Vues: 1067 Created: 2012.12.26 Mis à jour: 2018.12.07

L'aventure osée de Manon

Manon Ch. 1

J'étais tranquillement assis à ma table, seul, entrain de siroper mon verre, lorsqu'elle s'approcha. Une magnifique jeune femme d'une vingtaine d'années.

-Est-ce que je peux m'asseoir avec vous ? Me demanda-t-elle.

J'acceptai, lui montrant de la main la chaise face à moi, et elle s'installa.

C'était bizarre. Cette jeune femme devait avoir environ quinze ans de moins que moi. Ce n'était habituellement pas le genre de fille à m'aborder comme ça.

-Je vous offre un verre ? Proposai-je poliment.

-Volontier.

Je commandai deux verres supplémentaires au serveur. Cette femme était probablement là pour ça, mais ça ne me gênait pas. Au contraire ça faisait plaisir d'avoir de la charmante compagnie de temps en temps.

Mais visiblement, cette jeune femme n'était pas là pour se faire offrir un verre.

Après une bonne demi-heure et plusieurs verres, cette jeune femme, du nom de Manon, s'était mise à l'aise et avait retiré sa veste, ce qui la laissait en débardeur et dévoilait bien le haut de sa poitrine ferme.

Je ne savais pas si elle voulait aller plus loin ce soir, mais je tenant plus, je me risquai à cette question :

-Je ne vais pas tarder à y aller. Tu veux que je te raccompagne ?

-Ok, fit-elle sans hésiter.

On se leva, prit nos affaires, et regagna ma voiture garée plus loin dans la rue.

Manon était magnifique. Vêtue de sa veste et d'une jupe, elle me suivit le long du trottoir. Dans la voiture, elle proposa de continuer cette soirée chez moi, si je voulais bien.

Je me tournai vers elle et la regardai dans les yeux.

-Tu es sûre que c'est ce que tu veux ? Demandai-je. Ce n'est pas un pari que tu as fait ?

-Bien sûr que non, pourquoi ?

-Et bien, je n'ai pas l'habitude de me faire aborder, et encore moins par une jeune femme comme toi.

Elle haussa les épaules en souriant.

-Dans ce cas, dis-toi simplement que c'est ton jour de chance !

Je nous conduisis jusqu'à mon appartement, et fis entrer Manon.

Sur le trajet, on avait encore pas mal discuté. Elle venait de terminer ses études de commerce, et avait emménager ici en ville pour chercher du travail.

Pour ma part, je lui avais dit que je travaillais comme médecin dans une clinique privée, en banlieue.

Après avoir refermé ma porte d'entrée, Manon se rapprocha de moi, très près cette fois. On se prit dans nos bras et on s'embrassa longuement. Ses mains étaient plaquées dans mon dos. Je descendis les miennes au niveau de sa croupe. Dans mon pantalon, mon sexe ne tenait plus en place. J'étais terriblement excité à l'idée de retourner au lit avec une femme d'une vingtaine d'années.

Justement, elle devait penser à la même chose.

-Tu m'emmènes au lit ? Demanda-t-elle après avoir décollé ses lèvres des miennes.

-Oui. Viens, c'est par ici.

Je l'accompagnai dans ma chambre, et elle se retourna vers moi pour commencer à déboutonner ma chemise. Une fois ôtée, elle s'attaqua directement à mon pantalon en défaisant ma braguette.

En moins d'une minute, j'étais tout nu face à elle, qui était encore toute habillée. Mon sexe était déjà bien au garde à vous.

-Tu me déshabilles ?

Elle m'avait demandé ça, puis s'était retournée dos à moi, me laissant entièrement le soin de la débarrasser de ses vêtements. Je commençai pas sa veste, puis de son débardeur. Je remarquai à ce moment qu'elle ne portait pas de soutient-gorge. Je la fis pivoter en la tenant par la taille, et entrepris de lui déboutonner son jean, tout en jetant de petits regards admiratifs vers ses seins.

Impatient d'aller lui faire l'amour, je lui retirai ses chaussures, puis descendis son pantalon et le string qu'elle portait sur elle, avant d'enfiler un préservatif.

Toute nue, Manon grimpa sur le lit, puis s'allongea sur le dos en laissant ses jambes légèrement écartées. Je répondis à son invitation et vint m'allonger sur elle pour l'embrasser.

Puis de ma main droite, je saisis mon pénis pour le porter face à son orifice humide.

-Tu es prête ?

-Vas-y, fit-elle.

Elle ne se fit pas prier, et d'un mouvement du bassin, je la pénétrai. Elle gémit tout d'abord à la pénétration, puis m'accompagna dans une danse frénétiquement. Sous mes yeux, ses deux globes se balançaient de haut en bas, au rythme de nos mouvements de va-et-vients.

Elle gémit une nouvelle fois au bout de plusieurs minutes, puis ce fut mon tour, et je remplis une bonne partie du préservatif.

-C'était super, fis-je. ça faisait longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisir.

Je me retirai d'elle, et on changea de position pour se mettre sur le côté face à face. C'était une position plus pratique pour discuter au lit.

Après vingt bonnes minutes à discuter et à rigoler ensemble, je me sentis de nouveau d'attaque. J'allais lui proposer de refaire l'amour, quand elle me posa une nouvelle question :

-Tu veux pimenter un peu la soirée ? Fit-elle simplement.

-Si tu veux, répondis-je en me rapprochant d'elle. Qu'est-ce que tu as envie de faire ?

-Je te laisse choisir, fit-elle en déposant un baiser sur mon torse.

Elle resta blottie contre moi en attendant ma réponse.

Je pris son corps dans mes bras, en réfléchissant à ce que j'allais lui répondre. En fait, une idée m'avait déjà effleuré l'esprit plus tôt dans la soirée, d'abord en sortant du bar, puis juste après l'avoir déshabillée dans la chambre. Je l'avais matée et lui trouvais de très jolies fesses. Cela avait aussitôt fait surgir dans mon esprit des idées perverses.

Ma main glissa instinctivement vers son fessier en lui faisant une caresse à cet endroit.

Je ne savais pas si c'était une bonne idée de faire ce que j'avais en tête. Elle risquait de très mal le prendre si elle n'aimait pas ça. Mais bon après tout, c'était elle qui en demandait plus, pas moi.

En prenant soin de ne pas la brusquer, je fis glisser mon doigt entre ses fesses, et atteignis son anus, sans chercher à passer dans son intimité. Comme ça si elle ne voulait pas elle avait le temps de réagir.

Je vis qu'elle avait simplement relevé les yeux vers moi.

-Tu veux mon cul ? Demanda-t-elle d'une petite voix.

Cette fois, le ton de sa voix avait changé. Je la sentais beaucoup moins sûre d'elle, contrairement à tout ce qui s'était passé au cours de la soirée.

Je retirai aussitôt mon doigt de sa zone sensible, et la repris normalement dans mes bras.

-Tu n'as jamais fais ça avant, n'est-ce pas ? Lui demandai-je.

Elle hocha la tête positivement, mais repris juste après :

-Mais je veux bien essayer, fit-elle.

Elle marqua une pause, avant d'ajouter :

-Je savais qu'un jour ça allait venir de toute façon.

Je serrai Manon contre moi.

-Tu as de la chance, fis-je. Comme je suis médecin, j'ai tout ce qu'il faut pour ça ici à l'appartement.

Je la relâchai et me retournai pour me relever du lit.

-De la vaseline ? Demanda-t-elle en se relevant à son tour.

-Oui, en partie, répondis-je.

Je quittai la chambre, et à ma surprise Manon m'emboîta le pas. La jeune femme traversa l'appartement toute nue avec moi, jusqu'à la salle de bain où je fouillai dans une boîte à pharmacie pour en ressortir un tube de vaseline neuf.

Manon se tenait droite, à l'entrée de la salle de bain.

-Tu m'en mets ? Demanda-t-elle. Je préfère que tu t'en occupes.

-Ok.

Elle fit alors un pas à l'intérieur de la pièce.

J'ôtai le bouchon du tube pour percer la sécurité, et lui demanda :

-Tu veux que je fasse ça ici ? Dans la salle de bain ?

-Pourquoi pas. Répondit-elle simplement.

Puis elle se retourna dos à moi pour me montrer ses fesses. A ce moment, mon coeur se mit à battre beaucoup plus vite. Le geste que je m'apprêtais à faire m'excitait tout autant qu'au moment de lui faire l'amour, voir même davantage. Cette jeune femme m'offrait son cul, et avec ça le droit de lui ôter sa virginité anale. Considérant qu'elle devait être probablement tout aussi stressée que moi, je décidai d'y aller petit à petit.

Je déposai une bonne goutte de vaseline en gel sur mon index, puis reposa le tube pour m'approcher de Manon et m'accroupir derrière elle. A l'aide de deux doigts, je lui écartai les fesses suffisament pour apercevoir sa petite rondelle serrée.

Dans le cadre de mon travail, je m'étais déjà retrouvé quelques rares fois dans ce genre de situation, mais ça restait uniquement professionnel. Cette fois, j'allais pouvoir y prendre du plaisir.

Manon, peut-être un peu gênée par l'obscénité de mon geste, bougea un peu, et je dus ré-écarter ses fesses correctement pour voir à nouveau son anus.

Pour faciliter les choses, je lui demandai de changer sa position.

-Manon, est-ce que tu peux te pencher sur la baignoire, s'il-te-plaît. Ce sera plus facile.

Elle me fis confiance et changea de place pour se mettre comme je lui avait demandé, je pus alors me replacer derrière elle et vis qu'elle avait les fesses suffisament écartées pour que j'entrevois son anus. J'étalai rapidement la vaseline tout le long de mon doigt, et posai le bout de mon index sur son orifice.

Je sentis mon doigt qui allait commencer à rentrer mais stoppai mon geste.

-Je t'attends, fis-je. Je sais que ça peut être gênant, donc j'attends ton feu vert.

-Je te l'ai déjà donné il y a cinq minutes, alors vas-y, fit-elle sans se retourner.

J'appuyai, et vis mon doigt rentrer doucement dans le cul de Manon, d'abord de quelques centimètres, pour ne pas lui faire mal, puis plus profond en faisant insister mon doigt. Son anus se resserrait sur ma peau. Je sentis l'intérieur de son derrière qui était tout chaud.

A quelques reprises, son anus émit un bruit gras, provoqué par la vaseline que je faisais rentrer dans son cul.

-ça va ? Lui demandai-je comme elle ne disait rien.

-Oui, répondit-elle. Et toi ? ça t'excite de me faire ça ?

-Affreusement, répondis-je.

A nouveau, un bruit comme un pet gras se fit entendre alors que je renfonçai mon doigt.

-Désolée, fit-elle.

-C'est pas grave, fis-je. C'est naturel.

Je repensai alors à quelque chose d'autre que j'avais ici, et qui pourrait se montrer très utile. Je retirai tout d'abord mon doigt, et pris une feuille de papier toilette pour m'essuyer. Puis j'ajoutai :

-Tu veux que je te donne un lavement, Manon ? J'ai tout le matériel qu'il faut ici.

Sa première réaction fut de lancer un "beurk" à voix haute. Puis elle se retourna pour ma faire face, et je me redressai pour la prendre par les épaules.

-ça t'aidera à te sentir plus zen, expliquai-je.

-Tu veux me "vider" ? Demanda-t-elle.

-Que si tu veux bien. Je te promets que je ferai ça doucement.

Elle prit un instant pour réfléchir, puis me donna sa réponse.

-C'est d'accord. Mais après, je veux pas que tu me regardes me vider, fit-elle.

-Très bien.

Après avoir accepté sa condition de ne pas la regarder se soulager, je partis chercher un ballon à lavement dans une autre pièce, et revint dans la salle de bain.

Manon se tenait toujours là, debout et complètement déshabillée. Jamais dans ma carrière je n'avais eu l'occasion de pratiquer un lavement sur une femme aussi jeune et mignonne qu'elle.

J'ouvris alors le robinet pour régler l'eau pour qu'elle soit tiède, et entrepris de remplir le ballon. Sa contenance était de deux litres, mais je décidai de n'en remplir qu'un peu plus de la moitié.

Manifestement, Manon, qui me regardait faire, dû avoir un peu peur en voyant la quantité d'eau.

-T'as pas plutôt un suppo ? Demanda-t-elle. A la place de ça ?

-Quoi ? Fis-je.

Je n'avais pas bien compris.

-Un suppositoire, précisa-t-elle. ça sert à la même chose, non ?

-Ah, ok, compris-je.

Je fus touché qu'elle me demande ça, mais dû refuser.

-Désolé, répondis-je, je n'ai pas de suppositoire ici à te donner. Mais tu verras, ce lavement va très bien convenir, inutile d'avoir peur.

Après l'avoir convaincue en lui rappelant que j'étais médecin, je lui demandai de se remettre penchée sur la baignoire, ce qu'elle fit avec grand plaisir. Je pris alors le bout du tube qui dépassait du ballon, repérai le petit trou de Manon entre ses fesses légèrement ouvertes, et le fis glisser de cinq bon centimètre dedans. Tout en le maintenant enfoncé pour éviter qu'il ne ressorte, je retirai la pince et leva le ballon en hauteur.

Je vis l'eau commencer à s'écouler vers ses fesses.

-C'est bon, tu sens l'eau qui arrive ? Demandai-je.

-Oui, répondit-elle. ça va prendre du temps ?

-ça dépend de comment tu absorbes l'eau, mais je dirai cinq bonnes minutes. Quand tu sentiras que ça force pour sortir, préviens-moi.

J'attendis ainsi une bonne minute. L'eau descendait du ballon dans le tube, qui filait dans le trou de balle de Manon. La vue de la scène m'excitait et cela ne lui échappa pas.

-ça t'excite ce lavement, me fit-elle en jetant un regard vers mon sexe.

-Oh que oui, confirmai-je.

Un peu plus tard.

-Tu as déjà fait ça avant ? Me demanda-t-elle.

-Oui, répondis-je. Je travaille comme médecin, je te rapelle.

-Non, je te parle pas de faire un lavement, corrigea-t-elle, je parle de la sodomie.

-Oui, aussi, avouai-je.

En fait, ça remontait à des années. Mes souvenirs étaient relativement vagues.

-Elles ont eu mal ? Quand tu es rentré ? Interrogea-t-elle.

Je savais qu'elle avait besoin d'être rassurée, alors je lui répondis :

-Non, tout se déroulait bien.

C'était peut-être un mensonge. En effet, Manon allait probablement avoir un peu mal à son petit trou, d'abord parce que c'était sa première fois et qu'elle était stressée, ensuite parce que ce n'était pas toujours évident de pénétrer une femme par derrière et qu'il fallait en général forcer un peu pour passer.

Je lui donnai des caresses dans son dos pour la rassurer, puis un moment elle m'indiqua qu'elle était "prête" à faire. Je regardai le ballon. Il était presque vide, je retirai donc le tube du cul de Manon et rangea tout dans l'évier.

-Tu peux te soulager, fis-je. Je vais aller t'attendre dans le lit.

Je patientai environ dix minutes dans la chambre, quand j'entendis les pas de Manon me rejoindre. Elle était toujours toute nue. Pendant qu'elle se vidait, je n'avais pas perdu mon temps et avais étaler une bonne couche de vaseline sur mon pénis.

Manon ne dit rien. Elle entra en silence dabs la chambre et vint s'allonger sur le lit, sur le flanc, en me tournant le dos. Elle s'était mise ainsi pour m'offrir son petit trou. Ce n'était pas la position la plus pratique pour une sodomie, mais je ne lui fis pas remarquer.

Je m'allongeai derrière elle, contre son corps chaud, et commençai par lui passer une main dans les cheveux pour l'embrasser dans le cou.

-J'espère que c'est pas ta main dont t'es servi sur moi, plaisanta-t-elle.

-Je me suis lavé les mains après, fis-je.

Je me rapprochai de plus en plus de son corps, mon sexe tendu commençait à chercher un chemin dans la raie de ses fesses.

-On y va ? Demandai-je.

-Vas-y doucement, fit-elle en guise de réponse.

Je pris mon pénis en main, et le dirigeai entre ses fesses. Après avoir repéré à l'aveugle son petit trou grassouillet, je posai mon gland dessus et le maintint ainsi appuyé. Puis je lâchai mon sexe et enlaçai Manon devant moi.

-Il faut que tu m'aides en poussant, ok ?

-Ok, fit-elle.

Je sentis son ventre se contracter, et poussai moi aussi tout en l'attirant contre moi.

Mais Manon s'arrêta aussitôt de pousser et referma le passage.

-Pousses encore, fis-je.

-Oui, désolée. Vas-y.

Je repris mon mouvement, mais elle ne pu continuer là non plus. Ce n'était pas la première fois que je pratiquais la sodomie et je savais que ce n'était pas évident de rentrer dans un trou de balle la première fois.

Moi et Manon on essaya encore dix bonnes minutes, mais à chaque fois ça se terminait de la même façon. Je décidai donc de faire un pause.

-ça ne marche pas, fis-je. Tu te crispes dès que ça va passer.

-Désolée, fit-elle. J'y arrive pas. Elle se retourna dans le lit pour me faire face, et je la pris dans mes bras.

-C'est pas grave. On ressayera un peu plus tard, fis-je en lui donnant un baiser.

Pour la préparer, je glissai ma main entre ses fesses et commençai tout d'abord à titiller son anus encore lubrifié. Pendant ce temps elle se mit à me masturber doucement.

Je fis rentrer un doigt dans son derrière, et sentis son coeur s'accélérer.

Quelques dizaines de minutes étaient passées. J'estimai avoir assez tripoté le trou de Manon pour le rendre assez souple et faciliter les choses. La jeune femme se remit dans la même position que tout à l'heure, et j'en fis de même.

Après deux autres tentatives infructueuses, je décidai de forcer un peu de mon côté pour parvenir à pénétrer son petit trou résistant.

-Hé ! Fit-elle en voyant que je forçai au moment où elle se crispait.

-Vas-y, pousse plus fort, fis-je en continuant de forcer.

Mais elle en fut incapable. Moi, je sentais que ça venait et n'anbandonnai pas. J'appuyai de toutes mes forces avec mon bassin.

Soudain, son muscle anal céda et mon pénis envahit d'un coup son intestin.

-Aie ! Cria-t-elle.

Elle poussa son cri si fort que je sursautai.

-Enlève ta bite ! ça fait mal, enchaîna-t-elle.

Je ressortis sans souci particulier de son cul, et elle se releva aussitôt dans le lit.

-ça brûle, se plaignit-elle. Je crois que je saigne.

-Attends. Laisse-moi regarder, fis-je.

Je la couchai sur le dos et lui relevai les jambes, puis écartai tout doucement ses fesses à l'aide de mes pouces. Comme je m'en doutais, elle n'avait rien de grave.

-Tu n'as rien, la rassurai-je. Tu es juste un peu rouge. Désolé, j'aurai pas dû faire ça.

Elle accepta mes excuses, et se recoucha dans le lit avec moi, sans souhaiter reprendre cette fois.

Au bout d'un moment, je lui fis :

-En tout cas, t'as perdu ta virginité anale ce soir, même si ça a été bref.

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Rabban the Clyst Il ya 9 ans  
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clyso Il ya 11 ans  
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