Vues: 448 Created: 2014.11.30 Mis à jour: 2014.11.30

Sophie découvre des petits plaisirs...

Troisième épisode

Deux semaines plus tard.

Se faire toucher le trou du cul ainsi avait fait naître en Sophie un fantasme. Tous les soirs, au lit, elle ne se contentait pas uniquement de son sexe pour se masturber, mais glissait aussi de temps en temps un doigt vers son petit orifice pour le masser. Dans ces moments intimes, elle ne pouvait s'empêcher de repenser à sa dernière séance avec l'homme. Lorsqu'il lui avait mis le suppositoire, ou lorsqu'il lui avait tripoté l'anus après.

Elle s'était beaucoup renseigné sur internet sur ce genre de fantasme, et en avait découvert tout un paquet : bondage, sodomie, dilatation, lavement, fessée, fist, et bien d'autres. Concernant les pratiques, elles pouvaient souvent s'effectuer dans des clubs dédiés à ces fantasmes. Sophie, elle, préférait les séances chez elle, dans son appartement. Elle s'y sentait beaucoup plus à l'aise.

Ce soir, Sophie avait prévu une séance un peu moins improvisée que les autres fois. Elle avait même été acheté quelques accessoires utiles. Comme la dernière fois, l'homme qu'elle avait appelé sonna à sa porte vers 19h30. Sophie lui ouvrit et régla sans perdre de temps la partie "paiement" de la séance : une petite somme qui lui permettrait, dans l'heure qui venait, de disposer à sa guise de l'homme et de lui demander à peu près tout ce qu'elle voulait.

Là-aussi, elle venait de terminer sa douche peu avant l'arrivée de l'homme. Elle portait cette fois-ci un pyjama complet, incluant donc aussi le pantalon.

Sophie emmena son partenaire non pas dans le salon, mais directement dans la cuisine pour commencer. Elle ouvrit le frigo, et s'empara de la boîte de suppositoires à la glycérine qu'elle lui tendit.

-Mets-moi en deux, demanda-t-elle en lui confiant la boîte.

L'homme regarda la boîte et vit qu'il s'agissait de suppositoires. Sophie le regarda et n'avait pas bougé d'un poil.

-Dans cette pièce, maintenant ? Demanda-t-il.

Sophie hôcha la tête.

-Ok, fit-il.

Il détacha un premier emballage individuel, et commença à déballer le suppo. Dès qu'elle vit la pointe jaune dépasser, Sophie se crispa un peu. La seule vue du médicament destiné à aller se loger dans son derrière la stressait un peu. Une fois le médicament sorti et entre les doigts de l'homme, celui-ci passa derrière Sophie, s'accroupit, et attrapa le haut de son pantalon pour le tirer vers le bas. Il le descendit jusqu'à ses chevilles, mettant ainsi ses fesses à l'air.

Sophie sentit deux doigts lui écarter les fesses, puis le bout du suppositoire se poser sur son orifice. C'était assez froid, mais elle n'eut pas le temps de savourer longtemps ce moment, car le doigt de l'homme s'enfonça brusquement dans son derrière, poussant le suppo bien profondément.

Sophie inspira un grand coup en sentant cette insertion dans son cul mais ne cria pas. Comme la première fois, l'homme avait ressortit son doigt dans la foulée.

Elle l'observa alors reprendre la boîte de suppositoire et déballer un autre de ces médicaments.

-Attend, fit-elle en le voyant s'apprêter à lui administrer le deuxième suppositoire.

Elle avait poser sa main sur son torse pour le stopper alors qu'il allait se placer derrière elle.

-Quoi ? Demanda-t-il. Tu n'en veux plus ?

-Si, répondit Sophie, mais pas comme ça. C'est trop direct, je n'arrive pas à apprécier le moment, expliqua-t-elle. Tu ne veux pas essayer d'y mettre un peu de forme ?

-Comment ça ? Interrogea l'homme.

-Je ne sais pas, tu n'as qu'à m'emmener dans le salon, tu m'expliques que tu vas devoir me mettre un suppositoire, et tout. Et avant de l'enfoncer, tu m'annonces que "la fusée" va partir, un truc comme ça, par exemple.

L'homme sourit.

-Ok, je vois.

Et il la prit par la main, l'emmenant vers le salon.

-Tu es constipée, ma petite, fit-il. Je vais devoir utiliser un suppositoire à la glycérine.

-Dans mon cul ? Demanda d'une voix faussement naïve Sophie qui se prenait au jeu.

-Oui, c'est là que ça se met en général, répondit-il d'une voix plus sérieuse. Maintenant allonge-toi sur le canapé.

Sophie se laissa renversée dessus, se laissant s'allonger sur le dos. L'homme attrapa alors ses deux jambes et les releva pour découvrir ses fesses toujours nues.

-Bon, fit-il, fais un peu voir ce petit troufion, voyons voir...

Il lui écarta franchement les fesses de ses deux mains, et posa le suppositoire sur son anus.

-Attention, la petite "fusée" va partir ! Je compte jusqu'à trois. Un. Deux. Trois !

Sophie, qui avait suivit attentivement le compte à rebours, sentit la forte poussée du doigt de l'homme, qui vint encore une fois loger le suppositoire dans son cul avec une grande facilité.

-Et voilà, la petite "fusée" est partie sur la lune, conclua l'homme.

Sophie le remercia et se releva du canapé pour regagner la cuisine en le laissant un moment seul dans le salon. Elle revint quelques secondes plus tard avec un objet dans la main.

L'homme reconnu tout de suite une poire à lavement.

-Quand j'en aurai terminé aux toilettes avec les suppositoires, expliqua-t-elle, j'aimerais que tu viennes me vider cette poire dans le cul, histoire que je me nettoie bien l'intérieur.

Elle parlait sans trop de retenue ni d'hésitation.

-Pas de problème, fit l'homme en récupérant l'accessoire qu'elle lui tendait.

Au lieu d'attendre dans le salon que les deux suppositoires fassent effet, Sophie se dirigea directement aux toilettes.

-Tu trouveras la salle de bain au bout de ce couloir, lui indiqua-elle, comme ça tu pourras préparer la poire.

Elle fila aux toilettes et s'assit sur la cuvette. L'homme avait été encore trop direct à son goût avec le deuxième suppo, mais elle l'avait mieux apprécié que le premier. La prochaine fois, il faudra passer un peu de temps à préparer un vrai scénario, pensa-t-elle.

Elle patienta tranquillement, et laissa passer plusieurs contractions avant de pousser pour se vider. Grâce aux suppositoires, ce fut terminé en peu de temps. Alors elle se releva, s'essaya, tira la chasse d'eau, et enfin appela l'homme depuis les toilettes.

-J'ai fini, cria-t-elle.

Quelques secondes plus tard, voyant la porte des toilettes fermée, il toqua deux fois.

Ce n'est pas verrouillé, fit Sophie. Tu peux entrer.

La porte s'ouvrit en grand, et elle le vit tenant la poire bien remplie.

-Bon, je crois que c'est le moment d'un petit lavement, fit-il.

Sophie hocha la tête. Elle pivota légèrement sur le côté pour présenter ses fesses, et se pencha un petit peu en avant en s'appuyant sur le mur.

Voyant sa position, l'homme se rapprocha, se pencha derrière elle pour bien voir ses fesses, et dégagea son anus en les écartant un peu.

-Bon, allez, c'est partit !

Sophie inspira un bon coup. La canule traversa son petit orifice et s'enfonça presque entièrement dans son cul.

-Ouille ! S'exclama-t-elle.

-Je t'ai fait mal en l'enfonçant ? Demanda l'homme.

-Non, ça va, j'ai dit ça comme ça. Continue, vas-y.

Il pressa la poire, et Sophie sentit le contenu se vider dans son intestin. La prise du lavement dura environ trente secondes, avant que la poire ne soit complètement vide.

-Bon, voilà, fit-il. Je pense que ça suffit pour te vider.

-Merci. Maintenant tu peux aller m'attendre dans le salon.