Candice Barboux
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Vues: 951 Created: 2012.09.01 Mis à jour: 2012.09.01

L'infirmière universitaire n'est pas très... scolaire !

L'infirmière universitaire n'est pas très... scolaire !

21 Juillet, 8h 57, c’est la rentrée ! Une fois de plus, une fois encore, les portes de l’université s’ouvrent sur un nouvel été. Je me suis jurée que ce serait le dernier. Ras-le-bol des cours de rattrapage estivaux. Dans le hall d’entrée, ils ont installé des tableaux noirs sur lesquels est affichée la liste des élèves, amphi par amphi. Ces cours ne sont toujours pas mixtes. Je ne sais pas si je dois m’en désoler. Voir les garçons de trop près, en ces temps anormalement studieux, n’aurait peut-être pas été un cadeau. J’ai 21 ans et plutôt envie de m’éclater dans les bras d’un mec que de bosser sur la sociologie. Mon amphi est au second étage.

Je distribue des bises. Il y a de l’inquiétude résignée - «Qu’est-ce qui nous attend encore ?» - et de l’effervescence polie - «Salut, t’as vachement minci depuis l’année dernière !» -. Été oblige, les débardeurs craquent d’atouts mammaires et les jupes, tellement minuscules, paraissent à peine couvrir l’intimité des étudiantes recalées. Nul n’a eu le temps de perdre ses couleurs. «On serait pas mieux à la plage, toutes en maillot, hein, les filles ?», me demande-je à moi-même. Bref, le professeur de socio arrive avec ses sempiternels ouvrages sur Bourdieu & Co. Il nous fait signe d’entrer dans l’amphi. Je me mets vers le fond, à côté d’une nana qui a l’air plutôt cool. Elle a l’air aussi motivée que moi, hum… L’appel débute. Ça y est, c’est à moi de lever, tel un réflexe pavlovien, mon bras à l’énoncé de mon nom. J’ai l’impression d’avoir douze ans et de me revoir à mon entrée en sixième. Sauf que j’ai beaucoup plus de poitrine maintenant. Voilà que je rigole toute seule. Au secours !

Ooops, mon appel a été entendu, quelqu’un vient de frapper à la porte. Une inconnue s’avance, tend un papier au prof, avec ce sourire qui ferait fondre un iceberg, et se dirige vers l’estrade. Le prof reprend le relais : «Mesdemoiselles, je vous présente madame Duluc, la responsable de l’infirmerie. C’est elle qui se chargera de vous faire passer aujourd’hui la visite médicale de rigueur.» L’amphi se déchaîne en protestations chorales et autres railleries en solo. «Calmez-vous mesdemoiselles, ce ne sera qu’un petit contrôle de routine.» Madame Duluc, donc… Je dois avouer qu’elle est plutôt craquante pour un médecin de garde ou je ne sais quoi. Sa blouse blanche, spécial «fantasmes masculins», laisse entrevoir des jambes finement ciselées avec une jolie teinte ambrée, terre de sienne, comme il était indiqué sur les tubes de gouache de mon enfance. Elle met un sourire sur ses lèvres «rouge cerise» qui s’accorde à merveille avec le vernis rouge qu’elle a sur les pieds. Ai-je la berlue ou est-elle en train de me fixer ? C’est quoi cette chaleur qui irradie mon bas-ventre ? Tout un été sans mec et hop, me voilà toute tourneboulée par la première infirmière venue. Le prof lui intime l’ordre de disposer. Ouf… Ce qu’elle fait avec une élégance rare. Sa chute de rein est explosive, le verso est aussi appétissant que le recto. Une crétine siffle, une autre applaudit. Un ange vient de passer. L’appel reprend. La vie suit son cours, qu’est-ce que je suis drôle !

1O h 11 : «Candice… Candice… Candice… hé oh, y a quelqu’un ?!»… Euh, faudrait voir à me réveiller, je crois qu’on m’appelle. «Oui, je suis là…»Aïe, faut pas que je me grille sur ce coup-là. Allez, un petit effort : «Euh, c’est moi, pourquoi ?…» Bon, je laisse tomber. Il va se décider à dire quelque chose BHL ! «Chère Candice, je suis désolé de vous réveiller pendant votre sieste matinale mais au lieu de rêvasser lamentablement vous feriez mieux de vous rendre à l’infirmerie. Vous y êtes attendue.» Allez, en voiture Simone, un petit crochet par la case pharmacie, c’est déjà ça de pris pour une première matinée. Et puis, je ne suis pas mécontente, pour une fois, d’aller me faire prendre la tension ou me faire palper les seins par autre chose qu’un vieux médecin de campagne libidineux.

Me voilà à l’infirmerie, plus précisément dans la petite salle d’attente qui jouxte le cabinet de Madame Duluc. Des voix se rapprochent, des pas se font sentir, la porte s’ouvre sur l’infirmière, toujours aussi charmante, qui raccompagne une étudiante. Sa blouse «officielle» a laissé la place à une petite robe blanche de rien du tout. Elle sourit. À côté, le sourire des garçons que j’avais connus ne valait rien. Je baisse les yeux, intimidée et transpercée par son sublime regard. Je me lève, désireuse de m’engouffrer dans la salle, histoire de rompre le malaise et…

— «Pas si vite, Melle Barboux, il va falloir patienter quelques minutes encore, il y a quelqu’un avant vous. En attendant, vous pouvez déjà vous me mettre en petite tenue.» Elle tourne les talons qu’elle n’a pas. Bon ben, je m’exécute. La saison aidant, je ne tarde pas à me retrouver rapidement en petite culotte et soutien-gorge. De toute façon, y fait chaud !

11 h 00… J’hallucine, ça fait bien vingt bonnes minutes que je poireaute en sous-vêtements… mais qu’est-ce qu’elle lui fait ? Tiens, la voilà, c’est pas trop tôt, ouais c’est ça, raccompagne Miss «Trucmuche» patati patata… mais qu’est-ce qu’elle est bavarde. Elle me fait signe d’entrer dans son cabinet. C’est bon, c’est à moi ? Avec la chaleur ambiante, j’ai les fesses qui ont fondu sur le banc à force d’attendre, pfft… M’enfin, voilà qu’elle s’installe derrière son bureau. Je prends place sur une chaise en face d’elle. Je le regarde. Pendant qu’elle jette un œil à mon dossier, elle tord sa blonde chevelure en la remontant machinalement sur le sommet de son crâne. Elle découvre ainsi une nuque sur laquelle est piqué un grain de beauté que je me promets d’embrasser un jour exactement à cet endroit. Quoi, mais qu’est-ce que je raconte ?!

— «Alors, Candice, je vois que ta dernière consultation dans le cadre universitaire remonte à 1999 ?»

— «Hum, il y a deux ans, c’est ça…»

— «Okay, ton dernier bilan médical était plutôt bon, pas de pépin de santé depuis ?»

— «Non, aucun madame.»

— «Très bien.»

Je suis en pleine santé avec de la vitalité et d’énergie à revendre. Et oui, j’ai toujours eu la forme. Et des formes, aussi… bref, l’interrogatoire médical tourne court. Soudain, en petite tenue devant cette belle étrangère qui lit mon dossier, je me sens un peu ridicule. J’ai l’impression d’envahir la pièce, que mes seins vont sortir de mon soutif, que mon derrière est énorme, je suis plus très à l’aise quoi… Elle me demande de me lever afin de me mesurer. Elle me dirige vers le mètre en me guidant des épaules. Ses mains sont douces et fermes à la fois. Après m’avoir mesurée, elle me dirige vers la balance avant de me contrôler toute la région O.R.L. Elle saisit ensuite un stéthoscope et l’applique sur ma poitrine. Au contact du métal sur mon épiderme, je sursaute. À moins que ce ne soit le fait de la sentir si proche qui me trouble… Le stéthoscope est maintenant sur ma poitrine et écoute mon rythme cardiaque. La main de l’infirmière s’est infiltrée sous le bonnet gauche de mon soutien-gorge, ce qui a pour effet immédiat de me durcir le téton. Malaise… délicieux. Après quelques secondes, Elle me fait me pivoter afin de lui présenter mon dos. Nouvelle application du stéthoscope. Mes bonnes fesses, coincées dans la ficelle de mon brésilien, lui ont vraisemblablement tapé dans l’œil puisque la voilà qui me complimente sur ma «belle cambrure», le sourire coquin en sus. Pourquoi ai-je l’impression que la température continue de grimper ?…

Je suis toujours debout devant elle. Elle me demande d’enlever mon soutien-gorge pour «un examen de ma colonne vertébrale et une palpation mammaire». Me voilà donc en petite culotte, les seins à l’air. Qu’elle dévore littéralement. Elle se reconcentre en me demandant de serrer les jambes et de toucher le bout de mes pieds. Elle me contourne, je la sens derrière moi, contempler le tracé de ma colonne. Son pouce vient s’écraser sur ma nuque et glisse le long de mes vertèbres jusqu’à la limite de mon string. Cette opération, réitérée plusieurs fois, m’électrise… alors que mes deux gros tétons, surmontant mes seins pendants, finissent de durcir. Hum…

— «Parfait, Candice, pas de scoliose à l’horizon. Tu peux retirer ta culotte et aller t’allonger sur la table d’auscultation."

Surprise mais docile, je me dirige vers la table en me disant que ça doit être la routine et que de toute façon on est entre femmes, donc pas d’embrouilles ! Mon string trône sur le dossier de la chaise. Me voilà allongée, elle me palpe les seins avec méthode et précision, c’est un régal. Elle passe sans sourciller d’un sein à l’autre. Mes seins paraissent plus gros que jamais. Elle les malaxe, les triture, les écrase, elle ne veut visiblement rien laisser au hasard. Mes tétons bruns sont incroyablement dardés. J’aimerais bien la piquer avec.

— «Tout est en ordre… et ta poitrine est resplendissante ! Ecarte bien les jambes en levant les genoux, s’il te plaît…"

Le drame, c’est que cette situation de proximité avec ma belle infirmière commence à me titiller le minou. Mais quand faut y aller, faut y aller. Lentement, j’écarte les jambes en remontant mes genoux. Mon sexe brun et mes lèvres sont offerts à son regard médical. Elle enfile des gants aspergés d’un liquide lubrifiant. Deux de ses doigts écartent mes lèvres. Ils inspectent mon minou avec précision et doigté - c’est le cas de le dire - du clitoris jusqu’en bas des lèvres et s’introduisent lentement. Au bord de l’explosion, j’écarte encore plus mes cuisses pour une exploration optimale. Ce «va-et-vient» digitale, doux et régulier provoque une chaleur dévastatrice qui s’amplifie. Rapidement, un premier orgasme me cloue à la table et m’empale sur ses doigts. Je serre la mâchoire, je ne dois pas… gémirrrrrrrrr… Elle retire ses doigts. Et pas à mon grand soulagement. Mon sexe dégouline, je suis rouge de honte… mais chauffée comme rarement. Tant pis, c’est sa faute, après tout ! Histoire de désamorcer la bombe qui sommeille entre mes cuisses, je lui demande benoîtement s’il n’y aucune anomalie, si tout va bien comme si la réponse pouvait m’intéresser alors que je n’ai qu’une seule envie : qu’elle me m’aspire l’abricot avec sa langue que j’imagine experte !

— «Pour être franche, je n’ai remarqué aucune anomalie d’ordre gynécologique si ce n’est une légère étroitesse vaginale qui, si elle n’est pas inquiétante, demande à être vérifier, par simple précaution…»

Tout en m’expliquant sur un ton «clinique» ce diagnostique un peu inquiétant, mon infirmière s’est remise à me caresser le sexe lentement tout en se focalisant sur mon clitoris turgescent. Une nouvelle vague de chaleur me submerge, et, avant même que je lui réponde quoi que ce soit, mon bassin est pris de spasmes violents déclenchant un second orgasme que je ne peux même pas réprimeeeeeeeeeeer… Elle va finir par me tuer !

— «Si tu es d’accord, j’aimerais te faire un toucher rectal pour vérifier si cette inclinaison est totalement bénigne. Cela pourrait venir d’une malformation du bassin.»

Un doigt dans le derrière, il ne me manquait plus que ça, quel zèle ! Bien sûr que j’en suis, elle pourrait même me demander de lui bouffer les seins pour vérifier mon appétit que ça ne me surprendrait pas plus que ça… Je suis un objet de plaisir entre ses mains, je suis sa marionnette, elle est mon Gépetto ! J’acquiesce donc, un peu inquiète mais terriblement excitée. Elle se redresse alors et se dirige vers une petite sacoche posée sur son bureau et en extrait un morceau de latex qu’elle glisse sur son majeur avant de revenir vers moi. J’ai le palpitant pas loin de l’excès de vitesse, quant à mon minou, c’est les chutes du Niagara !

— «Relève un peu les cuisses et écarte les genoux au maximum, comme ça, très bien !»

Mes jambes super écartées lui offrent une vue imprenable sur mon petit trou brun.

— «Bon, il n’y a même pas à lubrifier tout ça…» dit-elle avec un sourire des plus gourmands et en commençant à masser délicieusement ma petite rosette. Celle-ci, balisée par le flot de cyprine qui file entre mes cuisses depuis vingt minutes s’ouvre instantanément sous la caresse circulaire de son doigt qui s’enfonce lentement mais inexorablement en moi. C’est le NIRVANA ! Son majeur glisse tout seul dans mon petit anus dilaté. Elle débute maintenant des «allers-retours» pour le paradis avec son doigt, elle accélère le rythme et cette sensation «analo-digitale» se transforme vite en courant électrique qui me scotche à la table.

— «Tout va bien, Candice ?» Ne pas lui répondre, sinon je hurle et je finis à l’asile. J’opine du chef, prête à exploser, je n’ai aucune envie qu’elle s’arrête, je suis comme possédée. Tout en s’évertuant à me limer l’anus sans relâche, elle me fixe en souriant, c’est en troooooooooop… Soudain, faisant fi d’un quelconque diagnostic, elle se redresse, déboutonne sa petite robe blanche de rien du tout : C’est une bombe anatomique. Dessous, elle ne porte qu’un minuscule string et un soutif prêt à exploser : Cette fille est un attentant ambulant ! Ce strip-tease éclaire me perfore l’estomac. Le String ne tarde pas à se retrouver en bas des chevilles et le soutif est proprement éjecté. Là voilà qui reprend le dessus, de toute façon, elle a toujours eu le dessus sur moi depuis le début, elle le sait… Le plus naturellement du monde, elle se propose de me rejoindre et de s’allonge sur la table d’auscultation. Dieu, quelle est belle, j’en trempe la table. Waouh, elle se positionne au-dessus de ma tête avec ses obus… J’ouvre ma bouche et le premier sein prend possession des lieux. Je ne sais plus ce que je fais, ça cogne fort dans ma petite tête, je me mets à pomper son nichon avec ardeur, enroulant son téton avec ma langue, le titillant, le mordant, le suçant, le croquant presque… J’ai l’air de m’en sortir pas trop mal, son téton prend un volume incroyable. Il laisse la place au sein droit tout aussi impressionnant. Elle me fait comprendre qu’elle veut que j’embouche ses gros nichons en même temps, re- Waouh ! J’ai du mal à les engloutir entièrement tellement ils sont gros et dilatés par l’excitation. Pendant que je me délecte de ses pêches, elle m’introduit un doigt, puis deux et enfin un troisième… voilà le troisième orgasme ! Si je n’avais pas la bouche aussi pleine, je gémirais telle une chienne en chaleur. Je n’en peux plus, ses seins m’étouffent… de bonheur, Help !

Je me soustrais maintenant à cette délicieuse emprise et me glisse via un toboggan de cyprine jusqu’au volcan intime de mon infirmière de charme. À moi de jouer, à elle de jouir ! Ma bouche s’aligne parfaite sur son con en feu, son corps se met à onduler sous ma langue chercheuse. Son corps est brûlant, mes mains glissent dans sa raie culière trempée. Elle se cambre pour accueillir ma main puis un doigt ! Ma langue, pendant ce temps, fouille son intimité dans un concert de bruits mouillés et de sucions paroxystiques. Je lui bouffe le minou comme jamais, elle prend son pied comme rarement, ses hanches semblent décoller, elle est prise de spasmes de plus en plus violents, elle se met à gémir, à geindre, à jouir, à hurler, à gueuler mon prénom : «Candice… Candice… Candice… hé oh, y a quelqu’un ?!».

— «Euh, c’est moi, pourquoi ?…»

— «Chère Candice, je suis désolé de vous réveiller pendant votre sieste matinale mais, au lieu de rêvasser lamentablement, vous feriez mieux de nous donner votre point de vue sur «la technique du pied dans la porte» chère à la communication non-verbale de l’école californienne de Palo Alto !»

Hein, c’est quoi ce binz ? ! Elle est où mon infirmière torride ! Mon dieu, j’étais en train de rêver… je me suis assoupie, quelle cruche, quelle c… ! Me voilà bien, j’ai la tête dans les étoiles, la jupe trempée, le minou collé au banc et cet abruti de prof qui me fixe comme si j’avais un troisième oeil au milieu du front, pas glop !

— «Une fois redescendue sur terre, M elle Barboux, vous me ferez le plaisir de venir me voir après le cours pour un boulot supplémentaire. En attendant, allez donc à l’infirmerie, vous pourrez y somnoler à loisir !»

— «Euh, d’accord… bien, j’y vais…»

Pincez-moi, je rêve !

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FDN33 Il ya 4 ans