Vues: 783 Created: 2016.07.14 Mis à jour: 2016.07.14

L'embarquement

L'embarquement

L'embarquement

Bonjour, voici une petite histoire terminée récemment :

En plus de moi-même, quatre autres femmes attendaient dans la pièce, assises sur un banc métallique. Nous avions toutes une trentaine d'années environ. Certaines un peu plus, et d'autres comme moi un peu moins.

Mes mains tremblaient. C'était pour nous cinq notre premier voyage spatial, et la préparation des passagers avant le départ n'était pas vraiment un moment de détente.

Une porte s'ouvrit alors, et plusieurs hommes entrèrent dans la pièce où nous nous trouvions. Certains en uniformes bleus foncés apportaient les "boîtes de conserve" où nous allions passer les trois prochains mois, inconscientes, pendant toute la durée du voyage. Les autres étaient en tenues blanches type "médicales" et étaient là pour s'occuper de nous pour la préparation.

La première chose que fit l'un d'eux fut de nous apporter à chacune de nous un gobelet contenant un liquide d'où se dégageait une petite odeur de médicament.

Bien entendu, nous n'avions pas le droit à des explications, ni à des questions. Le temps pressait pour faire embarquer tout le monde. Nous passions les premières car il s'agissait de notre premier voyage dans l'espace, mais juste après nous, d'autres allaient suivre. Et après eux, d'autres encore. Un compte-à-rebours affiché sur le mur était là pour nous le rappeler.

Après nous avoir distribué les gobelets, l'homme nous dit :

-Vous pouvez boire le contenu. C'est un relaxant : ça va vous mettre un peu dans les vapes. Vous n'êtes pas obligées de le prendre, mais ça peut faciliter la préparation, surtout si vous êtes anxieuses.

On se regarda avec les autres femmes, jetant des coups d’œil à nos gobelets, en attendant de voir qui allait se lancer en premier. Puis, une à une, elles décidèrent de boire, d'une traite, le liquide. Sauf moi. Je n'aimais pas trop l'idée de m'assoupir et de laisser ces hommes m'installer dans une de ces boîtes de conserve, même si c'était probablement plus facile ainsi.

L'homme qui nous avait distribué les gobelets, remarquant que je ne buvais pas le contenu du mien, vint vers moi.

-Vous n'en voulez pas ? Me demanda-t-il.

Je secouai la tête.

-Non, je ne préfère pas, répondis-je.

-Ok. Dans ce cas, je vais le récupérer.

Il reprit le gobelet, et partit le mettre de côté.

Un médecin nous demanda alors à toutes les cinq, pendant que le relaxant commençait à agir, ou pas dans mon cas, de nous installer sur des tables à couchettes installées dans la pièce, en vue de la préparation.

-Vous pouvez vous coucher sur le ventre, les bras le long du corps, expliqua le médecin qui nous donnait les consignes.

On se mit en position, puis on attendit tandis qu'à côté de nous, les "boîtes de conserve" étaient en train d'être préparées pour nous accueillir.

Je vis au fur et à mesure que les minutes s'écoulaient que les autres femmes avec moi s'assoupissaient doucement grâce au relaxant ingurgité. Elles étaient conscientes, mais semblaient totalement détendues, comme si elles étaient droguées.

J'étais la seule dans un état tout à fait normal, un peu stressée, à observer tout ce qui se passait autour de moi. C'est alors que j'entendis un des hommes s'adresser à ses collègues.

-Bon, je crois que les premières commencent à être dans les vapes. On va pouvoir les endormir complètement, à présent. Vous pouvez apporter leur traitement. Mon cœur commença à s'accélérer. Curieuse, je me demandais quelle procédure était utilisée pour nous endormir. Par injection, probablement.

Pourtant, la suite ne me donna pas raison. Nous étions alignées sur nos tables respectives, et je pouvais voir mes voisines, allongées sur le ventre elles aussi.

Un homme en tenue blanche s'avança vers la première, et, d'un geste presque automatique, lui baissa son pantalon jusqu'aux cuisses, la rendant ainsi les fesses à l'air.

L'intéressée qui venait de se faire déculottée ne semblait même pas l'avoir réellement remarquer, et resta ainsi, le regard dans le vide.

L'homme ne perdit pas de temps, et passa à la suivante, juste à côté de moi. D'un geste tout aussi machinal, il agrippa le haut de son pantalon, et le tira en arrière d'une vingtaine de centimètres pour découvrir ses fesses.

Puis ce fut mon tour.

L'homme vint se placer à côté de moi.

-Pourquoi faite-vous ça ? Lui demandai-je rapidement, avant qu'il ne passe à l'action.

-Pour être prête à recevoir votre traitement, me répondit-il simplement.

Puis il attrapa le haut de mon pantalon, et d'un geste décidé, me déculotta aussi facilement que mes deux voisines. Tandis qu'il passait à la suivante après moi, il me dit :

-Attendez ainsi. Mon collègue va venir vous donner votre traitement. Détendez-vous pour le moment.

Je commençais à deviner ce qui m'attendait, mais refusais d'y croire jusqu'à ce que je le vois de mes propres yeux.

Un collègue de l'homme qui nous avait déculotté s'avança vers la première d'entre nous, tenant entre ses doigts ce qui ressemblait à un gros suppositoire : ça en avait la forme, mais c'était bien plus gros que ceux vendus en pharmacie. L'engin était d'une couleur beige, et faisait dans les cinq centimètres de long, pour une largeur de trois bon centimètres !

"Quelle horreur ! Pensai-je".

L'homme appliqua un gel translucide directement dessus, du côté de l'extrémité pointue, puis l'étala rapidement. Il regarda ensuite les fesses de la femme qui se tenait juste sous ses yeux. D'une main, il les écarta, et posa le médicament au niveau de son anus qui venait d'être dégagé.

Avant de le mettre, il attendit quelques secondes : la femme s'était soudainement raidi l'espace d'un instant, et sentant ce contact froid sur cette zone intime de son corps.

Il attendit qu'elle repose sa tête sur la couchette qui recouvrait la table, puis passa à l'action.

D'un geste ferme et machinal, il effectua une rotation du poignet, et plongea son doigt dans le cul de la femme, y poussant ainsi le suppositoire. Tandis qu'elle se raidissait à nouveau, il avait déjà terminé l'opération, et ressortait son doigt de son orifice.

Il se lava rapidement les mains, puis passa à la suivante, à côté de moi. Celle-ci avait assisté comme moi à la scène, et semblait moins à son aise à présent, même avec le relaxant.

L'homme se dirigea à côté d'elle, prit un deuxième suppositoire, et appliqua dessus le même gel translucide.

La femme, devinant ce qui l'attendait, voulu bouger. Elle tenta de se dégager de la table en gigotant les bras et les jambes, mais le relaxant lui avait aussi fait perdre ses forces et ses réflexes. D'une facilité enfantine, l'homme plaça sa main sur le haut de ses fesses, et immobilisa son derrière en le plaquant contre la table. Tandis que ses bras et ses jambes continuaient de se balancer, il écarta légèrement ses fesses, visa son trou du cul avec la pointe du suppositoire, et le plongea dedans sans hésiter, en répétant le même geste que précédemment. L'insertion produisit cette fois un bruit de succion bien clair.

Il ressortit son doigt, et partit se laver les mains, avant de revenir à mon niveau avec un autre suppositoire du même gabarit.

Etant au courant que je n'avais pas prit le relaxant et voyant mon air crispé, il tenta de me détendre un peu.

-Ne t'inquiètes pas, fit-il, ce sera vite fini, j'ai l'habitude. Avec ça, dans une bonne minute, tu dormiras comme un bébé avec tes collègues.

Il profita que je ne bougeais pas pour m'écarter délicatement les fesses, et placer l'extrémité lubrifiée du suppo directement contre mon trou du cul.

-Attendez ! Demandai-je, sentant qu'il allait passer à l'acte.

-Je dois le mettre, mademoiselle, m'expliqua-t-il. C'est obligatoire. Si vous voulez, vous pouvez essayer de penser à autre chose.

Bien tenté de sa part, mais inutile : toute mon attention était à présent portée sur ce qui était en train de se passer.

-Ça va faire mal ? Demandai-je alors bêtement.

-Ce n'est pas super agréable, avoua-t-il, mais ça va être fait très vite, ne vous inquiétez pas. Maintenant, inspirez un bon coup.

Je suivis son conseil, ouvris la bouche, et aussitôt, je le sentis pousser son doigt dans mon cul. Le suppositoire, malgré sa taille importante, glissa tout seul dans mon derrière grâce au lubrifiant.

Je voulus pousser instinctivement, mais la seule chose qui ressortit fut le doigt du médecin.

Mon tour était terminé. Il passa alors ensuite à la femme après moi. Soulagée, je reposai ma tête sur la couchette, et laissai agir le médicament. En suppo, ça avait l'avantage d'agir très rapidement, et je sentis au bout d'une minute mes yeux se fermer d'eux-même.

Tandis que j'étais tombée dans l'inconscience, tout comme mes collègues, les hommes ne perdaient pas de temps et continuaient à s'activer. Ils avaient encore beaucoup d'autres voyageurs à s'occuper. Moi et les quatre autres fûmes déshabillées complètement, puis installées dans les "boîtes de conserve". Un cathéter fut placé au niveau de notre bras, et différents tuyaux souples furent enfoncés dans nos différents orifices, pour nous assister médicalement pendant le long voyage.

Comments

Maec Il ya 8 ans