Vues: 1264 Created: 2017.09.18 Mis à jour: 2017.09.18

Léa chez le médecin

Chapitre 1

Léa doit participer à une manifestation sportive qui se déroulera le lendemain, cet évènement lui tient particulièrement à cœur, elle y rejoindra toutes ses amies de sa plus tendre enfance, elle a appris au dernier moment qu’un certificat médical était nécessaire pour valider sa participation. Elle n’a plus guère le temps, ni le choix, elle prend rendez-vous après quelques coups de téléphone chez le premier médecin immédiatement disponible. Ce médecin qu’elle ne connaît pas n’a pas bonne réputation à en croire les rumeurs qui circulent à son sujet, il manquerait de pudeur à l’égard de ses patientes. Mais après tout il ne s’agit que d’un banal examen médical pense-t-elle, la délivrance du certificat ne sera qu’une simple formalité.

Elle se rend donc chez ce médecin, en fin d’après-midi, elle est la dernière patiente. Léa est rayonnante, d’une fraicheur et d’une jeunesse candide. Elle est vêtue d’une jupe assez courte, d’un chemisier serré qui met en valeur sa poitrine, au bout d’une dizaine de minutes la porte du cabinet s’entrouvre, laissant apparaitre un médecin plutôt âgé, celui-ci l’invite à entrer dans le cabinet. Léa indique rapidement le but de sa visite, expliquant l’importance que revêt pour elle la délivrance du certificat. Le médecin l’invite alors à s’assoir devant son bureau dans un fauteuil large et vétuste au dossier légèrement incliné, ce fauteuil qui n’a plus aucune consistance contraint léa à s’incliner vers l’arrière positionnant ses genoux légèrement au dessus du niveau du bassin. Ainsi assise, Léa ne se rend pas compte qu’en croisant et décroisant les jambes elle laisse apparaitre de temps à autres ses jolies dessous. Cette situation n’a pas échappé au médecin qui entreprend un questionnement précis et méticuleux de sa patiente, ses questions sont parfois intimes et dérangeantes, du style de l’apparition éventuelle de démangeaisons entre les jambes après la pratique du vélo et de la manière dont elle procède pour appliquer la pommade.

Une fois le questionnement terminé, le médecin l’invite à se dévêtir en conservant ses dessous, elle croit là encore que le médecin va s’adonner à une rapide consultation et palpation, ce qui après tout serait normal.

Elle se tient debout, elle est auscultée méticuleusement de la tête aux pieds. Tout y passe dans un premier temps excepté les parties intimes. Cependant le médecin s’attarde sur les jolies jambes de sa patiente, il palpe délicatement tous les muscles en partant des orteils, ses mains glissent le long des mollets, la peau est effleurée, les mains se positionnent de part et d’autre de la jambe droite d’abord. Les mains malaxent délicatement et sans relâche cette musculature fine et galbée. Les genoux sont à leur tour auscultés, les mains se dirigent en suite vers les cuisses, les gestes se font un peu plus pressants, la jeune femme sent alors comme un frisson lorsque la main droite du médecin contourne la cuisse pour se diriger vers l’intérieur de la jambe sans stopper sa progression montante vers l’aine, alors que l’autre main, dans un mouvement symétrique, empoigne délicatement la fesse pour se diriger aussi vers l’entre jambe, la progression de cette dernière est gênée par le slip, subtilement le médecin remonte alors le bord du sous-vêtement pour le loger plus aisément dans le creux de l’aisne laissant apparaître une fesse bien ronde et musclée. Les deux mains peuvent alors malaxer sans retenu le creux de l’aine dans toute sa profondeur en débordant de temps en temps par un effleurement du pubis. Chaque effleurement lui donne de nouveaux frissons. Elle sent alors poindre dans son antre une sécrétion dont elle ne peut maîtriser le flux, elle éprouve alors un sentiment de gêne mêlé à une excitation grandissante. Cette situation éveille bien sûr des soupçons mais elle pense que l’examen est sans doute bientôt terminé.

Le médecin se relève en suite, elle l’interpelle et lui demande si tout est ok, pas tout à fait lui répond-t-il, il lui demande de dégrafer le soutien gorge, elle ne refuse pas mais montre une certaine réticence, le médecin lui fait alors comprendre que la délivrance du certificat en dépend, elle se résout à dégrafer le soutien gorge qu’elle dépose sur la chaise avec le reste des ses vêtements.

Le médecin lui palpe alors les seins avec lenteur en alternant délicatesse et fermeté et s’attardant sur leur extrémité, il pince les tétons les tire légèrement, cette auscultation ne semble pas finir et elle y prend progressivement goût.

C’est alors que le médecin prétexte qu’il lui est nécessaire à nouveau de lui examiner le dos et en particulier la colonne vertébrale, ses doigts descendent délicatement le long de la colonne jusqu’à la culotte. Il lui demande alors à sa grande surprise de coucher son buste sur la table d’examen, il se positionne derrière elle, assis sur un tabouret, il glisse à nouveau lentement les doigts le long de sa colonne vertébrale et descend légèrement le slip pour accéder au coccyx. Il exerce une pression sur cette extrémité en positionnant le pouce et l’index de part et d’autre.

Gênée par cette position elle n’en est pas moins désormais excitée surtout quand le médecin lui dit qu’il va devoir procéder maintenant à un examen intime, elle proteste timidement en invoquant que sa toilette intime remonte au matin, elle n’avait pas prévue un examen intime pour un simple certificat médical ce qui l’aurait conduit à se rafraichir avant le rendez-vous, le médecin lui rétorque que ceci ne constitue pas pour lui un obstacle, après tout ce sont les contraintes du métier, en réalité il adore cette odeur de la vulve négligée, il fait alors glisser le slip jusqu’à mi-jambe et demande à sa patiente de bien vouloir se cambrer et écarter les jambes, elle se cambre donc, écarte les jambes jusqu’à la résistance de l’élastique de la culotte. Sans attendre le médecin place une main de part et d’autre du bassin pour le tirer à lui lentement mais fermement, léa n’oppose pas de résistance, il pose alors une main sur le bas du dos pour obliger léa à se cambrer davantage. Elle offre ainsi en spectacle toute son intimité à quelques dizaines de centimètres du visage du médecin.

Dans un geste toujours nonchalant, il écarte ensuite avec le pouce et l’index de la main gauche ses petites lèvres laissant apparaître son méat urinaire, de la main droite il approche un récipient pour recueillir ses urines, il insiste sur la nécessité de vérifier la dilatation de son orifice lors de la miction et la couleur de ses urines. Elle urine donc sans protester, il est désormais trop tard pour opposer tout refus à cet examen qu’elle n’avait pas prévu, elle se demande à cet instant ce que le médecin va encore lui réserver.

Une fois l’évacuation des urines terminées, avec l’index de la main droite le médecin essuie délicatement le méat. Des sécrétions apparaissent désormais, elle ressent sur ses fesses échaudées le souffle du médecin qui explore sa vulve, ses petites lèvres sont maintenues écartées pincées entre les pouces et index de chacune des mains, elle se cambre alors au maximum de ce que sa souplesse lui permet, elle recule à nouveau le bassin pour l’offrir au médecin qui apprécie cette invitation à approfondir l’examen.

Le médecin, par un mouvement circulaire de l’index droit inspecte l’anus dans lequel il finit par enfoncer lentement le doigt, puis un second. L’autre main se dirige alors vers la vulve, un doigt est introduit, un second le rejoint, les deux doigts fouillent et refouillent le vagin, tandis que les deux autres s’affairent au fond de l’anus, Léa prend maintenant grand plaisir à cet examen, elle laisse exprimer un gémissement, elle accompagne l’examen de son antre par un léger vas et vient, les doigts s’affairent de plus en plus habillement dans un vagin bien dilaté et inondé, un troisième doigt est introduit, le plaisir est tel que léa ne peut plus contrôler son excitation, elle implore le médecin d’introduire un quatrième doigt, elle sent couler maintenant un liquide chaud et abondant, la dilatation de son vagin est telle que le pouce peut être désormais introduit. Elle gémit alors bruyamment, la tentative de fist du médecin lui fait mal, mais l’excitation est trop grande, elle l’encourage à poursuivre ses investigations

Progressivement alors la main se fraie un passage, elle est maintenant presque entièrement rentrée seul apparaît le poigné, le médecin, par des rotations lentes explore cette cavité remplie d’un jus visqueux. Les gémissements s’accentuent entrecoupés d’une respiration saccadée.

A la vue du liquide odorant qui se glisse entre la main et le bord du vagin, le médecin ressent une envie irrésistible de gouter ces lèvres qui s’offrent à lui, il retire alors progressivement la main qu’il finit par porter à la bouche il suce un à un ses doigts gluants il se délecte de ce jus, prétextant qu’il ne peut mesurer par cette pratique peu orthodoxe l’acidité du fluide, il avertit sa patiente qu’il devra gouter directement à la source, ce qu’il fait sans attendre, il se délecte encore pendant de longues minutes de tout le jus qui sort encore abondamment.

La dégustation terminée, son diagnostic est sans appel, la patiente présente un déficit de vitamines qu’il souhaite combler sur le champ de manière naturelle, il invite alors sa patiente à se retourner, à s’agenouiller et à profiter des qualités naturelles de son sperme, le niveau d’excitation du médecin ne tarde pas à faire jaillir un jet puissant et chaud qui remplie la gorge de cette dernière, elle s’en délecte à son tour avant d’avaler l’élixir ainsi prodigué.

Les dernières gouttes de sperme évacuées sont englouties, le gland est délicatement léché et scrupuleusement, sucé, aspiré, le pouce de Léa vient comprimer l’urètre à de la base du phallus encore bien raide jusqu’au gland tuméfié, un dernier jet s’échappe alors et finit sa course sur le fond de la gorge de Léa. Cette séance inattendue terminée, elle va pouvoir enfin disposer de son certificat, mais attention la durée de validité de ce document est limitée précise le médecin n’oubliez pas qu’il faudra procéder à son renouvellement.

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FDN33 Il ya 3 ans  
clyso Il ya 7 ans  
Woyzeck Il ya 7 ans