Hello, chers lecteurs et lectrices,

voici une petite histoire en attendant la suite de "Ma colocataire Sophia".

Bonne lecture 😃

Peu après mes seize ans, suite à une petite opération, j'étais resté en séjour à l'hôpital quelque temps, mes parents m'avaient payé une chambre individuelle pour que je ne sois pas tout le temps dérangé là-bas.

Le premier jour, le soir, une infirmière se présenta dans ma chambre, elle s'appelait Céline, et c'était principalement elle qui allait s'occuper de moi ici.

Céline m'apporta d'abord un plateau repas ainsi que quelques médicaments avec un verre d'eau.

-Bon appétit, mon grand, me fit-elle en quittant la chambre. Je repasserai un peu plus tard.

Je terminai mon repas rapidement en regardant la télé, puis me plongeai dans mon livre.

Le soir, après être revenue chercher le plateau, elle me signala qu'elle devait encore me prendre ma température avant le coucher. Elle avait déjà apporté un thermomètre qu'elle tenait à présent entre ses mains.

J'eus un petit moment de stress quand elle s'assit sur le bord du lit et descendit mon drap jusqu'aux cuisses, m'avertissant ainsi de la façon dont elle allait procéder.

-Tournes-toi sur le côté, fit-elle gentiment. Je vais le mettre dans ton derrière.

Malgré son âge relativement jeune, Céline inspirait une autorité telle que je n'osai rien dire pour protester contre cette méthode. Une excitation mélangée entre la crainte et le plaisir s'empara de moi alors que je faisais ce qu'elle me demandait.

Une fois en place elle baissa elle-même mon pantalon de pyjama qui cachait mes fesses. Je sentis une main les écarter et un doigt froid venir me toucher directement l'anus. Elle m'appliqua un massage de plusieurs secondes pour lubrifier mon trou, sans jamais rentrer son doigt. Un petit instant passa puis je sentis la pointe du thermomètre me piquer et rentrer dans mon intimité assez profondément.Elle resta ainsi derrière moi en maintenant la tige de verre poussée à moitié pendant une bonne minute. Au bout d'un moment j'eus une érection que je n'arrivais pas à dissimuler. Voyant que la situation m'embarrassait, Céline m'expliqua que presque tous les garçons font ça pendant la prise de température.

Elle retira le thermomètre doucement et le plaça à hauteur de son visage pour lire ma température.

-C'est un peu haut, fit-elle remarquer.

Elle n'avait toujours pas remonté mon drap ni mon pantalon.

-Tu veux un suppo tant que tu es ainsi ? Ajouta-t-elle.

Je mis une petite seconde avant de percuter qu'elle me demandait si je voulais recevoir un suppositoire. J'avais répondu "oui" par réflexe, instinctivement, croyant qu'elle allait me proposer autre chose.

-Ok, je vais t'en chercher un, fit-elle en s'éloignant vers la porte.

Mon cœur battait à présent très vite car je savais ce qui m'attendait, même si j'essayais de me dire que ça allait se passer très vite.

Céline tardait à arriver alors je remontai mon pantalon et me recouvris. Sous mon drap, je n'arrivais toujours pas à cacher mon érection, car je n'arrivais pas à penser à autre chose.

La porte s'ouvrit et Céline apparût dans l'encadrement de la porte. Elle discutait avec une collègue et tenait une couverture sous son bras.

-Bon allez, il faut que j'aille m'occuper de ce petit, à plus tard, fit-elle en refermant la porte.

Elle se dirigea vers moi et posa la couverture sur une chaise.

-Tu mettras ça sur toi cette nuit, pour ne plus avoir froid.

Elle sortit alors de sa poche un petit emballage métallique que je reconnaissais.

-C'est ton suppo, confirma-t-elle en commençant à le déballer.

Je vis la pointe blanche du médicament apparaître, et me remis comme avant pour qu'elle puisse faire son travail.

Céline baissa de nouveau mon pantalon, sans faire attention cette fois à mon pénis tendu dessous. Elle souleva ensuite ma fesse pour faire apparaître mon petit trou sur lequel elle posa le médicament, puis l'enfonça. Je sentis le doigt de l'infirmière entrer progressivement avant de se retirer, le tout beaucoup plus lentement que je ne le pensais.

-Et voilà, c'est fait.

Elle remonta mon pantalon, me couvrit avec la couverture et me souhaita une bonne nuit avant de sortir de la chambre.