La lecture d’histoires troublantes réveille des souvenirs enfouis depuis l’adolescence. Ce sont des faits dont je ne parle jamais, même pas à mes amies les plus fidèles, puisque mes relations sont plutôt féminines.

L’évocation de souvenirs est pourtant une source de désirs et d’érotisme au moment de faire l’amour. Du moins pour moi. Mais je n’ose pas . C’est l’histoire de ma première sodomie avec un garçon à peine plus jeune que moi. J’avais sans doute 13 ans. Mon passage dans un internat avait éveillé des pratiques dont j’ai un peu parlé ici où là, dans le site. Je ne fais pas de lavements, mais la température rectale, les suppositoires, les auscultations d’une infirmière de l’internat m’avaient alors beaucoup troublée et je suis marquée par tout ça aujourd’hui encore, même si ces pratiques restent maintenant plutôt solitaires.

C’était les vacances d’été, j’habitais alors le sud de la France. Pendant une semaine, j’étais chez une amie de ma mère, dans un village dont j’ai oublié le nom près de Sète. Sa fille avait mon âge, elle s’appelait Martine. Elle ignorait tout de mes secrets et fantasmes. Nous passions nos journées à trois, elle sortait avec un garçon, Raphaël, que j’aimais bien, il y avait beaucoup de complicité entre nous. Un après-midi , Martine était fiévreuse, nous sommes restés avec elle. Sa mère est rentrée et a apporté quelques médicaments.

« Je vais prendre ta température dit-elle. » Elle se tourna vers nous « Vous pouvez attendre un petit moment dans la chambre d’à côté. »

J’étais assise sur mon lit . J’avais laissé la porte ouverte. Sans le vouloir nous pouvions contempler la scène qui apparaissait dans le miroir de l’armoire tout près de la porte. Malgré la présence de Raphaël, je n’ai pas détourné le regard . Il s’est assis près de moi.

« Tourne-toi Martine, mets-toi sur le ventre, c’est juste un mauvais moment. »

Martine s’est tournée, elle était habillée d’un short blanc. Sa Maman a soulevé son ventre, lui a défait le bouton, descendu son short qui a laissé apparaître un boxer blanc. Puis elle a descendu le boxer jusqu’aux genoux. Dans ce contexte, ses petites fesses rondes me troublaient et il me semblait que Raphaël ressentait la même chose que moi. La maman de Martine avait un tube de vaseline dans sa main. Elle lui a d’abord écarté les jambes puis a posé sa main sur la fesse droite, l’a écartée, dévoilant son petit trou, une petite étoile légèrement brunie. Son doigt a enduit de vaseline a pénétré légèrement à l’intérieur. Martine a contracté son anus .

« Détends-toi » lui a dit sa maman.

Puis elle a écarté ses fesses avec le pousse et l’index et nous avons vu le thermomètre s’enfoncer dans les chairs de Martine. C’était très excitant de le voir pénétrer le petit trou. Ma culotte était mouillée et il me semblait que le sexe de Raphaël forçait un peu son pantalon serré. Nous n’avons rien dit.

Sa mère a retiré le thermomètre.

« Il faut que tu dormes un peu » . Elle s’est levée et nous a rejoints :

« Si vous restez là, fermez la porte et ne faites pas de bruit, Martine doit se reposer », dit-elle en quittant la pièce.

Nous sommes restés un moment silencieux, entre désir et gêne. Puis Raphaël m’a demandé :

« Ta mère te prends la température ?»

« Non, mais à l’internat l’infirmière nous met le thermomètre dans les fesses. Et toi ? »

« Oui ma mère me le fait encore »

J’osais : « Tu ne dois pas aimer »

« Si c’était une infirmière, cela me serait peut-être égal, mais avec ma mère je suis très gêné. »

J’étais tout près de lui, nous brûlions tous les deux d’un même désir.

« Tu veux que je fasse l’infirmière,dis-je en riant ? Mais pas aujourd’hui, le thermomètre est dans la chambre de Martine »

Il m’a prise contre lui et a collé sa bouche contre la mienne, sa langue s’est mise à me fouiller.

« Attends lui ai-je dit, il faut pas , si Martine sait ça , ce n’est pas possible. »

« Elle ne le saura pas, je te le promets , laisses-toi faire, juste un moment. » Il m’a embrassée à nouveau, ses mains ont commencé à me caresser, j’étais toute mouillée. Puis il m’a caressé les fesses . Il était très excité. Il a descendu son pantalon son sexe était dressé. Je l’ai pris dans ma main droite; je le masturbais , il gémissait .

« Doucement, ne fais pas de bruit » . puis Il a embrassé ma poitrine et descendu entre les jambes, sans même relever ma jupe. Il a posé sa bouche, je sentais sa langue à travers le tissu. Puis Il m’a retournée, j’étais sur le ventre. Mes fesses sous son visage. Il a soulevé la jupe et descendu mon boxer. Mes fesses étaient offertes . il les a écartées des deux mains et a essayé avec sa langue de pénétrer mon petit trou rose. Il forçait le passage ; c’était presque violent . Je sentais sa langue m’écarter et envahir ce passage si étroit. Je jouissais de cette pénétration inattendue. Il forçait encore, s’aidait de ses doigts. Puis vite il s’est allongé su moi, écartant mes fesses d’une main. Il a déposé son sexe long et fin l’entrée de mon petit trou. Alors il s’est mis à pousser et je ne faisais rien pour fermer le passage, bien au contraire. Son sexe s’est enfilé, il est entré dans mon cul, tout au fond , il m’enculait ; il ne tenait plus. Dans un ultime effort, ma main droite est passé sur le côté, cherchait ses fesses, les écartait, les fouillait, mon index l’a pénétré par derrière. Je l’ai enfoncé dans son cul. Alors, aussitôt, j’ai senti des soubresauts très forts, tout au fond de moi , longtemps. Je ne savais plus si c’était si lui, si c’était moi . Longtemps…

Il s’est retiré doucement ; J’étais épuisée. J’ai dormi jusqu’au soir..