doucement.

Tout en silence, il saisit discrètement une petite boîte renfermant un suppositoire tendre à la glycérine mais aussi un petit tube de gel lubrifiant et gras qu’il avait pris soin de placer dans son sac à malice.

……… De sa main, il se saisit du suppositoire et commença à le faire pénétrer dans son anus. Elle s’agitait mais l’ordre de ne pas bouger arriva directement. Pervers, son plaisir ’était aussi de le ressortir de son anus et à nouveau recommencer et voir sa rondelle se dilater autour de celui -ci . Et enfin le lui enfoncer en profondeur et n’hésitant pas à faire rentrer son majeur pour s’assurer de sa bonne pénétration.

Elle le maudissait mais elle savait, qu’elle avait aussi aimé cela, c’était juste ainsi pour ne pas s’en avouer.

il dévissa doucement le bouchon du tube de lubrifiant.

………..De sa main, il écarta alors ses fesses et en fît tomber quelques gouttes sur sa rondelle.

De son majeur il fit pénétrer ce gel huileux dans son anus mais en entendant à nouveau ce gémissement il ne put que constater son plaisir.

Il se saisit alors du gel, en versa à nouveau sur son orifice et un second doigt pénétra son anus.

Doucement il recommença son opération d’introduction car il la désirait souple et préparée à recevoir la canule de sa poire.

Ses gémissements se faisaient de plus en plus audibles tant elle savourait le plaisir qu’il lui donnait.

A un moment donné il retira ses doigts et fît rentrer dans son anus la longue tige de cette poire.

Là ce fut un cri qui se fit entendre. Il lui ordonna qu’elle ne pouvait bouger sous peine de se voir placer des menottes aux mains mais aussi aux chevilles.

Elle comprit de suite ce qu’il allait arriver. Ça y est, elle allait découvrir ce que c’est qu’un lavement.

Il savait qu’elle devait avoir une certaine mobilité pour pouvoir aller se soulager, le plus rapidement possible quand il en aurait fini avec elle.

En pressant sur la poire elle sentait cette eau envahir son ventre. Ses yeux se mouillaient d'une certaine honte .il la savait paniquée et entre deux pressions il n’hésitait pas à vérifier son ventre ou caresser son clitoris et même à introduire un doigt, deux doigts, trois doigts dans son vagin. Et par la même occasion vérifier qu’elle continuait à mouiller. Étant donné que la poire était presque vide il la retira de son anus.

Elle eut alors pour ordre de ne pas bouger mais aussi d’empêcher que ce liquide ne s’échappe de son anus.

Il alla de nouveau la remplir en se disant que 1 l et demi pour une première fois c’était suffisant.

À nouveau et après avoir enduit de gel l’embout il introduisit à nouveau la canule dans son orifice.

Vicieux il recommença à nouveau son petit jeu et le fait , de faire durer ce supplice de l’eau , cela permettait aussi au suppositoire de fondre et de bien travailler.

Quand il arriva à la fin il retira la canule doucement et pour qu’elle ne commence pas à se vider par un réflexe incontrôlable.

………….De sa main, il lui plaça directement un plug anal munit d’une poire et la gonfla. Sadique il l’était aussi dans son esprit. Il l’aida à se relever et la conduisit aux toilettes.

Elle ne savait plus quoi penser..

Qui va faire dégonfler ce plug et l'enlever. Va t’il ou pas la laisser faire, la laisser seule ou rester devant elle, à la regarder se vider.

Tout dans sa tête se mélangeait. Cette pudeur où se situait-elle ? Qu’est ce qui était maintenant le plus important ?

Le soulagement ou cette pudeur incontrôlable. Elle savait qu’elle serait éduquée de cette façon pour la libérer de ses pensées.

Qu'un jour elle arriverait à faire pipi sans devoir fermer à clé la porte et qu’à tout moment il pourrait l’ouvrir pour la regarder.

Aujourd’hui elle avait commencé sa première séance d’éducation.

N’oublions pas qu’il était pervers. Il la fit pencher les mains posées sur la cuvette des toilettes. Il dégonfla le plug et le sorti de son anus. Là il l’a retourna, lui enleva le masque et la fit s'assoir sur la toilette.

Elle mit ses mains sur son visage terrifié. Cette eau commença à s'échapper de son anus. La pression au niveau du ventre commençait à tomber.

……………De sa main , il lui fit retirer les siennes de son visage et lui ordonna de le regarder. Il caressait doucement ses joues pour la rassurer, l’apaiser.

Satisfait de son jeu il sortit des toilettes et alla se servir un verre dans le bar. Un bon petit whisky qu’il adorait boire doucement sans oublier de lui en préparer un pour quand elle sortirait de là , en se sentant vidée mais aussi bien propre.

Au bout de 10 Minutes elle vient vers lui . Il l’autorisa à s’asseoir à ses pieds lui tendit son verre et la caressa doucement dans le cou en lui rappelant d'écarter ses jambes repliées sur son ventre.

Quoi de plus savoureux qu’un bon whisky et une chatte ouverte à ses yeux.

Quand leur verre fut terminé, son plaisir à elle ou son supplice bonheur était loin d’être fini.

On repartait pour un deuxième tour.

Il lui ordonna de se lever et de se placer à travers de ses jambes.

………De sa main puissante mais dans un gant de velours il commença à lui claquer les fesses doucement en alternant la droite et la gauche.

Avant chaque nouveau degré d’intensité il lui fourrait un doigt dans la chatte et un autre dans son anus tout propre.

Quand la couleur rouge de ses fesses fut à son goût il lui ordonna de se lever. Il déboutonna sa chemise noire, enleva son pantalon. Il lui ordonna de se mettre à 4 pattes pour le sucer.

Active sur sa queue, celle -ci devient vite raide. Il baisait sa bouche. Lui pressant le cou, il s’enfonçait dans sa gorge caressant sa luette. Lui coupant la respiration. Elle bavait, elle détestait ça autant qu’elle adorait être baisée de cette façon.

Il la baisait encore et encore. Mais il fallait se calmer, jouer encore et encore. L’épuiser jusqu’à ne plus en pouvoir, en savoir.

Il se retira de cette bouche et se leva. Il lui ordonna de se coucher sur le dos et d’écarter ses jambes relevées . Il prit son gel. Lui en versa généreusement sur la chatte cette fois-ci ouverte et sur son anus.

Il prit deux godes, le premier, le plus fin des deux et commença à dilater son anus. Doucement il se faufilait en elle. Quand elle fut profondément pénétré.

Il prit le deuxième gode plus gros afin que son vagin fut bien rempli.

……… De sa main il pouvait en jouer de l’un et de l’autre et avec ses doigts de l’autre main lui faire vibrer son clitoris. Ses gémissements se transformaient en râle. Elle décollait doucement.

Il lui enleva ses deux godes et souhaitait lui fister le vagin. Il reversa du gel dans sa fente mais aussi sur sa main.

Doigts par doigt il commença à envahir son vagin, à la dilater, à la fouiller. On devait arriver à la partie la plus difficile mais pas impossible. Le passage des os situé au milieu de la main. C’est aussi en tournant la main dans un sens puis dans l’autre que çà se dilate.

Elle était passée car c’était bien lubrifié. Toute la main massait l’intérieur de son ventre. Elle s’agitait, devenait folle. Cette folle envie de jouir

Il retira sa main la releva et la prit dans ses bras pour la rassurer, la calmer. Une fois cette tension descendue de quelques de degrés il lui ordonna de se pencher en avant, les mains sur le fauteuil. Il lui fourra sa queue raide dans la chatte, la baisa pendant plusieurs minutes.

Il ressorti sa queue et lui pénétra l’anus doucement pour la dilater à souhait à son sexe. Il rentra en profondeur jusqu’à ses couilles et recommença ses vas-et-vient. Ses râles de jouissance se faisaient entendre et l’excitaient. Sa jouissance à lui arriva et il se vida sur son anus.

Elle pensait qu’il en avait fini avec elle mais c’était mal penser.

Il lui a avait dit qu’elle serait vidée de toutes ses forces.

Elle dû à nouveau se coucher dans sa position favorite, les jambes bien écartées. Il prit alors le fairy , son minimoys comme il l’appelle, son destructeur de clitoris pour certains.

Il commença à encercler son petit bijou avec une vibration confortable mais son but était d’augmenter la vitesse. A un moment donné, arriva son premier orgasme suivi d’un second et d’un troisième. Elle avait décollé en route pour la lune. Il introduisit 3 doigts dans sa chatte et s’activait à lui caresser l’intérieur du vagin. Un jet important sorti de sa chatte, le sperme sortait de son anus.

Elle jouissait encore et encore à n’en plus finir. Ses doigts s’agitaient dans une marée de son jus. Il recommença et elle recommença à jouir, à gicler. Il attendait juste son code.

Dans un ultime et dernier cri, elle cria rouge. Il s’arrêtera et elle continua encore à vibrer.

…………De sa main Il la caressa en douceur, posa une couverture sur elle. La rassura pour la calmer et des larmes de bonheur de plaisir coulaient sur ses joues

Une demi-heure pour la faire revenir sur terre. Lui servir un jus de fruit, lui donner une collation. La remettre debout, l’embrasser. Reprendre des forces , se servir un autre verre, sortir fumer une cigarette.

Assise à terre respirer l’air frais. Passer à la douche se faire belle toute nue. Se couvrir d’un doux peignoir. Descendre et voir cette table garnie, lui donner un tendre baiser, le remercier de sa présence, de son soutien.

Manger, parler juste elle et lui. Ce soir ce sera simplement un tendre câlin avant de s’endormir dans les bras de l’un et de l’autre....

End