Vues: 1859 Created: 2011.12.19 Mis à jour: 2011.12.19

A poil, monsieur !

A poil, monsieur !

Ayant été élevé dans un milieu catho très strict, je ne pouvais pas vivre une adolescence comparable à celle de mes amis du même âge. Fréquenter, draguer, sortir avec des filles, m'était interdit, quasiment !

Quand vint le moment pour moi de me marier, le conseil de famille se réunit, sans moi, bien sûr, pour me trouver le meilleur parti. Le choix de ce conseil s'arrêta sur une jeune fille de bonne famille, dont les parents étaient aisés, et la mère, détail important, était d'origine britannique. Les deux familles se sont connues lors d'un congrès.

Un dimanche matin, après la messe, sans que je le sache, sans que je le prévoie, on m'a présenté à celle qui serait ma future épouse : du fait de la nationalité de sa mère, elle avait un prénom anglais, Ashley (c'est un pseudo pour les besoins de cette histoire, mais elle avait vraiment un prénom anglo-saxon).

Ma foi, je n'étais pas mécontent de ce choix : la jeune femme était une jolie brune, intelligente, cultivée et qui s'interrait à tout... Elle se destinait à la médecine puis plus tard, vers une carrière dans l'humanitaire. Sa famille était très BCBG ; ma famille était plutôt modeste, mais ce ne fut pas un obstacle à notre future union.

Le conseil de famille et la mienne propre, ont décidé de nous laisser 3 mois avant de nous décider, mais il nous fut interdit de nous toucher, de nous embrasser, de faire quoi que ce soit, avant le mariage.

Et nous avons promis de bien nous comporter et de respecter les clauses !

Pendant ces 3 mois d'observations, nous avons fait beaucoup de choses, mais jamais l'un n'a dormi chez l'autre, sans " surveillance ", ou sans la présence sur place des parents. De toutes les façons, quand il advint que je dorme chez elle, ou elle chez moi, c'était dans des chambres séparées, alors !

A la fin des 3 mois, nos deux familles voulaient officialiser nos relations, par des fiançailles. Avant de fixer une date et de célébrer cet évènement par une fête familiale et entre amis, la mère d'Ashley me demanda de... passer un chek-up chez un médecin de sa connaissance. Elle exigeait que son futur gendre soit en parfaite santé, apte à pratiquer toutes sortes de sport (je ne suis pas sportif du tout), etc... Suivant les résultats de cet examen, la date des fiançailles, puis celle du mariage seront fixées.

Un peu surpris par cette obligation, j'ai du accepter cette étape. Je me suis attaché à Ashley, elle aussi, et malgré moi, j'ai accédé à la demande de la mère d'Ashley, pour conserver l'amour de la fille.

La mère d'Ashley, Kathleen, a tout organisé, en tenant compte de l'avis de mes parents, pour me fixer un rendez-vous chez le médecin. Evidemment, j'étais seul à aller chez le médecin, pas Ashley. Avec le recul, j'aurais du demander à mes parents de faire faire la même chose à Ashley ! Après tout, pourquoi n'aurais-je pas le droit de savoir si ma future femme est bien portante ?

Mais je n'y ai pas pensé, subjugué que j'étais par le charme d'Ashley.

Je me rends donc au cabinet médical, dans un immeuble très chic de cette ville de Province où les parents d'Ashley et les miens vivaient. Je n'avais jamais vu un tel luxe : tapis rouge dans les escaliers, barettes dorées soulignant chaque marche, musique diffusée dans les communs...

Je sonne à la porte du cabinet, et une secrétaire me reçoit. Elle sait que j'ai rendez-vous, et elle me conduit dans la salle d'attente, me précisant que le médecin ne va pas tarder à me recevoir.

Dans la salle d'attente aussi, il y a un déploiment de luxe et de beauté. Les plafonds sont lambrissés, style ministères. Le sol est recouvert d'une moquette brun sombre, bien entretenue. La lumière est fournie par des vasques fixées aux murs, et ici aussi, une musique d'ambiance est diffusée dans la pièce.

Je suis tout seul dans la salle d'attente. Je n'attends pas longtemps, et le médecin, vient me chercher au bout de 5 minutes. Il me reçoit chaleureusement, aimablement... Il sait pourquoi je suis là. Nous discutons amicalement et il me met en confiance. J'étais un peu stressé en arrivant ici, mais j'avoue que maintenant, la glace est rompue. Nous rions même, en abordant certains sujets...

Le cabinet est vaste, il y fait un peu trop chaud (tant mieux pour la suite). Le bureau du médecin est de style Louis XVI et le cabinet est très bien éclairé. Entre le bureau et la table d'examen, il y a 20 mètres. D'ailleurs la table est cachée par un paravent, qui dissimule la majeure partie du corps du patient qui y est allongé.

Quand la conversation prit fin, il me dit :

- Bien, passons aux choses sérieuses ! Déshabillez-vous, je vous prie. Je vais vous examiner !

J'ai eu du mal à sortir de ce climat de bonhommie qui régnait jusqu'à présent. Je pensai, à tort, que le médecin n'allait s'en tenir qu'à notre discussion à bâtons rompus...Surtout que nous avions parlé de la raison qui me faisait vinir ici. Il m'a parlé d'Ashley qu'il a vu naître... Je pensai que le médecin allait s'en tenir à ça...

Le médecin a alors, pris un air sérieux et grave :

- Vous m'avez compris, monsieur ? Je vous ai demandé de vous déshabiller !

- Oui, docteur. J'ai compris. Qu'est-ce que j'enlève ?

Il ne m'a pas répondu.

Je me suis levé de ma chaise et j'ai commencé à me dévêtir.

Le médecin m'a aussitôt arrêté :

- Mettez-vous tout nu. A poil, monsieur, comme on dit aujourd'hui. Je dois vous examiner partout et rendre des comptes à Mrs Kathleen

Il a lourdement accendué les mots tout, nu, à poil et monsieur. Il a bien détaché les syllabes, les unes des autres, comme pour faire sentir son autorité.

- Posez vos affaires sur le meuble, à côté de la table d'examen !

J'ai obéi au médecin, c'est fou ce que j'étais en train de faire pour mon aimée !

J'ai tremblé de peur, je ne savais pas que j'allais être examiné en tenue d'Adam ! J'étais envahit de frissons, malgré la chaleur du cabinet.

- Allons, monsieur. Pressons ! A poil !

Avec la plus grande peine du monde, j'ai retiré mon pantalon et mon slip, et une fois tout nu, j'ai caché mes parties de mes mains et je me suis allongé sur la table. Puis j'ai dit au médecin que j'étais prêt.

Je tremblais de partout, je frisonnais de peur.

Le médecin vient me trouver et me dit :

- Allons, allons, jeune homme ! Ce n'est pas la peine de vous cacher. Il n'y a pas de pudeur ici,

Et j'ai laissé retomber mes bras. Mon corps était entièrement exposé aux yeux du médecin, qui dit :

- Ah ! voilà qui est bien mieux ! Laissez-moi faire, je n'en ai pas pour longtemps, si vous coopérez !

Et le médecin commença par un interrogatoire (c'était la première fois de ma vie qu'un médecin m'interrogeait, alors que j'étais allongé, à poil, sur la table d'examen).

Il me demanda donc si je fumais, buvais, droguait, etc... et d'autres questions d'ordre général. J'avais tellement peur que ma voix fut à peine aubible !

Le médecin commença par examiner ma tête et mes cheveux. Il commentait ses gestes à chaque fois. Puis il posa ses mains sur les glandes du cou, et celles des aisselles. J'essayais de me détendre, mais je n'y arrivais pas.

- Détendez-vous, je ne vais pas vous manger, me dit le médecin.

Ma seule réponse fut un sourire.

Il me palpa le ventre, tapota sur l'abdomen. Il me fit plier et déplier les jambes, ainsi que les bras.

Puis il me dit

- Nous allons voir si ici, tout va bien !

Il posa ses mains sur le bas de mon ventre et appuya fortement de chaque côté de la verge, ce qui déclencha une petite érection. Ce qui amusa le médecin, qui dit :

- C'est bon, c'est ce que je voulais. Essayez de rester comme ça !

Et, en étant dans cet état, il examina tout l'appareil génital, par une palpation vigoureuse des testicules (ce qui m'a fait mal). Puis il pris ma verge entre ses mains et il fit monter et descendre ses doigts à plusieurs reprises. Il posa le tout et examina pour finir, mon entrejambe un peu plus précisemment, en me faisant écarter largement les jambes.

Il me fit descendre de la table et m'examina debout, par devant, rapidement. Il s'attarda un peu plus sur les bourses, qu'il a palpé à nouveau, moi étant debout face à lui.

Enfin, il m'examina de dos. Il me fit pencher en avant, et, jambes écartées, il vérifia une troisième fois, mes bourses (je n'en pouvais plus cette fois. Si j'avais aprécié le toucher du médecin la première fois, la seconde et la troisième furent désagréables).

- Parfait, vous pouvez vous rhabiller. Pour moi, tout est en ordre. Je fais un courrier à Mrs Kathleen !

Le médecin est resté près de moi pendant que je me rhabillais.

- Ca va, je ne vous ai pas trop fait souffir ? s'enquit-il en posant une de ses mains sur ma jambe, très près de l'aine.

-Non, docteur, ça va. J'ai un peu froid, mais c'est tout.

Le médecin a laissé sa main dans cette position un long moment. Je ne pouvais donc pas descendre de la table, sa main était lourde sur ma cuisse. Ses doigts tendus, frôlait la peau de mes bourses. On aurait dit qu'il regardait sans cesse mon appareil génital et ma verge, qui était restée en érection, qui s'accentuait.

D'un seul coup, il a ôté sa main, et j'ai pu me lever de la table en présence du médecin, toujours.

Ce n'est que lorsque j'ai enfilé mon slip et mon pantalon, que le médecin est retourné m'attendre derrière son bureau.

Il m'a expliqué que tout était normal, qu'il ne voyait aucun obstacle médical à mon union avec Ashley, que j'avais de la chance d'avoir trouvé un bon parti, etc...

J'ai pris congé du médecin, honteux, confus, géné de ce que je venais de subir.

Malgré tout cela, je n'ai pas épousé Ashley, pour de toutes autres raisons que je ne souhaite pas évoquer ici.

Mais j'ai gardé de cette relation ce mauvais moment, que je n'ai pas oublié.

La preuve !

Comments

michel013 Il ya 3 ans  
jjvil45 Il ya 5 ans  
claude Il ya 5 ans  
Drzakou Il ya 5 ans  
Tonyfr Il ya 12 ans 1  
chacha Il ya 12 ans 1  
clyso Il ya 12 ans