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Vues: 2288 Created: 2013.12.28 Mis à jour: 2013.12.28

Histoire de thermomètre et de suppositoire à l'hôpital

Histoire de thermomètre et de suppositoire à l'hôpital

Histoire de thermomètre et de suppositoire à l'hôpital

Bonjour (et joyeux Noël au passage !),

voici un texte qui n'est pas de moi, mais que j'ai traduis de l'anglais car je l'ai trouvé très excitant. J'ai terminé donc je le partage avec vous.

PARTIE 1 :

Bien, ça y est. Cela fait un bout de temps que je pense à écrire cette histoire, et je pense que le moment est venu pour ça.

Cette histoire se passait il y a un certain nombre d'années, quinze ans pour être exact, mais je m'en souviens encore comme si c'était hier.

Quand j'ai eu 19 ans, j'ai intégré une école d'infirmière pour devenir moi-même infirmier. Pendant cette formation, je passais deux semaines à l'école, puis deux semaines dans un hôpital pour un stage. A ce moment j'étais dans le service pédiatrique où l'on soignait les jeunes enfants. Ce service était presque vide, ce qui n'était pas le cas des autres services de l'hôpital, qui eux étaient souvent remplis. C'est pour cette raison que parfois, certains services confiaient leurs patients à d'autres pour se répartir le travail. Cela se produisit pendant mon stage, et on emmena un jour une jeune fille dans le couloir dans lequel je travaillais.

D'après le programme, elle arriverait le matin et pourrait repartir le soir même, après avoir passé une opération des amygdales. Elle arriva vers 9 heures du matin, et l'opération était prévue pour 10 heures. L'infirmière responsable m'appela à la salle de briefing et me demanda si je voulais m'occuper de cette patiente.

-Oui, pas de problème, répondis-je.

Elle me tendit alors un formulaire d'enregistrement et m'envoya en chambre numéro 3. Cette chambre comportait deux lits, mais seul le sien était occupé. Je la découvris assise sur le lit quand j'entrai dans la chambre. Sa mère se trouvait également dans la chambre, debout à côté d'elle. Je les saluai, me présentai, et les informai que j'avais quelques formalités administratives à faire. On remplit alors ensemble le formulaire d'enregistrement, pendant que je jetais un coup d'œil à la fille.

Elle était assez mince, plutôt mignonne (sans être non plus une bombe). Elle avait de long cheveux châtains clairs arrivant jusqu'en haut de son dos, des yeux verts et un sourire très mignon. Elle semblait aussi assez timide, et restait silencieuse pendant ce temps. Pour ce que je pouvais deviner, elle devait avoir une poitrine assez jolie, ni trop grande, ni trop petite. Au final elle était une fille plutôt mignonne. Pendant qu'on remplissait le formulaire, je pus voir son nom : elle se prénommait Ambre. Elle venait tout juste d'avoir ses dix-huit ans. Elle avait été malade un moment et s'était plainte de mal de gorge plusieurs fois, avant que le docteur ne décide de l'opérer aux amygdales.

Je lui dis de s'installer confortablement, et d'attendre mon retour pour que je l'emmène le moment venu jusqu'à la salle d'opération.

Lorsque ce fut le moment, je revins dans sa chambre, et la vit entrain de dire au revoir à sa mère, puis celle-ci quitta la chambre. je lui donnai alors une tenue d'hôpital (sorte de grande chemise blanche, ouverte à l'arrière), lui demandai de se déshabiller, d'enlever ses bagues et piercings, puis d'enfiler cette tenue et de se recoucher dans le lit.

-Je dois être complètement nue ? Demanda-t-elle.

-Tu peux garder ta culotte, si tu veux, répondis-je. Mais tu dois enlever le reste.

-Ok.

Je la laissai ensuite seule un moment dans sa chambre pour qu'elle se prépare. Quand je fus de retour, Ambre était couchée dans le lit, sous la couverture. Je lui demandai alors si elle devait aller aux toilettes une dernière fois, car une fois en salle d'opération il faudrait rester dans le lit.

-Oh, dans ce cas, je vais vite y aller une dernière fois, dit-elle.

Elle sortit de son lit, et tandis qu'elle regagnait les toilettes, je l'aperçus de dos une brève seconde, et vit qu'elle portait une culotte rose. C'était le type de sous-vêtements qu'on pouvait effectivement d'attendre d'une fille comme elle. Elle n'avait pas remarqué mon regard et ferma la porte des toilettes derrière elle. Quand elle revint, elle s'empressa de se remettre dans le lit et je partis avec elle vers les salles d'opération.

Là-bas, Ambre fut prise en charge par une autre infirmière, qui s'occupa à ma place (malheureusement) du traitement préopératoire : une piqûre dans le derrière. Cependant, de là où je me trouvais, je pus aisément voir ses petites fesses nues. Pendant le trajet jusque là, on avait discuté un peu. Elle ne semblait pas trop stressée, et me remercia de m'être occupé d'elle jusqu'ici. Je lui dis que je serai de retour dès qu'elle aurait fini son opération, dans la matinée, et regagnai mon lieu de travail.

Jusque là tout s'était plus ou moins passé normalement, mais bien plus de choses m'attendaient encore avec Ambre, dans la journée.

PARTIE 2

Il était environ 10h30 quand je reçus un appel pour dire que je pouvais déjà venir rechercher Ambre en salle d'opération. En y allant, j'emportai avec moi son pyjama, car elle allait devoir rester au lit un moment encore.

En la retrouvant, je lui demandais si elle allait bien, mais elle me dit que sa gorge lui faisait encore assez mal. Je la ramenai ensuite dans sa chambre, et là elle se rendormit rapidement.

Vers 11h15 - 11h30, c'était pour moi l'heure de la ronde pour voir si tout allait bien dans les chambres. La chambre numéro 3 était la dernière sur la liste. Je frappai trois fois et entrai dans la chambre. Ambre était réveillée à présent.

-Comment te sens-tu ? Demandai-je.

-J'ai encore mal à la gorge, se plaignit-elle. Est-ce que je peux avoir quelque chose contre la douleur ? Ça fait vraiment mal.

-Je vais voir ce que je peux te donner, fis-je. Je vais aller demander au docteur qui s'occupe de toi. Mais je dois d'abord vérifier ton pouls et ta température, avant ça.

Je pris en premier son pouls et notai le résultat sur sa fiche, puis je pris de mon chariot un thermomètre. Et il se passa la chose suivante.

Ambre regarda le thermomètre, il s'agissait d'un modèle au mercure, en verre. Il était assez gros par rapport à d'autres que j'avais pu voir ici.

-Je suppose qu'il faut que je me retourne, maintenant ? Demanda Ambre.

J'en lâchai presque le thermomètre que je tenais en main.

-Excuse-moi ?

-Euh, je veux dire, ce modèle ... c'est pour mettre dans les fesses, non ?

Je n'en croyais pas mes oreilles, ... mon cœur fit un bond dans ma poitrine. J'avais fantasmé de nombreuses fois à ce sujet, et aujourd'hui voilà qu'elle m'offrait littéralement de prendre la température rectale d'une jeune fille, ... pour la première fois de ma vie !

En effet en pédiatrie on prenait plutôt la température rectale, mais là il s'agissait quand même d'une fille de dix-huit ans ! Dans la confusion cependant, je fis :

-Si tu veux on peut la prendre sous le bras.

Aussitôt je me rendis compte que je risquais de tout gâcher, de gâcher peut-être la seule chance de faire ça à une aussi jolie patiente. Toujours confus, je continuai :

-Je ne peux pas te mettre le thermomètre dans la bouche à cause de ton opération, par contre.

-Non, pas la peine de s'embêter, répondit-elle. C'est gentil de proposer, mais si ici on prend la température rectale, alors on va faire comme ça. Ça ne va pas faire mal ?

Je mis quelques secondes à reprendre mes esprits et à comprendre que ça allait finalement bien se passer.

-On le fait souvent à des enfants, plaisantai-je, donc je pense que tu y survivras aussi.

Elle me rendit mon sourire, et je perçus son visage rougir légèrement.

-Ok, allons-y alors, fit-elle.

Je plongeais tout d'abord le thermomètre dans le désinfectant afin de le nettoyer. L'odeur du produit me rappela justement la prise de température. Mon cœur battait encore à toute vitesse dans ma poitrine. Cette expérience me procurait d'une part de l'excitation, d'une autre de la peur. Si un de mes responsable entrait dans la chambre, ou si Ambre racontait ça à d'autres employés ici, je risquais d'avoir des ennuis, de gros ennuis ! Mais je n'avais pas la tête à ça à ce moment-là.

Je posai le thermomètre sur le chariot, et j'entrepris de fermer les rideaux entre le lit et la porte. Comme ça si quelqu'un ouvrait la porte il ne verrait rien, et cela donnait aussi un sentiment d'intimité à Ambre.

Pendant que je fermais les rideaux, je vit Ambre prendre un verre d'eau sur sa table de nuit. En la voyant avaler, je compris qu'elle avait vraiment mal à la gorge. Je pris ensuite l'initiative de tirer les couvertures qui recouvraient Ambre, la découvrant avec son pyjama rayé rose et blanc.

-Ok, tu peux te surélever un peu avec tes bras ? Je vais t'aider avec ton pantalon.

Elle décolla son dos de quelques centimètres, et je pus alors tirer sur son pantalon pour le baisser jusqu'à ses genoux. Elle m'aida en relevant ses fesses le plus possible. Ne lui restait plus à présent que sa culotte rose que j'avais entraperçue tout à l'heure. Je fis mon possible pour ne pas regarder son entre-jambes, mais c'était vraiment difficile.

Sa culotte serrée me laissait deviner ses lèvres vaginales. Des poils pubiens apparaissaient même visibles, dépassant de sa culotte. Je dû me concentrer pour ne pas avoir d'érection. Heureusement ma tenue empêchait qu'on puisse le remarquer, si c'était le cas.

-Ok, maintenant tu peux te retourner, fis-je.

Ambre se retourna sur le ventre, et s'appuyant sur ses genoux, releva même un peu son derrière. Je fis glisser mes doigts sous l'élastique rose de sa culotte, et la tira de ses fesses, ... très lentement, ... savourant chaque instant. Mon cœur battait encore à fond, et cette fois je ne pus m'empêcher d'avoir une érection. Je descendis sa culotte jusqu'à la moitié de ses cuisses et contempla cette belle paire de fesses que j'avais à présent sous les yeux. Je pris un des oreillers et le plaça sous son ventre, frôlant sa peau.

-Tu peux te reposer sur cet oreiller maintenant, fis-je.

Elle se laissa retomber dessus et je repris en main le thermomètre que j'avais posé sur le chariot. J'y déposais alors quelques gouttes de lubrifiant dessus.

Je me retournais de nouveau vers Ambre.

-Prête ?

-Je suppose. Sois prudent.

-Ne t'inquiètes pas, je vais y aller doucement, répondis-je.

Je prévoyais de toute façon de faire ça le plus doucement possible, pour faire durer le plaisir et profiter de chaque instant. Je mis ma main sur son derrière et lui écartai les fesses avec mes doigts. Ensuite je déposai avec le thermomètre une goutte de lubrifiant sur son anus. Je posai ensuite la pointe de l'instrument sur son orifice, et le fit entrer doucement.

-C'est froid ! Fit Ambre.

Je continuai à pousser le thermomètre dans son cul, d'abord la pointe à l'extrémité, puis ensuite la partie plus large en verre. Je continuai de pousser jusqu'à ce qu'il soit rentré à moitié dans ses fesses. Elle poussa un petit gémissement sur la fin, signifiant qu'elle ne pourrait pas en recevoir plus que ça.

-Je dois te laisser une minute seule, fis-je. Je ne t'ai pas fait mal ?

-Non c'est bon, répondit-elle.

-Je vais aller voir le docteur et demander ce que je peux te donner pour la douleur, annonçai-je. Tu penses que tu pourras avaler un comprimé ?

-J'ai déjà mal quand je bois, fit-elle. Il n'y a pas d'autres choses ?

Elle ajouta aussitôt :

-Mais pas de piqûre, s'il-te-plaît. Je déteste ça. On m'en a déjà donné une avant l'opération, tout à l'heure.

-Je vais voir ce que je peux faire, répondis-je. Je dirai au docteur que tu préfères ne pas avoir de piqûre.

-Merci.

Je quittai la chambre en jetant encore un regard vers le thermomètre qui dépassait de ses fesses.

Heureusement que je sortais, sinon elle aurait fini par se rendre compte de mon regard. Je partis voir le docteur d'Ambre, et lui expliqua la situation.

C'est alors qu'il m'offrit mon deuxième cadeau de la journée.

-Si elle ne veut pas de piqûre, et qu'elle ne peut pas avaler de comprimé, la dernière option qu'elle nous laisse, ... c'est un suppositoire, expliqua le docteur.

Là aussi j'eus sur le coup du mal à y croire, mais il m'avait vraiment donné cette solution.

-Je vais lui en prescrire aussi pour chez elle, ajouta-t-il. Tu pourras aller les chercher à la pharmacie tout à l'heure. Est-ce qu'il t'en reste dans ton service pour maintenant ?

-Juste ceux pour enfants, répondis-je.

-Alors donne-lui en deux, ça fera l'affaire.

Il me laissa. Je repartis vers la chambre numéro 3, emportant avec moi une boîte de suppositoires de la réserve. Quand je fus de retour, je retrouvai Ambre comme je l'avais laissé : les fesses à l'air avec le thermomètre dedans. Elle était couchée et attendait sagement mon retour.

-J'ai vu le docteur, fis-je en tirant doucement le thermomètre. Encore une minute à attendre.

Je remis le thermomètre en place (la température était prise, mais je voulais faire durer le moment).

-Il dit que si tu ne peux pas avaler, je dois te donner une piqûre, fis-je.

J'attendis pour lui annoncer l'autre option, et Ambre réagit comme je le pensais.

-Non, pas de piqûre, s'il te plaît.

-Dans ce cas, la seule solution qui reste, c'est un suppositoire. Mais ce n'est pas très agréable.

-N'importe quoi tant que ce n'est pas une piqûre ! Répondit-elle. Et puis, je suis déjà en position pour un suppositoire.

Elle me lança un sourire. Je la regardai et essayait de deviner ce qui se passait derrière son visage timide. Cherchait-elle à jouer ? Aime-t-elle ce genre de traitements ?

-Ok, c'est ton choix, fis-je.

Je revins sur elle, et retirai le thermomètre de ses fesses, ... toujours très lentement encore.

PARTIE 3 :

C'était dans la chambre 3 que j'avais pour la première fois pris la température rectale d'une fille, mignonne qui plus est. Mais le traitement était encore loin d'être terminé ! J'étais debout à côté d'Ambre, dans sa chambre, retirai la boîte de suppo de ma poche, et la posai sur le chariot, bien en vue, afin qu'elle voit que le traitement allait commencer et qu'elle ne change pas d'avis. J'attrapai également un gant médical, l'enfilant en faisant claquer l'élastique sur mon poignet. Ensuite je sortis deux suppositoires de la boîte, et trempai mon doigt dans un pot de gel lubrifiant.

-Je suppose que tu auras un traitement aussi pour chez toi, expliquai-je. Comme tu ne peux pas avaler, ce sera sûrement en suppositoire aussi.

Elle hocha la tête, restant silencieuse.

-Je vais devoir t'en mettre deux. Ceux-ci sont des petits formats pour enfants normalement. Tu auras surement des tailles adultes pour chez toi.

J'avais le doigt de la main droite lubrifié, et dans la gauche je tenais les deux suppos. J'ouvris l'emballage du premier, prêt à le mettre.

-Peux-tu lever un peu tes fesses ? Demandai-je.

Elle s'exécuta, m'offrant ainsi une meilleure vue encore de son entre-jambes. Je distinguais à présent correctement son anus et son sexe. Alors je lui écartai complètement les fesses de ma main gauche, et de l'autre je posai mon doigt lubrifié sur sa rondelle, en massant légèrement l'endroit. Je pris ensuite le suppositoire déballé, le posai sur son orifice, et commençai à pousser dans son rectum, lentement, appréciant chaque seconde. Quand le suppo fut entièrement dedans, je continuai à pousser de quelques centimètres encore, faisant glisser mon doigt dans son cul, accompagnant le suppositoire plus loin. Je vis Ambre contracter son sexe et son anus en même temps, ce qui était une réaction normale quand quelqu'un vous mettait un doigt dans le cul, pour ensuite se décontracter à nouveau.

Appréciant la situation, je relâchai les fesses d'Ambre, mais maintins mon doigt un moment dans son derrière. Je sentis sa chaleur interne, et perçus également son anus qui se crispait sur mon doigt en voulant se refermer.

-Ça va ? Demandai-je.

De nouveau, Ambre resta silencieuse, se contentant de hocher la tête.

Je commençai à retirer mon doigt, puis vers la fin, je le renfonçai des 2/3 de sa longueur, poussant une dernière fois, avant de ressortir pour de bon.

-On va attendre une minute pour mettre le suivant, fis-je. Après ce sera terminé.

Elle me lança en réponse juste un sourire, et rougit encore une fois.

-Ok. C'est parti pour le dernier ?

-Oui. Au fait c'est normal que j'ai l'impression d'avoir envie d'aller aux toilettes, c'est à cause du suppositoire ?

-Oui, c'est normal. Mais tu ne peux pas y aller, il faut que ça fasse effet. L'effet sera partit dans quelques minutes, ne t'inquiètes pas.

J'ouvris le deuxième suppo, identique au précédent. Dans ma tête je redoutais déjà que ce soit la fin du traitement. Je lui écartai de nouveau ses fesses et pris le médicament en main. Je posai la pointe au milieu de son orifice, et poussai à nouveau. Cette fois, comme pour retarder la fin du traitement, je poussai encore plus lentement. Mais cette fois Ambre ne resta pas passive. Elle souleva un peu ses fesses, venant se pousser contre mon doigt, accélérant l'introduction du suppo. Lorsque mon doigt fut entièrement enfoncé, je fis un à nouveau un petit aller-retour, plus rapide cette fois, puis ressortis mon doigt.

-Voilà, fin du soin ! Annonçai-je.

-Merci, fit Ambre.

Je retirai mon gant, puis le jetai dans la poubelle. Ensuite je retirai l'oreiller qui était placé sous le ventre d'Ambre. Celle-ci se redressa, d'abord assise sur le bord du lit, puis debout, me donnant une occasion de contempler son sexe encore une fois. Elle remonta son pantalon et sa culotte, puis se rassit sur le lit.

-Je te revois tout à l'heure quand tes médicaments seront arrivés à la réserve, fis-je.

Puis j'ouvris les rideaux autour de son lit, et la laissai seule pour retourner à mes autres tâches. Pendant tout ce temps, j'avais gardé mon érection. Je n'arrivais pas encore à prendre conscience de ce que je venais de faire ce matin.

PARTIE 4 :

Plus tard dans la journée je reçus un appel pour dire que les médicaments demandés étaient prêts. Je partis chercher cette commande, puis revins à mon étage. En passant devant la chambre 3, je jetai un œil au contenu et vis la boîte de suppositoires destinée à Ambre. Il s'agissait bien cette fois de taille adulte, plus gros que les autres utilisés le matin. Mais bon, pas la peine de rêver cette fois, ce genre de chance n'arrive qu'une fois !

Je pénétrais dans sa chambre, et la vit entrain de regarder la télé. Je lui donnai la boîte et l'ordonnance, et lui demandai si elle n'avait besoin de rien.

-Je vais bien, répondit-elle. On s'est bien occupé de moi ici.

Elle me lança un sourire, puis cligna des yeux.

-Ok. Si tu as besoin de quelque chose, tu n'as qu'à sonner et je viens.

Je quittai la chambre et la laissais seule à nouveau.

Plus tard, c'était la ronde pour voir si tout allait bien, en fin d'après-midi. C'était mon dernier travail de la journée, après je pourrais rentrer chez moi. Lorsque je passai dans la chambre 3, Ambre était assise dans le canapé, regardant par la fenêtre. Elle s'était complètement rhabillée, et son sac était rangé.

-C'est l'heure de la température ? Demanda-t-elle.

De nouveau, j'eus un début d'érection.

-Non, répondis-je. Tu es prête à rentrer chez toi, tu n'as plus besoin d'être contrôlée.

J'aurai bien voulu, mais je ne devais pas pousser ma chance trop loin.

-Pour l'instant, je suis encore ici. Est-ce que le docteur a dit que je pouvais partir maintenant ?

Elle avait un air plutôt sérieux, je ne comprenais pas ce qu'elle voulait.

-Non, répondis-je, mais ça ne devrait pas durer très longtemps.

-Alors je suis encore ta patiente. Je ne voudrais pas que tu aies des ennuis pour n'avoir pas fait ta ronde en entier.

-C'est pas grave, tu sais. Tu n'es pas obligée...

-Ça ne prend que 10 minutes, fit-elle.

Elle lança à nouveau un sourire.

-Bon, ok alors, si ça ne te pose aucun problème.

Maintenant, c'était sûr. Ses sourires, sa timidité. Ambre s'amusait depuis le début. C'était sûr qu'elle aimait ce genre de traitement !

-Ok, allons-y, fis-je.

Maintenant, j'allais pouvoir moi aussi jouer.

Je lui pris d'abord son pouls, et notai le résultat sur sa fiche.

-Tu sais ce qui vient ensuite ? Demandai-je.

Elle me sourit et se dirigea vers son lit. Elle déboucla ensuite sa ceinture et déboutonna aussi son jeans. J'étais presque sûr de la réponse, mais je demandai quand même :

-Tu es sûre de vouloir la prendre de cette façon ? J'ai trouvé un autre thermomètre que je peux mettre sous ton bras.

Si elle voulait vraiment jouer, elle allait devoir le faire clairement.

Ignorant ma question, elle baissa juste son jeans, dévoilant une nouvelle culotte, blanche cette fois-ci., puis se pencha complètement sur le lit, les fesses bien en arrière.

-Ça va comme ça ?

-Très bien, répondis-je.

Cette fille était décidément bien joueuse. Je pris le chariot vers moi en m'approchant d'elle.

-Est-ce que tu veux que je ferme les rideaux ?

-Non, pas la peine.

Je pris le nouveau thermomètre du chariot, et le sortis de sa boîte. J'y appliquai quelques gouttes de lubrifiant sur la pointe, puis me retournai vers Ambre. La vue de cette jeune fille, le pantalon baissé au niveau des chevilles, les fesses bien en arrière, attendant qu'on s'occupe d'elle, qu'on lui baisse sa culotte pour faire le nécessaire ... mon cœur se remit à battre à toute vitesse. Je me positionnai derrière elle et baissai légèrement sa culotte, à mi-cuisses, de façon à voir et son anus et son sexe. Je posai la pointe du thermomètre sur son anus tout en écartant ses fesses, puis l'enfonçai lentement, faisant exprès d'aller le plus profond possible.

-C'est froid, l'entendis-je murmurer.

Cette fois, je restai derrière elle toute la durée du traitement, gardant ses fesses écartées et maintenant le thermomètre enfoncé dans son cul. C'était là une situation sur laquelle j'avais fantasmé de très nombreuses fois, et maintenant elle se réalisait !

Lorsque ce fut fini, je retirai le thermomètre, et lui lus sa température.

-37.3°C. Un peu plus haut que tout à l'heure, mais ça va. Tu peux te rhabiller maintenant.

Je lui lâchais les fesses que j'avais maintenu écartées, la laissant remettre ses vêtements. Quand elle eut fini, j'allais quitté la chambre.

-Tu n'as besoin de rien autre ? Demandai-je avant de sortir.

-Euh oui, encore une chose en fait. Ces suppositoires, quand je vais les ... mettre ...

Elle recommença à rougir.

- ... est-ce que je dois maintenir mon doigt ? ... ou autre chose ? Je n'ai jamais dû faire ça avant. Pas seule en tout cas.

Je jeu avec Ambre n'était pas encore terminé, visiblement.

-Est-ce que tu veux que je te regarde en mettre un, pour voir ?

-Ça ne te dérange pas ? Répondit-elle.

-Non, c'est mon travail, après tout.

PARTIE 5 :

Ambre prit la boîte de suppositoires prescrite, en tira une plaquette dehors, et en sépara un emballage à part.

-Tu dois le déballer en tirant de chaque côté de l'emballage, lui dis-je.

Elle le déballa correctement et extrait le médicament blanc.

-Et maintenant ? Demanda-t-elle.

-Tu l'avales avec un verre d'eau, plaisantai-je.

Elle sourit à ma plaisanterie, mais resta sérieuse, voulant quand même une vraie réponse.

-Maintenant tu peux rester debout, ou bien te coucher, comme tu te sens le mieux, dis-je.

Ambre regarda la chambre et se dirigea vers le lit.

-Ne le gardes pas trop longtemps en main, dis-je, ça fond.

-Oh, ok.

Elle posa le suppositoire sur le lit, et tira sur son jeans et sa culotte, les baissant tous les deux à la fois. Elle se retrouva alors une fois de plus l'entre-jambes à l'air devant moi.

Elle se tourna alors vers le lit, voulut passer une jambe dessus, mais échoua. Baisser son pantalon avant était une mauvaise idée. Elle remonta un peu ses vêtements, jusqu'aux genoux, puis grimpa sur le lit. Elle se laissa retomber sur le matelas, et resta couchée sur le côté (les fesses face à moi).

-Maintenant tu mets un peu de lubrifiant sur ton doigt, fis-je en lui tendant le pot.

-Lequel ?

-Celui que tu préfères. Tu veux un gant ?

-Non, c'est bon, répondit-elle.

Elle s'étendit un peu de gel sur l'index.

-Maintenant, tu l'étales ... tu sais où, fis-je.

Elle me répondit en s'exécutant, passant sa main derrière elle et commençant à se toucher le trou de balle.

-Je dois rentrer mon doigt ? Demanda-t-elle.

-Comme tu veux, c'est pareil. Fais comme tu le sens.

Et alors je vis Ambre se pousser doucement un doigt dans le cul, pas très profondément d'abord, puis après quelques allers-retours elle y mettait la moitié de son doigt. Elle arrêta son massage et attrapa le suppositoire qu'elle avait mis sur le lit. Elle posa le médicament sur son anus, puis poussa son doigt à nouveau dedans, introduisant le suppo. Elle refit alors des allers-retours (sept fois !) avant de ressortir. Elle me regarda et me demanda :

-C'est bon comme ça ?

-Parfait ! Bon travail.

On se sourit tous les deux, puis elle roula sur le matelas et se rhabilla correctement. Elle se dirigea ensuite vers la salle de bain pour se laver les mains. Quand elle revint, avant que je ne partes, elle me lança :

-Merci de ton aide au fait.

-De rien, je n'ai fait que mon boulot.

Je quittai ensuite la chambre. Quand Ambre fut partie, et que je rejoignis la salle de briefing, l'infirmière en chef me dit :

-Je te remercie de la part de la patiente de la chambre 3. D'après elle, tu t'en es très bien occupé aujourd'hui. Continues comme ça, on a besoin de personnes comme toi ici.

Je répondis juste d'un sourire et quittai la pièce. Avant de rentrer chez moi, j'emmenai discrètement un petit souvenir de cette journée : le thermomètre utilisé pour la température d'Ambre. Aujourd'hui encore je garde ce précieux souvenir bien à l'abri. Lorsque je m'en sers, ça me rappelle à chaque fois ce qui s'est passé ce jour-là.

FIN

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