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Vues: 1017 Created: 2010.06.25 Mis à jour: 2010.06.25

Billie à la piscine

Chapitre 4

J'ouvris les yeux et fus aussitôt aveuglé par une forte lumière. M'habituant petit à petit en clignant des yeux, je repris mes repères et reconnu le local de la piscine. L'endroit me laissait en tête d'excitants souvenirs de la veille.

Blottie contre moi, la douce Billie dormait encore profondément, je pouvais sentir son souffle régulier sur ma poitrine. Ma montre qui traînait pas loin de moi m'indiqua 6h30 du matin. Il faisait légèrement froid dans la salle, ce qui fut confirmé par la peau de Billie qui laissait apercevoir de petits frissons.

Je me dégageai de ses bras sans la réveiller pour me relever, et observai la petite salle en désordre :

Mes vêtements et les siens étaient en boule dans un coin, et nos jouets sexuels de la veille : un nécessaire à lavement, une boîte de suppositoires, un pot de lubrifiant et un thermomètre traînaient également par terre.

Billie, dans son sommeil, changea de position pour se retrouver allongée sur le ventre, les pieds espacés d'environ trente centimètres : une position pas très élégante pour une jeune fille mais qui gardait un charme certain.

Je m'occupai de ramasser tout ce qui traînait sur le carrelage et rassemblai tout ça au même endroit, puis je pris un peu de temps pour contempler Billie qui dormait encore.

Son anus était légèrement visible quand on se plaçait au-dessus de ses fesses entrouvertes et me donnait envie d'y plonger mon doigt, mais je m'abstins car je me doutais que ça ne lui plairait peut-être pas trop de se faire réveiller par un doigt dans le cul.

Je me recouchai donc contre elle pour ne pas qu'elle ait froid en attendant qu'elle se réveille. Au bout d'un moment elle finit enfin par bouger, et constatant ma présence, se retourna sur le dos pour me faire face. En guise de bonjour, elle glissa ses bras autour de mon cou et me posa un long baiser sur la bouche, suivi de plusieurs petits dans le cou et sur le torse. On commença ainsi cette journée par un long câlin érotique, à la fin duquel Billie se trouvait sur le dos les jambes relevées : une position qui laissait clairement voir son anus. Je mis de la salive sur mon doigt et commençai à titiller ce petit trou sec et resserré pour le lubrifier, puis attrapai la boîte de suppositoires et en plaça un devant son orifice. Elle qui avait les yeux fermés jusqu'à présent reconnut le toucher froid et gélatineux :

-Non, pas de suppo le matin, s'il te plaît, fit-elle avec une légère grimace.

J'avais très envie d'appuyer, et après un petit « trop tard », j'enfonçai le médicament dans son intestin.

-Hé ! Se plaignit-elle. Je t'avais dit non.

-Il faut bien les finir, Billie.

Elle avait à présent l'air contrariée. Elle se releva, me prit la boîte des mains, et me regarda à nouveau.

-Couches-toi et montres-moi tes fesses, m'ordonna-t-elle.

Cette phrase me rappelait étrangement mon enfance.

Depuis tout petit, j'avais toujours été réticent face aux suppositoires, les derniers m'avait été donnés il y a des années par ma mère.

-Euh ... désolé de te l'avoir fait, ... mais j'ai toujours eu peur d'en recevoir, fis-je sans pour autant la convaincre.

-Tant pis, me répondit-elle. C'est donnant donnant, j'en prends un, tu en prends un aussi.

Et elle commença à ouvrir le pot de vaseline pour y tremper son doigt dedans.

J'étais à court d'argument. Elle avait raison, au fond, je méritais d'en recevoir après ce que je venais de lui faire.

-Contrairement à toi, ça ne m'excite pas trop de recevoir un suppo de force, lui fis-je remarquer.

-Alors laisses-toi faire, et je serais pas obligée de le faire de force.

Je finis par me résigner et me retournai pour lui montrer mes fesses.

-Voilà, c'est bien comme ça, fit-elle d'un ton mesquin.

-Fais attention quand même.

Elle commença par me lubrifier abondamment pour m'apaiser un peu. J'avais un peu honte de lui avoir fait part de ma crainte du suppositoire, Billie soignait tous ses gestes et me donna finalement beaucoup de plaisir pendant cette lubrification.

-Attention, je vais le mettre. Pousses bien fort, fit-elle après avoir retiré son doigt.

Je poussais comme elle me demandait et sentis le médicament froid se poser contre mon anus. Billie l'enfonça tellement lentement que je pouvais sentir la progression de son doigt dans mon derrière. Elle s'appliqua à le pousser assez loin pour ne pas que je le fasse ressortir et retira son index.

-Voilà, nous sommes quittes maintenant, fit-elle avec le sourire et revenant dans mes bras.

On refit ensuite l'amour, et durant nos ébats Billie s'absenta en première pour aller aux WC, puis je la suivis juste après. Ce fut ensuite le moment de quitter la piscine avant que d'autres gens ne viennent à l'ouverture.

-Tu peux passer chez moi, fit Billie en recoiffant ses cheveux en bataille devant un miroir.

-Tu vis seule ?

-Non, j'ai une colocataire, elle s'appelle Sophie. Tu verras elle est très gentille, elle ne nous dérangera pas.