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Vues: 401 Created: 2010.12.27 Mis à jour: 2010.12.27

Rêveries d'un dominateur solitaire

Chapitre 4

Il n'y a que les maîtres au déjeuné, les soumises sont à la cuisine.

La conversation porte sur les pratiques sur l'éducation des soumises. Chaque maître fait part de ses souhaits, des leçons à venir. Ils cherchent d'autres façons d'organiser leurs réunions futures pour compléter l'éducation. Ils décident, que lors de la prochaine réunion, les séances se feront à quatre, : 2maîtres et 2 soumises, afin d'initier, chacune d'elles, à la domination féminine. Je fais alors part à l'assemblée d'une idée sur la fabrication d'un meuble SM, que je n'ai jamais trouvé dans un donjon.

Pour moi, la table de gynécologie est bien, mais pour inspecter et travailler le sexe et le anus d'une soumise, dans de bonnes conditions, il faut que le sujet change de position. De plus, on ne peut pas ajuster la hauteur.

Ce meuble est une chaise très spéciale, en bois, revêtue de cuir. Cette chaise n'a pas d'assise complète, le sujet repose seulement sur le bas des cuisses,près des genoux, avec un retour permettant de lier les chevilles. Les deux assises sont à angle droit°, deux sangles permettent l'immobilisation des cuisses. Le dossier est droit, étroit et haut, muni de deux sangles, une de retenue du ventre, une de retenue du coup. Il s'arrête à la hauteur de la chute de reins. De cette manière, les seins, l’anus et le sexe sont bien dégagés et accessibles. Les mains sont attachées à l'arrière du dossier. Cette chaise, peut pivoter sur un tour complet, afin de pouvoir mettre le sujet dans diverses positions :

A l'horizontal, couché sur le dos.

A l'horizontal, face vers le sol

La tête en bas

Et toutes les positions intermédiaires.

Enfin la hauteur est calculée, pour que dans toutes les positions, le travail du maître soit facilité.

Cette idée séduit mes collègues, notre hôte va étudier la question, et je serai invité à l'inauguration.

Le repas se termine, et nous passons au salon pour le digestif.

Le repas achevé, à 13 heures 45, le cérémonial reprend avec la nouvelle soumise.

Toujours placée au centre du donjon, ma deuxième soumise est ma passagère de la veille.

Cette blonde de 32 ans à des seins en poires, la chatte rasée, l’anus peu ouvert. Elle se prénomme RITA.

L'inspection faite, et son questionnaire parcouru, le sort à désigné :

La tenue au libre choix du maître, elle restera nue.

Pas de bâillon, ni de bandeau

La position sera la visite gynécologique poussée.

Elle est OK pour ce tirage.

Nous passons dans l'alcôve, et elle se couche sur la table. J'ai abaissé le dossier, afin qu'elle soit étendue bien à plat, et je place sous ses reins un coussin pour que ses fesses soient légèrement relevées. Elle place ses pieds dans les étriers, je les attache, et je règle les étriers pour que ses jambes soient dans un écartement maximum. Ses bras sont placés le long du corps, je relie ses poignets à la base des étriers. Je place une corde sous chaque aisselle, ces cordes sont attachées aux pieds de la table. De cette manière,elle ne peut plus bouger.

Je prépare, sur une desserte, les instruments utiles à la visite :

Des spéculums, des godes, les boules de geishas, des pinces, des écarteurs.

Je m'équipe d'une lampe frontale, je me lave les mains soigneusement.

Pendant toute cette préparation, je lui pose diverses questions sur sa vie sexuelle intime :

Elle doit me raconter son dépucelage.

Combien elle a eu d'amants ?

Dans quelle position prend-elle jouit le plus ?

Ses pratiques SM préférées ?

Etc…

J'apprends ainsi que son maître ne touche jamais son anus, qu'elle n'a pas d'amant, qu'ils ne sont pas mariés, qu'elle se donne corps et âme à maître.

Je commence la visite par la tête, sa bouche est fouillée, sa dentition vérifiée, elle doit tirer la langue. Ensuite les yeux, qui sont d'un bleu profond, sont examinés. Enfin je termine par le nez et les oreilles

Je descente, le cou et les épaules sont palpés. Les seins sont effleurés de la paume de la main.

Puis, un sein dans chaque main, ceux-ci sont malaxés, pincés. Les prenant ensuite, chacun à deux mains, je les compresse fortement, puis les étire. Les tétons font l'objet d'une attention particulière : Ils sont comprimés, tirés,roulés, sucés, mordillés. Je place, pour finir, une pince sur chacun, pinces reliées par une chaînette.

C'est au tour du ventre d'être ausculté, comprimé, pincé. Je m'attarde sur le nombril.

Je fais le tour de la table et je viens me placer entre ses jambes. Je m'installe sur un tabouret, je contemple un instant cette chatte et cet anus offerts.

J'examine brièvement l’anus en premier, celui-ci sera inspecté plus longuement à la fin de la séance. Je tourne autour de sa rosette, je sens RITA contractée,j'humecte sa rosette avec son jus déjà très abondant. J'écarte ses fesses avec les mains pour ouvrir son passage secret. Je tente un doigté anal. Elle est très étroite, et je décide de placer un plug de petite taille, avec moult précautions, afin de faciliter l'inspection future. N'ayant pas l'habitude d'être pénétrée par ce chemin, RITA émet quelques plaintes, malgré l'abondance de gel lubrifiant.

Son sexe s'offre à moi, fermé, mais les lèvres ont gonflé, j'ai à peine posé les doigts dessus que je le sens près à me révéler d'alléchantes promesses. Les réactions de RITA ne trompent pas, c'est sa partie sensible, ses gémissements deviennent des gémissements de plaisir.

Je prends ses grandes lèvres entre mes doigts, les déroule, les étire. Une chatte toute rose et toute luisante m'apparaît. Changeant de prise, je découvre un clitoris, de taille moyenne, niché au fond de sa grotte d'amour. Sans bouger, je jouis une minute de ce spectacle.

Souhaitant en voir plus, j'écarte en grand, à l'aide de mes doigts, et ma lampe frontale me permet d'admirer ce vagin dégoulinant très dilaté. Je prends un écarteur, que je maintien sur le haut du sexe, et avec deux doigts de l'autre main je tire et écarte le bas. Pour faciliter mes investigations, je mets en place un grand speculum, que j'ouvre à un écartement maximum. Je fais glisser un gode très fin, au centre du speculum, le remonte, le lâche. Les petits heurts,au fond du vagin, la font sursauter. J'ôte le speculum.

Je fais un doigté avec un, puis deux, puis trois doigts. Le ventre de RITA se met en mouvements accompagnant mes va et vient.

Je décide de jouer avec les boules de geishas, j'introduis la première, puis la seconde. Je les pousse de mes doigts le plus profondément possible. Je reviens me placer sur le côté de la table et, tout en tenant fermée cette chatte je tire sur l'anneau des boules, puis les repousse. Après, deux ou trois aller-retour, je sors doucement la première boule, puis la deuxième. Je recommence l'opération et, à la fin de celle-ci, je donne les deux boules à nettoyer à ma patiente.

Je veux juger des réactions au froid de RITA. Je demande des glaçons par l'interphone.

Je promène un glaçon autour de ses seins, sur son ventre, et je le laisse sur le nombril. Un deuxième descend du mont pubien, arrivé sur les lèvres, la chatte se referme comme une huître. Ecartant les lèvres, je fais pénétrer le glaçon, puis un deuxième. Ceux-ci fondent vite, dans la chaleur du fourreau.RITA à la chair de poule, elle frisonne. Un jus odorant suinte. Un long doigté me fait apprécier les contractions du vagin, la chaleur reprend vite ses droits.

Je continue en lui plaçant un gode vibrant gonflable. Tout en réglant les vibrations, je gonfle et dégonfle le gode pendant les va et vient. Lorsqu'il est réglé à ma convenance, tout en le manœuvrant, je joue avec le clitoris. Les ondulations de ma patiente reprennent de plus belle.

Pour finir, après avoir enlevé le gode, je vérifie le fonctionnement des voies urinaires. Je prends une cuvette, que je cale sous ses fesses et j'ordonne, à RITA, d’uriner par petits jets. Elle doit s'arrêter à chaque fois que je le désire, puis reprendre. Son questionnaire m'a appris qu'elle sait se contrôler.Pendant son exécution, j'écarte plus ou moins sa chatte avec mes doigts. Une fois soulagée, je lave ma soumise comme un bébé.

Je détache les chevilles et, relevant ses jambes d'une main, j'écarte sa chatte de l'autre pour bénéficier d'une vue par derrière.

L'examen de partie avant étant terminé, je la détache complètement pour pouvoir la placer à genoux sur la table. Je fixe ses chevilles dans les étriers que j 'ai rapprochés. Je relève le dossier afin qu'elle puisse prendre appui sur le haut, et je fixe ses poignets.

Son anus étant bien offert, j'enlève le plug, et je le claque afin de le chauffer un peut.

Je prépare tout le nécessaire d'un lavement à l'eau tiède : canule, grosse seringue. Celui-ci administré, elle doit le garder le temps pour moi :

D'ausculter son ventre, le comprimer.

De faire un doigté vaginal

De titiller quelques instant le clitoris.

De placer deux pinces, aux grandes lèvres, reliées, par des chaînettes, aux bracelets de ses chevilles. De plus j'introduis un gode vaginal vibrant.

De jouer avec la chaîne pendant de ses tétons

Je caresse sa rosette, ose l'intromission d'un doigt. J'ordonne d'expulser le lavement dans la cuvette.

J'écarte alors, sans délicatesse, ses fesses, je fais un doigté appuyé. Son conduit, détendu par le gode et lubrifié par le lavement devient plus docile.Elle apprend vite et ses muscles aident à l'introduction. Je place un speculum.Elle grimace un peu, mais elle commence à aimer çà.

Après l'avoir bien inspectée, je remplace le speculum par un gode. Celui-ci entre relativement facilement, et je commence les va et vient. Doucement, au début, en tournant légèrement, j'accélère progressivement. Je joue des deux godes en même temps ou alternativement.

La séance se termine par un nettoyage en règle des deux godes par RITA. Elle souhaite goûter à la sodomie, le rendez-vous est pris pour le soir même.

Elle se rhabille, et tenue en laisse, à 16 heures, nous rejoignons les autres couples pour la troisième séance.