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Vues: 1582 Created: 2013.04.03 Mis à jour: 2013.04.03

Cours privé

Cours privé

Cours privé

Le premier trimestre se termine, les vacances de Noël approche, et les parents sont convoqués à une réunion avec les professeurs pour faire le bilan du début de l’année. A la fin de la réunion, le directeur présente un homme d’un certain âge. Il dit que M. Hubert est un enseignant à la retraite désirant reprendre du service. Il pourra prendre vingts élèves en difficultés, sur la base du volontariat, deux heures par semaine pour des cours particuliers. Les cours auront lieu dans une classe aménagée à l’extérieur à quelques pas du lycée. Les parents de Caroline sont tout de suite emballés, et malgré le refus de leur fille ils l’inscrivent, en lui disant que ses résultats scolaires seront nettement améliorés par la suite.

Quand le prof prend la parole, c’est le coup de massue pour Caroline. Ce vieux veut tenir sa classe d’une main de maitre, il semble très sévère, et pour couronner le tout, les cours seront donnés tous les vendredi soir après le lycée, de 18 heure à 20 heure. Malgré tout, la classe est vite remplie. Caroline se sent seule entourée de seulement deux filles, qu’elle ne connait même pas.

Dès la rentrée de janvier,

Caroline doit se rendre aux cours particuliers. Elle comprend rapidement, ce que veut dire discipline avec ce prof. Les élèves doivent rester debout en attendant qu’il arrive, il ne supporte pas les bavardages… mais il accorde une grande confiance aux élèves et tout se passe bien à partir du moment où les élèves travaillent.

Tout se passe bien jusqu’à fin février. Sauf que pour Caroline, les résultats ne s’améliorent pas ce qui éveille les doutes du professeur sur son travail.

Ce vendredi là, elle doit sortir. Son copain veindra la chercher à la sortie du cours pour aller directement à la fête. Elle quitte rapidement le lycée pour retourner chez elle afin de se préparer pour la fête. Elle prend rapidement une douche, se maquille légèrement, et enfile les vêtements qu’elle avait préparé le matin même.

En arrivant en classe, les regards et les commentaires des garçons lui font regretter son jeans habituel.

Elle n’est pas habituée à être en jupe, et appréhende de devoir enlever son manteau car son décolleté va sûrement attirer les regards.

Le prof arrive

et salue les élèves et leur fait signe de s’assoir. Le bruit des chaises qui trainent par terre couvre presque la voix du prof qui demande à Caroline de venir au tableau. Caroline se dit que ce n’est pas le jour, mais elle doit y aller. Elle doit corriger l’exercice que le prof donne à chaque fin de cours.

Caroline éprouve des difficultés à faire l’exercice, le prof et les élèves sont obligés de l’aider.

- Caroline as-tu fait ton exercice pour aujourd’hui ?

- Oui je l’ai fait hier soir, mais là, je ne me rapelle plus…

Le directeur insiste :

- Tu l’as fait dans ton cahier d’exercices ?

- Oui, bien sûr…

- Alors va me le chercher, que je regarde les fautes que tu as fais !

Caroline hésite et se dirige vers son sac, elle cherche un moment, sachant pertinement qu’il n’était pas dans son sac et dit qu’elle l’a sûrement oublier chez elle.

Les mains dans le dos, le professeur lui répond que ce n’est pas grave et lui dit de finir l’exercice au tableau. Quand elle monte sur l’estrade, elle remarque avec horreur que le prof teint dans ses mains son cahier d’exercices. Caroline palit, tandis que le prof garde son calme.

- Je pense que tu te fous de moi Caroline ! Non seulement, tu me dis que tu as fait ton exercice hier soir et que tu as oublié ton cahier chez toi, alors que c’est moi qui l’ai pris discrêtement sur ton bureau la semaine dernière. Mais en plus je me suis apperçut que tu n’as jamais fait tes devoirs ! Tu notes bien les énoncés, mais tu ne fais pas les exercices…

Elle se sent mal à l’aise, jamais elle n’a été réprimandée ainsi, surtout devant tout monde, elle ne sait pas quoi dire…

- Tu te souviens sûrement que lors de la réunion, j’ai dit que je tiendrais cette classe comme je l’ai toujours tenu pendant ma carrière ! Aussi bien, pour les méthodes d’apprentissage que pour les punitions !

Cette remarque fait relever la tête de Caroline, alors que le prof lève le ton.

- Je ne supporte pas les fénéantes comme toi, accentué par le fait que tu n’ais pas la franchise de me dire que tu n’as pas fait ton exercice et que tu me mente pour ton cahier…

Caroline est tellement surprise par la réaction du prof qu’elle a envie de pleurer. Elle sait qu’elle est le point de mire de toute la classe et la honte l’envahit.

- Tu as dépassé les bornes et je dois sévir ! Pour commencer, il n’est pas question que tu passes à côté des exercices ! En plus de ceux que tu auras comme tout le monde, tu rattraperas ceux que tu n’as pas fait ! Tous les vendredi jusqu’à ce que tu ais rattrapé le retard, tu resteras une heure avec moi et ça commence aujourd’hui !

- Oh non, pas aujourd’hui !

S’il vous plait, j’ai un rendez-vous…

- Je ne veux pas en entendre parler, tu resteras seule avec moi ce soir, tu seras libre à 21 heure !

Caroline baisse la tête, elle sait qu’il ne changera pas d’avis.

- Quant à ta punition, je vais te l’infliger tout à l’heure. Mais avant, je vais vous expliquer ce qui va se passer pour que tout le monde, mais surtout toi Caroline en prenne bien conscience. Ensuite, tu iras méditer un peu au fond de la classe en attendant.

Il laisse volontairement un long

silence pesant, pour triturer encore Caroline qui commence à paniquer et qui le regarde avec des yeux ronds ne sachant pas à quelle sauce elle va être mangée.

- Je vais te punir comme j’ai toujours puni dans ces conditions là ! Et même si aujourd’hui tu es beaucoup plus âgée que les élèves que j’avais ça ne change rien ! Une bonne fessée pour ton insolence et ta fénéantise te remettra les idées en place.

Caroline croit un instant s’évanuire, puis se dit qu’il ne peut pas être sérieux. Pendant ce temps quelques gloussements se font entendre dans la salle, et le prof continue :

- La faute est assez grosse pour qu’il n’y ait pas de demi mesure. Je suis désolé pour toi, mais maintenant les classes sont mixtes et je ne vais pas faire sortir la moitié de la classe à chaque punition, donc même les garçons verront tes fesses.

Caroline relève la tête, éberluée.

- Ah oui, j’avais oublié de te préciser, pour les fessées j’enlève la culotte ! Il ne sert à rien que les fesses soient protégées alors qu’elles doivent être punies…

Caroline commence à comprendre que le prof est sérieux et elle retrouve ses esprits :

- Vous rêvez là. Vous croyez que je vais me laissez faire ! Vous ne pouvez pas faire ce que vous voulez ici…

Une giffle vient rougir la joue droite de Caroline.

- Tu baisses d’un ton !

Et ne me manques pas de respect sinon ton cas va s’aggraver ! Ne dis plus rien maintenant ! Tu as dix minutes pour te préparer à ta punition et je peux te garantir si tu en doute encore que tu vas recevoir la fessée et que tes fesses vont être mises à l’air !

Caroline baisse la tête, le professeur la prend par la nuque et l’emmêne vers le coin à côté du tableau.

- Tu vas méditer ici ! Et si tu bouges, je te promets que je te mets à genoux, les mains sur la tête devant tout le monde !

Caroline ne peut s’empêcher d’émettre de la résistance, le professeur la conduit au coin avec difficulté. Lorsqu’il se retourne, Caroline fait demi-tour et s’écarte du coin les bras croisés.

- Caroline, je vais perdre patience, tu colles ton nez contre le mur !

Elle prend un air insolent :

- Vous croyez que je vais me mettre au coin, et que vous allez me donner la fessée ! Mais vous pouvez toujours réver espèce de détraqué !

Un froid glacial envahit la pièce, Caroline regrette aussitôt ses propos. Elle demande des excuses quand elle voit le professeur fondre sur elle.

- Toi, tu vas voir de quel bois je me chauffe ! Tu crois qu’une gamine de 19 ans va m’impressionner… Pour commencer tu vas te mettre à genoux au coin, les mains sur la tête et en slip !

On comprend dans le regard de Caroline, qu’elle prend conscience qu’elle va bientôt se retrouver en slip devant tout le monde.

- Aller, dépêche-toi ! Enlève ta jupe !

Elle pense aussitôt aux dessous qu’elle a mis pour faire plaisir à son copain et ne peut se résoudre à ôter sa jupe.

Le professeur perd patience et d’un geste, il lui fait faire demi-tour et la courbe sous son bras. Sa jupe ne tarde pas à être relevée sur son dos malgré le cri déchirant de Caroline. Les élèves découvrent un shorty en dentelle noir et des bas auto-fixants de la même couleur. Caroline se débat et essaye désespérement de se relever ou d’abaisser sa jupe, mais le prof l’enlace par la taille et tient sa jupe. Sa main s’élève, puis s’abat bruyamment sur les fesses de Caroline. Les élèves sont aussi surpris que Caroline, qui arrête de gigoter dès les premières claques. Le professeur remet à plus tard la fessée et conduit Caroline au coin. Dès qu’elle se redresse elle baisse sa jupe, mais quand elle arrive au coin, le professeur lui remonte et dit de tenir l’arrière au dessus de sa culotte.

Caroline doit exhiber ses fesses moulées dans son shorty une bonne dizaine de minutes. Pendant ce temps le prof continue son cours. Il doit rappeler plusieurs garçons à l’ordre, quand il les surprend en train reluquer bouches bées les fesses de Caroline. A chaque fois, elle se sent rougir et résiste à l’envie de baisser sa jupe. Sans transition, à la fin d’une explication, la prof demande à Caroline si elle est prête pour la fessée. Sans répondre, Caroline tourne la tête vers lui et lui jette un regard implorant.

Mais il vient vers elle et comme seule réponse, il lui dit :

- Rabat ta jupe !

Caroline ne se fait pas prier, mais elle ne s’attend pas à ce que le prof descende la fermeture dès que celle-ci est rabaissée. Elle la retient, quand le prof commence à la descendre.

- Lâche ta jupe Caroline ! De toute façon, tu sais ce que je t’ai dit tout à l’heure ! Ton slip, va être descendu aussi, alors ne retiens pas ta jupe !

Aussitôt, sa jupe descend et s’enroule autours de ses chevilles. Elle doit la laisser au coin, tandis que le prof lui demande d’aller chercher sa propre chaise. Elle sait que le devant de son shorty est aussi transparent que l’arrière et croise ses doigts devant elle. Pour le retour la chaise la cache, et le prof s’en rend compte :

- Tu as de la chance

Caroline ! J’aurais pu t’enlever ton slip avant que ailles chercher ta chaise !

Rien que cette vision lui fait horreur et elle ne peut s’empêcher de rougir. Le prof installe la chaisse face à la classe et s’assoit dessus.

- Allonge-toi sur mes genoux Caroline !

Rouge de honte, Caroline se met en place, le prof ajuste sa position, elle est pliée en deux, ses fesses sont relevées.

- Maintenant que tu es installée, tu peux baisser ton slip !

La tête de Caroline tombe d’un coup vers le sol, en signe de désespoir.

- S’il vous plait… J’ai bien compris ! Déjà la fessée…

- Caroline, je ne vais me fâcher ! Baisse ton slip, ne me force à te l’enlever à ton âge !

- Non, laissez-le moi ! J’ai trop honte…

Fessez-moi plus fort si vous voulez, mais…

- C’est mon dernier avertissement, Caroline ! Si tu ne le baisse pas, je te l’enlève !

Caroline n’a plus le choix, elle se contortionne pour faire glisser l’elastique sous ses fesses tout en soupirant et en retenant ses larmes. Le prof trouve sans doute que fesses ne sont pas assez dégagées, car il l’abaisse encore en tirant plusieurs fois de chaques côtés jusqu’à ce qu’il soit dans le creux des genoux de Caroline. Elle lui dit plusieurs fois d’arrêter, qu’il est assez baissé, mais elle comprend que plus elle se plaidra, plus il sera bas.

La fessée arrive ensuite. Rien à voir avec les petites claques précédentes.

Caroline fait un bond sur les genoux du professeur et pousse un cri à la première claque. Le bruit résonne dans la pièce, Caroline se plaint d’avoir mal, et essaye d’interposer ses mains sans y parvenir. Ses fesses rougissent à vue d’oeil et Caroline ne peut retenir ses larmes. La fessée ne cesse pas pour autant. Le prof tape méthotiquement une fesses puis l’autre sans oublier aucune partie, ses cuisses au dessus de ses bas ne sont pas épargnées. Tout en continuant la fessée, le prof fait un commentaire sur la couleur rouge qu’elle n’est pas prête de perdre. Caroline pense aussitôt à son copain, et à comment elle va faire pour lui expliquer qu’elle a reçu la fessée, elle a trop honte pour lui dire. Enfin la fessée s’arrête, Caroline semble à bout de force, elle tombe sur ses genoux aux pieds du prof. Elle met quelques secondes à reprendre ses esprits, assise sur ses talons, les mains entre ses cuisses. Elle remonte son shorty doucement, et se relève lentement, comme si, elle venait d’émerger d’un mauvais couchemard. Le prof la ramême rapidement à la réalité. Il la pousse dans le dos sur le côté de l’estrade.

- Comme tu as fait une comédie pour baisser ton slip, tu vas rester un moment à genoux ici !

Malgré son regard suppliant, Caroline est obligée de se mettre à genoux.

- Mets-toi bien droite et pose tes mains au dessus de ta tête !

Dans cette position si humiliante, Caroline ne peut supporter le regard de ses camarades, elle baisse les yeux. Elle sait que son shorty cache l’essentiel, mais elle est consciente, que les élèves du premier rang devinent qu’elle n’est pas épilée intégralement.

Au bout de quelques minutes, sa punition est levée, et elle peut enfin remettre sa jupe, puis retourner à sa place sans que les élèves ne la quitte du regard.

Le cours se termine alors que Caroline imagine dans sa tête le spectacle qu’elle a pu donner sur l’estrade et la vision de ses fesses qu’elle a pu offrir. Elle commence à ranger ses affaires en espérant partir en même temps que les autres élèves, mais quand elle enfile son manteau, elle croise le regard du prof et comprend qu’il faut mieux qu’elle reste à sa place.

Tous les élèves quittent la classe et le prof referme la porte derrière eux et sans se retourner il ordonne à Caroline de se mettre debout dans l’allée, puis vient face à elle.

- J’imagine que ça ne t’as pas fait plaisir d’exhiber tes fesses tout à l’heure ! Mais tu remarqueras que j’ai épargné ta pudeur… Comme c’est la première fois pour toi, et que tu es la première à être punie, j’ai été indulgent ! Mais maintenant que nous sommes seuls, tu vas aller faire l’exercice au tableau sans ta jupe et sans ton haut, juste en sous-vêtements !

Caroline croyait sans doute, que sa punition était finie, et elle ne s’attendait pas à devoir continuer en petite tenue. Elle se sent moins fière, seule face à ce professeur qui l’impressionne et ne cherche pas à le contredire. Elle fait glisser sa jupe sous les yeux du prof qui ne se gêne pas pour la détailler, et demande juste la permission de garder son haut puisque ses fesses son découvertes.

- Je te punie de la même façon que je te punirai si tu recommences. A la différence près que ce sera devant toute la classe, alors retiens bien la leçon et enlève ton haut !

Caroline passe son haut dessus de sa tête et fait découvrir au prof un magnifique soutien-gorge assorti à son shorty, tout aussi transparent, laissant entrevoir un paire de seins qui, sans être trop gros, sont de taille que le prof n’aurait pas imaginé.

Elle se rend au tableau et commence l’exercice ainsi, tout en sentant les yeux du prof glisser sur son corps derrière elle.

Elle se retourne quand elle entend le prof appeler avec son portable. Elle comprend rapidement qu’il appelle le directeur du lycée.

« J’ai été obligé de punir Caroline et je l’ai gardé avec moi en colle… Je révise avec elle quelques exercices et je continue la punition pour être sûr qu’elle comprenne bien… Très bien, alors à tout à l’heure… »

Caroline ne sait pas si le directeur va venir où s’ils se voient plus tard. Un quart d’heure après, elle est fixée. Elle sursaute quand elle entend la porte de la classe s’ouvrir brusquement. Elle ne sait plus où se mettre quand le directeur la découvre dans cette tenue, et elle croit s’évanouir quand elle voit qu’il est accompagné de son fils. Caroline en avez déjà entendu parlé, fils à papa, genre premier de la classe, mais ignoble avec ses camarades. Il est en seconde et ne cache pas sa joie de découvrir une jeune femme punie en sous-vêtements.

- Est-ce que vous lui avez déjà mis une fessée ?

Le professeur répond « oui » alors que les joues de Caroline prennent de la couleur.

- Déculottée j’espère…

Quand le jeune garçon comprend que Caroline a été déculottée, il ne peut s’empêcher d’afficher un sourire narquois.

Caroline continue l’exercice au tableau, au côté du professeur tandis que le directeur et son fils s’installe sur une table du premier rang. Elle essaye tant bien que mal de faire l’exercice mais sait que les réponses qu’elle apporte sont fausses.

- Comment expliquez-vous que vous n’ariviez pas à faire un exercice aussi simple, Mademoiselle ? … Je suis sûr que mon fils qui a deux années de moins que vous peut le faire…

Le garçon se lève et va prendre la craie dans la main de Caroline, puis, sûr de lui, il raye ses réponses sans rien dire. En quelques secondes, il note les bonnes solutions et retourne à sa place.

- Je pense que cette démonstration vous donne une bonne leçon Caroline !

Elle ne peut relever la tête et reste silencieuse.

- M. Hubert, nous allons lui donner une dernière chance… Vous allez lui donner un exercice portant sur le cours d’aujourd’hui afin de savoir si au moins, elle est attentive en cours !

Caroline relève la tête, elle sait qu’avec ce qu’elle vient de vivre, elle n’a pas écouté, et n’a rien retenu de l’heure.

- Quant à vous

Caroline, je vous préviens tout de suite ! Si vous n’y arrivez pas, M. Hubert devra vous rougir une nouvelle fois les fesses et sans aucune protection…

Caroline va s’assoir à sa place toute tremblante, elle ne peut soutenir le regard du fils du directeur. Elle sait que la semaine prochaine tout le lycée sera au courant de se qui s’est passé. Elle attend quelque secondes sur sa chaise et le professeur vienne poser la feuille sur sa table.

Elle panique en voyant les questions, elle n’y comprend rien… Elle sent les regards sur elle et n’arrive pas à se concentrer sur sa copie. Elle tente tout de même quelque chose tandis que le directeur et le professeur discute entre eux. Au bout d’un moment, le professeur vient regarder sa feuille par dessus son épaule. Caroline attend sa réation avec angoisse.

- Je crois que ce n’est pas la peine d’aller plus loin Caroline ! Retourne sur l’estrade !

Le coeur de Caroline s’emballe, elle demande plus de temps et promet d’y arriver, mais le professeur la lève en la prennant par dessous le bras.

- Tu n’as rien écouté du cours, je ne vois pas comment tu y arriverais !

Le professeur la conduit jusqu’à l’estrade malgrès ses protestations. Elle arrive face au tableau, quand elle entend le directeur lui demander d’enlever sa culotte.

Elle a à peine le temps de tourner la tête vers le directeur qu’il la rappelle tout de suite à l’ordre :

- Vous enlevez votre culotte tout de suite ! Et j’ai bien dit : enlever ! Vous irez d’ailleurs la poser sur le bureau de votre professeur. Vous ne méritez pas d’avoir les fesses couvertes même après la fessée…

Caroline ne bouge pas. La main du prof vient s’abattre par surprise sur les fesses de Caroline. Elle pousse un cri et dirige ses mains sur ses fesses.

- Vous avez raison, M. Hubert fessez là par dessus sa culotte jusqu’à ce qu’elle se décide à l’enlever ! Plus elle attendra, plus ses fesses rougiront !

Le prof ne sefait pas prier, il bascule Caroline sur ses genoux et commence une véritable fessée sur la dentelle de son shorty. Cette mince protection ne change rien pour elle, ses fesses lui piquent même plus que quand elles étaient nues car le professeur tape plus fort. Pourtant elle ne peut pas se résoudre à enlever sa culotte, après une vingtaine de claques le prof s’arrête et demande à Caroline si elle veut qu’il continue. Sans répondre, elle glisse sa main à ll’intérieur de son shorty et se frotte les fesses, mais le prof lui retire et continue la fessée. Ne pouvant plus supporter après la première claque, elle crie d’arrêter. M. Hubert l’aide à se relever.

- Bon, Mademoiselle ! On ne va pas attendre encore ! Posez votre culotte sur le bureau et revenez vous mettre en travers des genoux de M. Hubert…

Caroline se dirige vers le bureau et dos au trois hommes qui ne la quittent pas des yeux, elle fait glisser son shorty sur ses fesses et le laisse tomber à ses pieds. Elle ne bouge plus, un long silence lui procure un frisson. Elle imagine les trois hommes, bouches bées, ne pouvant plus détourner leurs regards de ses jolies fesses. Puis elle se baisse et remonte sa culotte.

- C’est bon, vous avez tout vu maintenant… Je peux récupérer mes vêtements !

La voix de Caroline fait ressurgir le directeur:

- Euh… Non… Pourquoi avez-vous remonté votre slip ! Je vous ai dit de l’enlever ! Et dépêchez-vous sinon, la fessée n’en sera que plus sévère !

Caroline n’a pas d’autre choix que de baisser d’un geste rageur une nouvelle fois sa culotte, mais cette fois-ci, elle l’enjambe et la pousse du bout du pied.

- Je cois vous avoir dit de la ramasser, Mademoiselle H. !

Caroline se baisse en soufflant, tandis que le directeur lui prend des mains. Puis à l’aide de deux punaises, il l’accroche au panneau de liège juste à côté du tableau.

- On va laisser son slip accroché ici pour les prochains cours… Et dès la semaine prochaine, M. Hubert, vous montrerez son slip à ses camarades et vous leurs expliquerez que Caroline a du être une nouvelle fois déculottée. En plus, en voyant son dessous face à tout le monde ça lui rappellera que ses fesses peuvent être dénudées à tous moments.

Caroline a le souffle coupé par cette nouvelle punition.

- Mais, je ne vais pas repartir sans ma culotte ?

- Mademoiselle H., vous avez les fesses à l’air devant nous, je ne pense pas que de sortir sans rien sous votre jupe sera pire !… Bon maintenant, la fessée !

Le directeur pousse Caroline contre le bureau et l’incite à se courber dessus. Elle pose ses mains à plat, les fesses ressorties, elle serre les jambes au maximum et semble se préparer à la fessée quand elle entend le directeur :

- M. Hubert, vous pouvez continuer la fessée…

Le professeur s’approche et pose sa main sur ses fesses, il réfléchit quelques secondes avant de se retourner vers le directeur:

- Je ne pense pas qu’elle mérite d’avoir ses seins couverts ! Une fessée toute nue sera plus bénéfique !

Caroline se relève d’un coup et annonce son refus d’enlever son soutien, mais le directeur trouve l’idée intéressante :

- Taisez-vous Mademoiselle ! Votre professeur a raison !

Et votre soutien-gorge restera accrocher avec votre slip ! Ainsi tout le monde profitera de vos dessous… Allez-y, enlevez-le !

Caroline n’insiste pas et passe ses mains dans son dos pour dégraffer son soutien, puis le pose délicatement sur le bureau.

- Penchez-vous sur le bureau, Caroline ! M. Hubert va vous claquer les fesses !

Aussitôt installée, le bruit sec des claques retentis dans la classe. Ses pieds claquent sur le sol au rythme des claques qui s’abattent sur ses fesses, le haut de son corps est complètement allongée sur le bureau et ses main agrippent le bord. Elle subit sa fessée, tout en grimaçant, jusqu’au bout. Quand le professeur arrête, Caroline reste allongée pour se remettre de ses émotions. Pendant ce temps, le directeur accroche son soutien-gorge à côté de sa culotte.

- M. Hubert si vous constatez que

Caroline n’a toujours pas compris, n’attendez pas d’être en privé ! Mettez-là toute nue devant tout le monde pour la fessée…

Caroline se relève en couvrant ses seins même si ceux-ci ne peuvent être vus.

- Je pense que la leçon est bien retenue cette fois-ci. Mais je n’hésiterez pas si cela s’avère nécessaire ! … Tu as bien compris Caroline ?

Caroline fait un signe de tête. Puis plaque sa main entre ses cuisses quand elle sent que le professeur la saisit par le bras. Il lui traverser l’estrade et l’emmêne jusqu’au coin.

- Il te reste dix minutes de colle, met tes mains sur ta tête !

Pendant que Caroline est au coin, le directeur et le prof discute d’un problème d’électricité et décide d’aller voir ce qui se passe. Avant de sortir, le professeur lui conseille de ne pas bouger.

Quand la porte se referme, Caroline descent ses bras, et sursaute quand elle entend un bruit derrière elle.

- Si tu bouges, je vais leur dire…

Caroline est surprise que le fils du directeur soit encore là. Elle encore plus gênée d’être seule avec lui, mais repose rapidement ses mains sur sa tête ce qui fait sourire le garçon.

- La punition que tu as prise… Je n’aimerai pas être à ta place. Surtout que pour toi, ce n’est pas fini, tes fesses vont prendre souvent de la couleur maintenant que mon père a donné sa permission au vieu !

Caroline préfère ne rien répondre et garde son calme en fixant le mur, mais le garçons insiste :

- Et encore, aujourd’hui, ce n’est rien ! Quand il va te punir comme ça devant toute le monde, ce sera pire… En tout cas, j’espère pour toi que ce ne sera pas dès la semaine prochaine, car tes fesses ne seront pas encore remises.

Caroline entend les voix du professeur et du directeur dans le couloir. Avant qu’ils entrent dans la classe, elle répond, qu’elle n’est pas prête d’être fessée à nouveau.

Ils discutent entre eux sans se préoccuper de Caroline. Puis le prof se tourne vers elle :

- C’est bon, Caroline, tu peux remettre tes vêtements…

Caroline baisse les bras, et apperçois le garçon assis au premier rang. Elle n’arrive pas à se retourner et à traverser la classe pour réccupérer ses vêtements. Les deux hommes discutent ensemble quand le directeur s’apperçoit que Caroline n’a pas bougé.

- Alors, Mademoiselle H., vous vous êtes habituée à la nudité ?

Vous ne voulez plus vous rhabiller ?

Le ton ironique du directeur fait sourire le garçon.

- Vous pouvez m’apporter mes vêtements s’il vous plait

?

Le directeur demande à son fils d’aller chercher sa jupe et son haut.

Caroline est rouge de honte lorsqu’il lui tend ses vêtements, mais est rassurée de ne pas en avoir montré plus. Elle se retourne pour enfiler sa jupe ce que constate le directeur.

- Ne soyez pas si pudique, Mademoiselle H. ! Quand vous serez punie nue devant vos camarades, vous n’aurez rien pour vous couvrir !

Retournez-vous avant de remettre votre haut !

Caroline tient son haut devant son ventre. Doucement, elle se retourne tout en baissant la tête. A moitié nue, la grosseur de ses seins est amplifié, elle doit rester un moment sous les regards des trois hommes. Puis elle a l’autorisation de remettre son haut et de quitter la classe.

Elle ne pert pas une minute pour sortir et envoie un texto à son copain lui signalant qu’elle a été collée, mais qu’il peut venir la chercher maintenant. Elle n’osera jamais lui dire qu’elle a été fessée tellement elle a honte. Maintenant, elle espère qu’une chose : que sa jupe reste en place toute la soirée. Ses fesses ont déjà été assez vue pour aujourd’hui

Comments

Charly75 Il ya 11 mois  
bobydo Il ya 5 ans  
Runner Up Il ya 11 ans  
n/a Il ya 11 ans  
clyso Il ya 11 ans