Clairodon


Vues: 659 Created: 2009.04.17 Mis à jour: 2009.04.17

Descente au ciel ou montée en enfer si vous préférez

Chapitre 3 : Accro

Nous adorions les jeux de rôle dans lequel je rentrais dans la peau de filles adolescentes ou de gamines, et malgré le fait que nous étions conscients qu'il y avait des moments que je perdais complètement contrôle, nous ne voulions pas mettre des freins. Il n'y avait qu'une grande frustration de ma part, c'était le fait que Guy n'aimait pas les jeux de bébés. Mes insinuations répétées, certainement après l'accident dans le parc de jeux, étaient totalement ignorées.

Malgré le fait que je m'étais sentie humilié quand Lucie m'avait mis en couches et nourrit au biberon j'avais une envie folle et incessante de recommencer. Je sais que si Guy m'aurait emmené vers ces jeux j'aurais été la fille la plus heuresue au monde. Mais mainteant j'avais honte de mon envie et je résistais longtemps.

Mais un jour que j'étais seule je craquais. Je mettais la tétine en bouche, je tétais le biberon, et après quelques hésitations je mettais les couches. De nouveau j'étais envahit d'un sentiment de bonheur. Je me mettais à jouer toute seule par terre avec ma poupée tétine en bouche. Et il est évident que je ne résistais pas long temps l'envie de mouiller mes couches. Me promener à quatre pattes avec les couches lourdes qui pendaient entre mes jambes était le bonheur suprême. A partir de ce jour je recommençais chaque fois que j'étais seule. Et à chaque fois je résistais le plus long temps possible, mais je terminais toujours en me masturbant dans mes couches mouillées comme Lucie me l'avait apprise. Et chaque fois je me sentais honteuse après et je me changeais le plus vite possible en jurant que je ne le referais plus.

Mais c'était irrésistible. Après quelques semaines mon jeu solitaire commençait à me décevoir. J'avais besoin de quelqu'un pour prendre soin de moi. Je n'osais toujours pas en parler à Guy pour qui je gardais caché mes nouveaux jeux. Quand je rentrais de l'uni mon bus passait tout près d'où vivait Lucie. Un jour je descendais à la halte à côté de sa maison. Je passais plusieurs fois devant sa maison avant de me décider. Finalement je l'appelais de mon téléphone mobile.

Quand je disais que j'étais dans le coin et avait eu envie de passer chez elle, elle avait l'air surprise, mais me répondait que c'était une très bonne idée.

Deux minutes plus tard elle m'ouvrait la porte avec son grand sourire moqueur.

Je comprenais qu'elle savait pour quoi j'étais là. Mais elle ne disait rien.

Elle m'invitait à m'asseoir et me servait une boisson fraîche. On échangeait quelques généralités, mais j'étais trop nerveuse et excité pour faire de la conversation. J'avais le ventre plein de papillons en anticipation, mais en même temps je ne savais pas comment aborder le sujet. Tout d'un coup j'interrompais Lucie et plein phrase pour annoncer en bégayant que j'avais fort aimé nos jeux de l'autre jour. Elle me souriait en répondant simplement qu'elle aussi avait aimé. Il y eut un petit silence. J'attendais qu'elle me propose de recommencer nos jeux, mais elle me fixait avec son sourire moqueur sans un mot. Alors toute honteuse, en regardant le sol j'ai pris mon courage en deux mains et j'ai demandé avec une toute petite voix, si elle voulait bien recommencer. Bien qu'elle s'attendait à cette question elle feignait la surprise.

« Tu voudrais que je te mettes en couches ? » « Oui », murmurais-je en hochant ma tête, toujours sans oser la regarder. « Maintenant ? » « Euh, oui ». « Ah, ok si tu veux. .. . Euh, est ce que t'as apporté des couches ? » Dans toute mon excitation je n'avais pas pensé à ça. Tout déçu je levais la tête et je répondais que non. J'étais sur le point de pleurer. J'étais tellement loin et maintenant tout allait tomber à l'eau. Mais Lucie immédiatement me disait que ce n'était pas grave, qu'elle allait trouver une solution. Elle disparaissait et quelques minutes plus tard elle m'appelait et me demandant de venir à la cuisine. Elle me montrait une grosse serviette de bain et des épingles de sûreté.

« Voilà tout ce qu'il nous faut. Alors déshabille toi. » J'aurai préférée qu'elle me déshabille, mais j'obéissais. Elle m'ordonnait de me mettre complètement à poil à l'exception de mon petit débardeur. (Depuis que je sors avec Guy je ne porte plus jamais de soutien). Je devais m'allonger par terre ou elle avait étalé la serviette pliée. Dans la serviette elle avait mis une deuxième serviette pliée en gros paquet. Avec un peu de difficultés elle épinglait la serviette et puis m'aidait à me mettre debout. Le sentiment de ce gros paquet entre mes jambes était différent du sentiment de couches, et quand j'essayais de marcher je dandinais.

« Te voila bien protégé. C'est ce que tu voulais ? » Tout contente, mais aussi honteuse, je hochais la tête.

« Parfait, alors je vais pouvoir reprendre mon travail ».

Elle ouvrait un tiroir et sortait un nombre d'ustensiles de cuisine en bois qu'elle étalait par terre. .

« Je regrette que je n'ai pas de jouets, mais je suis sûre que tu vas t'amuser avec ça, non ? » Je m'asseyais parmi les cuillères en bois et hochait de nouveau la tête. Elle s'accroupit à coté de moi et me regardais de nouveau d'une façon moqueuse « Je n'ai pas de tétine non plus, mais tu verras ton pouce est aussi bon. » Sur ça elle prenait ma main et l'approchât de ma bouche. Une minute plus tard je me trouvais seul, assise par terre sur un gros lange épais, suçant sur mon pouce et tenant en main une cuillère en bois.

Comme toujours j'avais immédiatement envie de mouiller le lange. Je me mettais à quatre pattes et je lâchais un gros jet. Le sentiment était différent qu'avec une couche jetable. Le lange devenait tout de suite très lourd et quand je me mettais debout il pendait très bas entre mes jambes. Je rentrais dans mon rôle de bébé comme jamais avant. Sans vraiment le savoir je laissais couler un second flot. Automatiquement je mettais ma main entre mes jambes pour soulever un peu le poids, mais la retirait immédiatement surpris au touché du lange mouillé. Je m'asseyais de nouveau par terre et pendant un petit temps je m'amusais avec les ustensiles. Mais peu à peu mes cuisses mouillées devenaient toutes froides et je réalisais que j'étais assis dans une petite flaque. Je sautais debout et complètement dans mon rôle je me dépêchais au bureau de Lucie avec le lange trempé entre mes jambes laissant une traîné de gouttes par terre. Quand Lucie me voyait arriver elle avait d'abord une réaction de colère, mais puis elle éclatait de rire. Elle me prenait par la main et m'emmenait dans le hall ou elle me mettait devant un grand miroir, et m'invitait à regarder de quoi j'avais l'air.

C'est seulement à ce moment que je sortais de mon rôle. Enlevant mon pouce de ma bouche je poussais un petit cri d'horreur. Cela encourageait Lucie de continuer sur cette voie.

« T'es dégoûtante, tu sais ça ? » Je voulais m'encourir, mais elle me retenait par le bras « Tu le sais ? » Je hochais la tête. « J'entends rien » « Oui, je sais, je suis dégoûtante. Je peux partir maintenant ? » « Ah non, tu sais bien que c'est pas fini. » Elle prenait ma main gauche et elle l'introduisait dans le lange trempé, et ma main droite elle mettait à l'extérieur du lange entre mes jambes. Avant que je ne puisse réagir elle avait pris le poignet de la main droite et elle commençait à bouger ma main avec des petits mouvements de haut en bas. Je prenais tout de suite plaisir et quand Lucie me lachait je m'asseyais par terre tout en continuant à me masturber. J'étais assis sur le gros paquet mouillé avec mes jambes étendu en avant et avec mes deux mains dans la serviette je me caressais mon sexe en faisant des petits bruits de plaisir. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais c'est seulement quand Lucie m'adressait la parole que je pris conscience qu'elle était encore là.

Son commentaire fût court et cassant.

« T'as vraiment aucune honte. » Sur quoi elle m'avait laissé seule. Envahit de honte je m'étais lavé, habillé, et j'avais nettoyé le sol de la cuisine, le corridor et finalement j'étais rentré dans le bureau de Lucie pour le nettoyer aussi. Lucie m'avait regardé sans dire un mot. Quand j'étais prêt je voulais sortir doucement de la maison sans dire adieu, mais elle m'entendait et me suivait à la porte.

« Alors tu ne me dis pas au revoir ? » « Euh oui. Je suis honteuse. Tu m'as donné une bonne leçon. » « Une leçon? » « Oui, je crois que tu m'as guérit des couches. », j'essayais avec un petit sourire. « Ah oui, tu crois ? » « Oui, oui je suis sûre. C'est fini. » Mais en disant ça je devenais tout rouge. Elle souriait et nous savions tout les deux que j'allais revenir.

En allant à la maison je me demandais ce qui m'arrivait. Pas seulement que j'étais accro aux couches, aux jeux de bébés humiliants, mais je rentrais tellement dans mon rôle de bébé que je devenais réellement un bébé. Et c'était ça qui rendait ce jeu tellement intoxicant. Je devenais complètement dépendant et cela m'avait donné un sentiment de légèreté incroyable. Mais maintenant je sentais rien que de la honte. Honte de savoir que j'allais retourner et que Julie prendrait plaisir de m'humilier d'avantage. Mais surtout honte de faire tout ça derrière le dos de Guy. Tout d'un coup il me manquait énormément et je me hâtais à la maison en pleurant, en espérant qu'il serait là. Et mes idées m'emmenaient quelques mois auparavant ou nous avions eu notre expérience la plus intense et heureuse de toujours. Mais avec recul je voyais que cet incident aurait dû nous mettre en garde.

C'était arrivé seulement quelques mois avant l'incident que je viens de raconter. À l'époque je jouais seulement des rôles de fille adolescente, pré-adolescentes ou de fillette de primaire.. Ce ne serait jamais venu dans ma tête de jouer un petit bébé. Mais quand j'y pense maintenant je comprends que même dans cette toute première époque il y a eu des incidents que auraient du nous mettre en garde. Même dans ces débuts il y avait des moments que non seulement je changeais de rôle sans vraiment le savoir, mais qu'il y avait des moments que le rôle prenait contrôle de moi.

Un jour nous partions à un magasin de jouets pour m'acheter des patins à roulettes. Dans le magasin je m'amusais à rendre folle la vendeuse en jouant une fille pré-adolescente gatée.. D'abord j'insistais que je voulais des patins type « rollers » avec les roues en ligne. Elle avait toute la peine du monde de me convaincre que je faisais mieux de commencer par des patins avec des roues 2x2.

Puis je n'aimais pas la couleur des patins, puis je n'aimais pas le casque, … Mais à la fin, au grand soulagement de la vendeuse, j'étais tout équipé avec des patins, des protecteurs de genoux et de coudes, un casque, et des gants, à mon goût.

Pendant que Guy l'accompagnait à la caisse pour payer je regardais le magasin.

Je trouvais une poupée bébé adorable et, changeant de rôle, je l'emmenais à la caisse demandant à Guy si je pouvais l'avoir. Il me donnait un de ces sourires magiques, mais voyant le regard étonné de la vendeuse me répondait simplement :

« Pas maintenant, ma chérie ». Je comprenais parfaitement qu'il ne disait pas seulement « Non on n'achète pas la poupée maintenant », mais aussi « Non, je ne veux pas jouer ce rôle maintenant ». Néanmoins j'insistais ce qui l'irritait parce qu'il était embarrassé envers la vendeuse qui avait déjà eu tant de mal avec cette jeune fille gâtée. Il répétait que je ne pouvais pas avoir la poupée et la vendeuse aggravait la situation en disant que j'avais déjà reçu de splendides patins.

Je crois qu'inconsciemment j'attendais depuis un certain temps le moment de faire une scène de colère de petite fille. Et voilà l'occasion. Je criais en pleurant que je ne voulais plus les patins, qu'ils étaient moches de toute façon, que je voulais la poupée, Guy, furieux, m'ordonnait de terminer mon jeu, mais je continuais, donnant des coups de pied sur le sol, je criais qu'il était méchant. Embarrassé à mort il cédait et il m'achetait la poupée. Il ne disait plus rien jusqu'à ce que nous fussions dans la voiture ou il me demandait ce que cela signifiait. Pour me défendre je continuais dans mon rôle en demandant pardon avec une petite voix. Il me donnait un autre regard furieux, mais ne disait plus rien.

Une fois rentrée à la maison il m'ordonnait d'aller dans la chambre d'invités, une punition qu'on avait déjà joué auparavant. Mon envie de jouer avait complètement passée entre temps. Donc je m'excusais en demandant d'arrêter le jeu. Cela le rendait encore plus fâché. Il m'expliquait que si moi je croyais que je pouvais décider de jouer à la petite fille quand et ou cela me donnait envie, il pouvait décider de me traiter comme un bébé quand cela lui plaisait, et il répétait l'ordre d'aller dans la chambre d'invités. J'obéissais, mais une demie heure plus tard je devais aller à la toilette et je sortais de la chambre.

Quand je sortais de la toilette il m'attendait et me demandait qui m'avait autorisé de sortir de la chambre. J'essayais d'argumenter, mais il me prenais par le bras, me poussait dans la chambre et fermait la porte à clefs. Quelques minutes après j'entendais fermer la porte d'entrée et le démarrage de la voiture. C'était une vraie petite fille qui restait seul, effrayé et triste, à attendre son retour en pleurant doucement.

Quand après quelques heures il revenait et m'a pris dans ces bras c'était un moment de grande émotion. J'étais toujours dans mon rôle et j'éclatais dans des grands sanglots avec un flot de larmes sur mes joues. Doucement il me calmait en chuchotant dans mon oreille que tout allait bien, et il séchait tendrement ma figure avec son mouchoir. Quand j'étais calmé ces lèvres cherchaient ma bouche.

Surpris je ne savais pas comment réagir, mais doucement il forçait sa langue entre mes lèvres. Hésitante j'entrouvris ma bouche, mais quand nos langues se rencontraient j'étais immédiatement porté au ciel. Comme avec un tout premier baiser je me perdais complètement dans sa bouche. Nous nous embrassions pendant une éternité, et puis il me prenait dans ces bras et me portait vers le lit, ou il me déshabillait. De nouveau j'étais un peu perdu, mais je me laissais faire.

Quand il enlevait ma chemisette je riais nerveusement et couvrais automatiquement mes seins avec mes mains. Il les enlevait doucement et caressait mes seins avec ces doigts d'abord puis avec ces lèvres. De nouveau cela provoquât un petit rire nerveux. En une réaction intuitive j'avais mis mes mains sur mon slip quand il les avait enlevé de mes seins. Maintenant, en s'agenouillant à cote du lit et tout en me donnant des bises un peu partout il mettait mes mains à coté de mon corps et commençait à descendre mon slip. Me sentant devenir tout rouge je virait debout remettant mes mains sur mon slip.

Rencontrant mes grand yeux étonnés il me souriait, et me repoussant doucement sur le lit il chuchotait de ne pas avoir peur. Je me laissait faire et me retrouvait étendu sur le lit tout nu. Il me caressait partout tout en me disant des gentils mots jusqu'à ce qu'il me sentait calmé. Alors il se déshabillait à son tour et se couchait a coté de moi. Je n'osais pas regarder, mais sentant son corps nu contre le mien je raidissais à nouveau. De nouveau il prenait son temps pour me relaxer et puis il mettait mes mains autour de son sexe. En sentant son membre je poussais un cri de surprise et retirait automatiquement mes mains.

Patiemment il les remettait et puis tout doucement il expliquait qu'il allait mettre son zizi dans moi, parce qu'il m'aimait tellement qu'il voulait être en moi, et puisque moi je l'aimais tellement j'allais adorer de le sentir dans moi.

Quand finalement il introduisait son membre je faillis m'évanouir de bonheur.

C'était comme la toute première fois, mais alors sans la douleur. Le papa et sa petite fillette ont fait l'amour tendrement et longuement. C'était exceptionnellement intense. Le moment le plus heureux de ma vie.

En racontant cette expérience sur le forum (évidemment avec moins de détails qu'ici) les participants au forum étaient scandalisés et inquiets. Plusieurs insistaient que puisque je prétendais d'être resté dans mon rôle de petite fille pendant qu'on faisait l'amour, et que Guy le savait, il était un pédophile et devait se faire soigner. Et puisque moi quand on faisait l'amour j'étais une petite fille je n'étais pas une adulte consentante et donc Guy m'avait violé. Je souviens que quelqu'un disait même que puisque Guy m'avait violé quand j'étais dans mon rôle de petite fille de 5 ou 6 ans je pouvais en souffrir de conséquences psychiques permanentes. Heureusement pas tout le monde était d'accord avec ça, néanmoins l'opinion générale était que je devais chercher de l'aide professionnelle. Je me souviens qu'à l'époque ces commentaires m'avaient étonnés et perturbés. Mais en même temps je revivais souvent dans ma tête ce moment délicieux en me demandant pourquoi cela avait été tellement bien. Je venais à la conclusion que j'avais franchit le dernier tabou, l'inceste. J'ai perdu mon père à l'âge de 5 ans et depuis il m'a toujours horriblement manqué.

Et je pensais que quand j'avais été dans mon rôle de petite fillette je n'avais pas fait l'amour avec Guy, mais avec mon père. Quand j'avançais cette théorie sur le forum les participants étaient encore plus horrifiés, et même Guy s'inquiétait pour ma santé malade. Ces commentaires m'avaient faire réfléchir évidemment, mais très vite j'oubliais. Il faut tenir en compte que tout ça se passait des mois avant que Lucie m'introduisait aux couches et nos jeux étaient encore des moments assez sporadiques, pas les jeux quasi permanents, qui petit à petit m'avaient menés ou j'étais alors. C'est-à-dire accroc aux jeux de bébé à tel point que je ne pouvais pas résister à me faire humilier en langes sales par l'ex de mon grand amour et ceci même à son insu. J'avais honte, mais je ne réalisais pas que c'était seulement le début de ma descente au ciel.