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Vues: 745 Created: 2013.07.14 Mis à jour: 2013.07.14

Première sodomie

Première sodomie

J'était terriblement timide avec les filles et je suis resté vierge jusqu'à l'âge de 21 ans. A partir de 13 ans, je me suis masturbé plusieurs fois par semaine, avec un fort sentiment de culpabilité, en pensant à toutes les filles à qui je n'osais pas adresser la parole. J 'avais aussi un goût prononcé pour la température rectale, que j'associais souvent à mes séances de masturbation. C'est donc à 21 ans que j'ai enfin trouvé une copine qui a nettement fait le premier pas, et plus. Elle avait eu plusieurs amants et venait de rompre avec son fiancé. Elle était très douce et nettement plus expérimentée que moi. Nous nous étions connus pendant l'été et avons fait l'amour deux à trois fois par semaine pendant deux à trois mois. Nous habitions chez nos parents respectifs, ce qui posait quelques problèmes logistiques. Christine se montrait passionnée et a rapidement accepté de prendre mon sexe dans sa bouche, mais elle se crispait dès que je lui caressait les fesses et plus encore sa région anale. En fait, Christine, elle me l'a avoué très vite, était complexée et était persuadée d'avoir un gros cul. La sodomie était donc hors de question. Christine refusait aussi, malgré mes demandes, que je lui prenne la température rectale ou même de me la prendre à moi, elle trouvait cela "dégueulasse".

Christine s'était inscrite depuis bien avant notre rencontre pour aller étudier un an en Irlande, ce qui à l'époque (années 1970) était beaucoup moins courant qu'aujourd'hui. Nous nous sommes donc quittés fin septembre en nous promettant de nous écrire (internet n'existait pas), de nous téléphoner si possible (les communications internationales étaient très chères) et de nous revoir dès que possible.

Ayant gagné un peu d'argent en donnant des cours dans une boite privée, je suis allé rejoindre Christine quelques jours en Irlande au printemps suivant. Notre "amour" avait surmonté l'épreuve du temps et nos retrouvailles furent chaudes. Au cours de ce séjour, nous avons passé une soirée mémorable dans un pub de Grafton Street et le lendemain matin, nous n'étions pas très frais. Je m'étais cependant réveillé assez tôt et je regardais Christine dormir. Non seulement, elle était allongée sur le ventre, mais en plus, sa chemise de nuit était remontée sur son dos et elle m'offrait le spectacle de son cul splendide, qu'elle seule osait qualifier de "gros".

Je ne pouvais détacher mon regard de ses fesses superbes dont j'avais rêvé pendant les six mois de notre séparation. Et ce qui devait arriver arriva.

Je me plaçais assis sur les cuisses de ma copine. Je posais mes mains sur les fesses de Christine, qui profondément endormie, ne réagit pas. Puis, ayant caressé ses fesses quelques minutes et éprouvé leur infinie douceur, je m'enhardis et écartais doucement les deux globes. J'avais devant moi le spectacle de la chatte et du cul de ma copine. Elle dormait toujours, mais commençait à s'agiter dans son sommeil. Mon coeur battait la chamade et je bandais comme un âne. J'écartais au maximum les fesses charnues de Christine et glissais un doigt imprégné de salive dans son rectum, ce qui eu pour effet de la réveiller. "Mais, qu'est ce que tu fais ? " demanda-t-elle, encore somnolente. Je n'écoutais plus que mon instinct et je glissais mon sexe dur entre ses fesses, puis contre l'entrée de ses reins et donnais un coup de rein formidable. Elle hurla: "Non, pas ça, je t'en prie !" mais je continuais. Quelques coups de rein supplémentaires et mon pénis investit presque complètement le rectum de Christine, sans doute aidé par l'effet de surprise. J'entamais des mouvements de va-et-vient dans ce cul superbe. Curieusement, Christine abandonna alors toute résistance et se laissa faire en pleurant doucement. Tout en sanglotant ,elle me dit: " Bon, tu as ce que tu voulais, salaud, maintenant fais ce que tu veux, mais fais le vite parce que je peux te dire que tu me fais mal, très mal". Elle ajouta, dans un torrent de larmes: "et ne viens pas me dire que tu m'aimes, après cà....". Insensible à ses larmes, je ne pouvais pas m'arrêter, l'excitation d' "enculer" ma copine était trop forte. La sensation de mon sexe prisonnier dans le fourreau étroit de son sphincter était extraordinaire, comme le contact de ses fesses contre mon bas-ventre. Tout en me demandant si je n'avais pas fait une erreur, je m'abandonnais à la satisfaction de sodomiser Christine et je suis venu beaucoup trop vite. Quand je me suis retiré, Christine est restée prostrée et a sangloté pendant un long moment. Je me sentais très gêné.

La journée qui suivit fut difficile comme je pouvais m'y attendre. Je me souviens de toutes les paroles de Christine en ce dimanche dublinien pluvieux: "Tu es un salaud, un pervers", "tu m'as violé, salie, tu m'as traitée comme une pute, comme un animal", "Je te déteste, je voudrais que tu meures, là, maintenant". Cependant, elle s'est peu à peu calmée.Après avoir refusé de manger à midi, elle s'est empiffrée de pâtisseries vers cinq heures de l'après-midi et a cessé de me faire la gueule. Finalement, le soir, nous avons ri ensemble devant un film de Woody Allen diffusé par la télé locale et nous sommes réconciliés "sur l'oreiller".

Pendant les cinq jours suivants, nous avons continué à faire l'amour "normalement". Puis, au cours de notre dernière nuit avant mon départ, Christine m'a fait une fellation très tendre, et alors que, en mâle satisfait, je m'apprêtais à m'endormir, elle m'a demandé: "S'il te plaît,, mon amour, encule-moi". Je me suis bien sûr exécuté.

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Naevus Il ya 11 ans