Vues: 889 Created: 2018.01.28 Mis à jour: 2018.01.28

Ma femme me donne un traitement de force

Chapter 1

Ma femme me força à la suivre dans la salle de bain en m'entraînant de force par le bras. Je n'étais pas d'humeur à lutter contre elle, et de toute façon, c'était inutile : de son métier de soldat dans les forces spéciales militaires, elle était en bonne condition physique et me surpassait largement s'il fallait me maîtriser.

-S'il-te-plaît, pas besoin de faire ça, insistai-je.

-Désolé, mon chéri, mais il faut que tu dormes, répondit-elle.

Il était presque une heure du matin. J'avais un gros mal de tête, et n'arrivais pas à m'endormir. Ma femme avait alors décidé de m'aider, mais d'une façon que je n'avais pas vraiment envie de tester.

-S'il-te-plaît, répétai-je, je n'en veux pas.

Ma femme n'écouta pas. Elle sortit de son sac une petite boite à pharmacie militaire, et en retira une autre petite boite. Celle-ci contenait des suppositoires sédatifs assez puissants, normalement réservés à un usage militaire. Plus tôt dans la soirée, elle m'avait déjà proposé de m'en donner un.

-Normalement, c'est réservé pour nous si on est blessé en mission, ou aussi pour les prisonniers, m'avait-elle expliqué. Ça rend inconscient en moins d'une minute, de quoi faire un joli dodo.

J'avais refusé. Je n'aimais pas l'idée de me faire plonger dans l'inconscience par un médicament. Je préférais aller me reposer pour guérir naturellement. Malheureusement, je n'avais pas réussi à dormir, et elle avait décidé de m'imposer le traitement.

Ma femme était à présent dans la salle de bain avec moi. Elle sortit de la boite un de ces fameux suppositoires. Le médicament était plus gros que ce que j'imaginais : cinq bons centimètres de longueur, pour deux centimètres de largeur ! C'était la première fois que j'en voyais un.

-Penche-toi en avant au-dessus de l'évier, m'ordonna-t-elle.

-Chérie, je n'ai pas envie, me défendis-je.

Elle me regarda d'un air désolé.

-Je sais que tu n'aimes pas ça, mais c'est pour t'aider que je le fais, m'expliqua-t-elle. Allez, fais ce que je te dis. Dans quelques minutes, tu feras un gros dodo et tu n'y penseras plus.

-Tu n'es pas obligée...

Ma femme était plutôt expéditive et n'avait pas l'habitude de tourner autour du pot très longtemps, je la connaissais. Elle était plutôt directe, et efficace, comme elle aimait le dire. Elle s'avança vers moi.

-Bon, si tu m'y obliges, je vais devoir te le mettre de force.

Elle me saisit, me retourna dos à elle, et me força à poser mes mains sur le bord de l'évier.

-Restes ainsi, fit-elle.

Je ne fis aucun mouvement. Je savais qu'elle était capable de me plaquer au sol pour me mettre le suppositoire s'il le fallait, et ça aurait été beaucoup moins agréable.

-C'est bon, fis-je, je me laisse faire. Mais vas-y doucement.

Concentrée sur sa tâche, elle me baissa mon pantalon de pyjama pour dénuder mes fesses. Elle attrapa ensuite le petit "missile" et le dirigea vers mon orifice.

-Tu ne veux pas utiliser du lubrifiant d'abord ? Fis-je pour gagner du temps.

-Ça suffit, répliqua-t-elle, arrête de faire ton douillet !

Et là elle plaça la pointe du suppo contre mon trou du cul. La connaissant, elle n'allait pas y aller en douceur : A défaut d'être efficace, elle n'était pas très délicate. Je retins ma respiration.

Le reste se passa rapidement. Elle plaqua d'abord une main sur mon ventre pour me stabiliser, tandis que l'autre maintenait le suppositoire en place. D'une poussée ferme, elle m'introduisit le médicament dans le cul. Son doigt rentra d'une bonne longueur dans mon rectum avant de ressortir, évitant ainsi toute expulsion de ma part.

Aussitôt, une sensation de brûlure m'envahit. Le suppositoire commençait à agir immédiatement.

-Ça brûle ! Me plaignis-je, Retire-le.

-Trop tard, fit-elle, il est mis. Allez, viens au lit, maintenant.

Elle remonta mon pantalon, passa un bras dans mon dos, et me raccompagna jusqu'à la chambre où elle me laissa sur le lit.

-Je reviens, fit-elle, je vais juste me laver les mains.

Tandis qu'elle s'éloignait, mes yeux se fermèrent sous l'effet du sédatif. Lorsqu'elle revint, je dormais profondément comme un bébé.

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Maec Il ya 6 ans  
Latex66 Il ya 6 ans  
Maec Il ya 6 ans  
clyso Il ya 6 ans