Vues: 848 Created: 2013.01.14 Mis à jour: 2013.01.14

Le nouveau médecin de l'infirmerie

Le nouveau médecin de l'infirmerie

Le nouveau médecin de l'infirmerie

Stéphanie attendait dans la salle d'attente de l'infirmerie de l'université qu'elle venait d'intégrer. Elle était la prochaine à passer. Quand ce fut son tour, un jeune homme en chemise blanche ouvrit la porte et l'invita à entrer dans son bureau.

-Bonjour, fit-il. Assieds-toi.

Elle s'installa sur une des chaises qu'il lui indiquait, et il prit place en face d'elle, derrière son bureau.

-Je vais avoir besoin de ton nom et prénom, et aussi ton année d'étude, commença-t-il. Je suis le nouveau médecin, alors je refais mes fiches de suivi.

-Stéphanie Roux, répondit-elle. Je suis en première année, en section langue.

Le docteur prit des notes sur une feuille, puis releva à nouveau la tête vers elle.

-Ok. Alors, dis-moi, qu'est-ce qui t'amène ?

-Je ne me sens pas bien, répondit-elle. J'ai mal à la tête, surtout.

-Depuis aujourd'hui ? Demanda-t-il.

-Oui. Depuis ce matin.

-Ok.

Il se leva, et ouvrit une armoire derrière lui pour attraper quelque chose.

-Je vais prendre ta température, fit-il.

Stéphanie allait se lever, mais il ajouta :

-Tu peux rester assise, je vais venir.

Il fit le tour de son bureau et vint à côté d'elle, en s'accroupissant pour être à hauteur de son visage. Puis il dégagea son oreille en faisant glisser ses cheveux derrière elle, et enfonça la pointe du thermomètre dedans.

Ce geste simple ne laissa pas Stéphanie indifférente. En effet, elle était célibataire depuis longtemps et le fait qu'il lui glisse les doigts dans ses cheveux lui donna quelques frissons.

Quelques secondes plus tard, il retira l'instrument et lu à haute voix la température.

-38.2°C. Tu as beaucoup de température, fit-il.

Il rangea le thermomètre où il l'avait pris, et revint s'asseoir derrière son bureau.

-Je vais te faire un mot d'excuse pour aujourd'hui, lui dit-il. Toi, tu vas aller te reposer dans un des lits à côté le temps que ça aille mieux.

Comme elle ne se sentait vraiment pas en forme, Stéphanie accepta en le remerciant. Il rédigea une note sur un bout de papier, et l'invita à le suivre dans une autre pièce plus loin, au bout du couloir. Là, il y avait cinq lits, mais personne n'occupait les lieux. Le docteur alluma la lumière et lui montra le premier lit, à côté de la porte d'entrée.

-Tu peux t'installer ici. La température va redescendre. Je repasserai de temps en temps te voir.

Elle s'allongea, sans mettre la couverture sur elle car il faisait déjà bien chaud dans la pièce. Le docteur allait repartir et éteindre la lumière, quand Stéphanie l'interrompit.

-Vous n'avez pas de médicament ou de l'aspirine ? Demanda-t-elle. Je ne me sens vraiment pas bien.

Il la regarda et prit un air désolé.

-Non, il n'y a plus d'aspirine, répondit-il. Les réserves sont presque vide, on reçoit des stocks la semaine prochaine. La seule chose qu'il reste que je peux te donner pour faire baisser ta température, c'est un suppositoire.

-Ok, répondit spontanément Stéphanie.

Le docteur parût d'abord surpris, avant de finalement quitter la chambre.

-Je reviens dans un instant, annonça-t-il en fermant la porte.

Stéphanie se recoucha sur le lit, soulagée pendant un moment, avant de soudainement se relever dans son lit. Elle venait d'assimiler ce que le docteur venait de lui demander. Fatiguée, elle n'avait pas été attentive à sa question et pensait qu'il lui avait donné le nom d'un comprimé ou autre. Elle se rendit compte qu'elle venait d'accepter qu'il lui donne un suppositoire !

Son coeur se resserra. Elle allait aller le voir dans son bureau pour expliquer qu'elle avait été confuse, mais en s'approchant de la porte, elle entendit des pas dans le couloir. Probablement le docteur.

Prise de panique, Stéphanie fit instantanément demi-tour et replongea dans son lit. La porte de la chambre s'ouvrit alors, et le docteur rentra en refermant derrière lui. Il tenait en main un petit emballage en plastique contenant un suppositoire, ainsi qu'un tube blanc de vaseline.

-Il n'y a plus personne en salle d'attente pour l'instant, fit-il, je vais en profiter pour faire ça maintenant.

Stéphanie avait envie d'expliquer qu'elle avait mal compris, et ne voulait pas de suppositoire, mais elle n'arriva pas à trouver ses mots. Elle vit alors le docteur déballer le médicament devant elle, et jeter l'emballage dans une poubelle à côté de lui. Il tenait à présent le suppositoire blanc entre ses doigts.

L'estomac de Stéphanie se noua. Jamais elle n'aurait pensé que ce genre de situation pourrait lui arriver ici, pourtant elle était sur le point de la vivre.

-Il va falloir que tu te retournes, si tu veux que je le mette dans ton derrière, expliqua le docteur en la voyant immobile dans le lit.

-Euh, oui, fit-elle.

Elle semblait perdue, et se retourna sans rien dire dos à lui.

-Un peu peur du suppositoire ? Demanda-t-il en se voulant rassurant. Ne t'inquiètes pas, c'est juste un petit moment difficile à passer.

Puis, remarquant qu'elle portait un jean assez serré, il ajouta :

-Il faut aussi baisser un peu ton pantalon.

Stéphanie, rouge de honte, resta dos à lui pour se cacher, et déboutonna sa braguette pour baisser un peu son jean.

Comme elle ne l'avait pas assez descendu pour dégager entièrement ses fesses, le docteur attrapa son jean et sa culotte et tira dessus pour les descendre jusqu'aux cuisses de sa patiente. Puis un moment s'écoula, durant lequel le docteur déposa de la vaseline sur son doigt et Stéphanie attendit, un peu angoissée par la situation.

Ensuite arriva le premier contact, quand elle sentis les doigts du docteur lui écarter les fesses. Le coeur de Stéphanie s'accéléra. Elle savait qu'elle ne pouvait plus refuser à ce stade, et essaya de penser à autre chose en attendant que ça se passe, sans succès.

D'abord, elle sentis le gel froid de la vaseline toucher son anus, puis le doigt du docteur l'étaler très brièvement, en quelques secondes. Puis un instant après, la pointe dure du suppositoire vint s'insérer d'un petit centimètre dans son trou de balle. A ce moment-là, son visage vira du rouge au blanc.

Le docteur, sans l'avertir, poussa le médicament dans son cul. Elle sentit le doigt passer son anus, puis avancer d'une bonne longueur, avant de se retirer aussi vite qu'il était rentré.

-Voilà, fit le docteur. Je te laisse remettre ta culotte et ton pantalon correctement. Je repars dans mon bureau.

Stéphanie attendit plusieurs bonnes secondes après qu'il ait refermé la porte, avant de se rhabiller et de se réinstaller sur le dos dans le lit. Elle reprit rapidement ses esprits, puis laissa échapper un petit rire nerveux en repensant à ce qui venait de lui arriver.

Le docteur, après avoir quitté la chambre, avait une bosse sous la ceinture. Il n'avait pas réussi à rester professionnel et avait prit du plaisir à mettre le suppositoire dans le derrière de sa patiente. Voyant l'excitation monter pendant l'opération, il s'était dépêché de finir et était reparti avant qu'elle ne se rende compte de quelque chose. Heureusement, elle était restée dos à lui tout le long de l'opération.

Une fois dans le couloir, instinctivement, il passa son doigt sous son nez, puis partit se laver les mains. Il ne regagna pas tout de suite son bureau, et profita qu'il n'y avait toujours pas de patients qui attendait pour aller aux toilettes soulager son érection.

Comments

n/a Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
clyso Il ya 11 ans