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Vues: 719 Created: 2013.07.22 Mis à jour: 2013.07.22

Ma première fois

Ma première fois

Alors que j'ai eu la chance d'être étudiant au moment de la "Révolution sexuelle" des années 1970, j'ai attendu l'age de 21 ans pour avoir ma première expérience sexuelle, du moins pour faire l'amour. J'étais un garçon excessivement timide et maladroit avec les filles et je passais mes nuits à me masturber tristement en pensant à toutes ces filles que je n'osais pas aborder. J'en arrivais à me demander si je connaîtrais un jour l'amour physique.

Finalement, c'est une fille de mon age, elle avait quinze jours de plus que moi, qui m'a dragué et qui a fait plus que le premier pas. Christine suivait quelques cours avec moi dans notre école et nous bavardions souvent ensemble. Je savais qu'elle avait eu plusieurs "mecs" et qu'elle venait de rompre avec son fiancé. Nous avions des conversations très libres, je lui avait d'abord dit que j'avais couché avec plusieurs filles, puis un jour, je lui ai avoué que j'étais puceau. Je crois que cette confession l'a touchée.

Elle était rousse avec des cheveux très longs et une peau très pale. Elle avait un très joli visage avec des yeux bleu-vert et des petits seins qui pointaient sous ses T-shirts, mais, d'autant plus exigeant que j'étais incapable de draguer qui que ce soit, je trouvais qu'elle avait les hanches un peu larges et les jambes un peu fortes. Nous étions au mois de juillet et avions tous les deux réussi nos examens et nous nous croisions régulièrement à la bibliothèque et à la cafétéria de l'école. Chaque jour, nous nous trouvions de nouveaux points d'intérêt communs. Nous avons été plusieurs fois ensemble au cinéma. Je m'étais mis au défi de "faire quelque chose" pendant ces séances et un jour, j'ai posé ma main sur sa cuisse nue (elle était, comme souvent, en minijupe) au milieu d'un film de Woody Allen. Elle a posé sa propre main sur la mienne et m'a dit "ne bouge pas". Nous sommes restés ainsi un long moment. Sa peau était douce et chaude. J'étais aux anges.

Quelques jours plus tard, elle me proposa de passer le lendemain chez elle pour prendre un pôt. J'acceptais avec enthousiasme. Je ne m'attendais pas à ce qui arriva.

Le lendemain, un samedi, je me rends chez elle, un appart bourgeois du 16ème. Ses parents étaient partis pour le week-end et elle avait les 200m2 pour elle toute seule.

Elle m'offre un coca dans un salon. Assise en face de moi, elle est habillée normalement, T-shirt et jupe presque sage. Je la regarde et me dis que, après tout, ses jambes ne sont pas si grosses. Tout à coup, elle me dit en me fixant dans les yeux: "Tu sais que tu me plais,.... aujourd'hui, tu vas passer à la casserole, petit puceau". "Enfin, si tu veux bien" ajoute-t-elle, soudain gènée par sa propre audace. Je suis un peu surpris, mais je décide de me laisser faire. Mon coeur bat la chamade .Maternante sinon maternelle, elle me prend la main et m'emmène dans une chambre, la sienne; "N'ai pas peur, me dit tendrement Christine, tout va bien se passer",

Elle me fait assoir face à elle au bord du lit. Elle saisit mon T-shirt et le passe par ma tète.Je suis torse nu devant elle. Je me dit qu'elle dois me trouver moche, que je manque de muscles, de poils. Elle pose ses mains sur ma poîtrine et commence à me caresser. Elle constate rapidement que mes tétons réagissent à ses caresses et se durcissent sous ses doigts. Elle semble fascinée par ce qu'elle découvre. Elle joue un long moment avec mes bouts de seins; Après ses mains, c'est sa bouche qui vient titiller mes seins. Elle a ce commentaire: "Je peu te dire que ça ne marche pas avec tous les garçons." Ses mains glissent sur mon ventre. Je me dis que je suis trop maigre, que je n'ai aucun muscle, mais elle se montre plus positive et me dit: "ta peau est si douce". Le contact de ses mains est si agréable. Après un moment passé à me caresser le ventre, elle me demande dans un murmure: "mets-toi debout et retire ton jean." Je me laisse faire et lui obéit, me disant que le grand moment est proche. Elle reste assise, face à moi, debout. Elle est toute habillée, moi en slip, un minislip qui moule assez nettement la cambrure de mon pénis. Sincèrement ou par gentillesse, elle me dit: "Tu es plutôt bien foutu, tu sais". Elle ajoute: "c'est vraiment dommage que tu sois si timide". La situation me rappelle celle des visites médicales du lycée avec le médecin scolaire, toujours une femme, assise et le garçon examiné debout. Je me dis qu'elle va me baisser mon slip. Je suis à la fois anxieux et excité. Au contraire de ce qui se passait lors des visites médicales, je bande et elle ne peux pas ne pas le remarquer. Elle prend son temps avant de passer aux choses sérieuses. Elle fait glisser légèrement le slip pour continuer de caresser mon ventre un peu plus bas. Ses doigts se glissent sous mon slip pour jouer avec les poils de mon pubis. Avant de me mettre complètement nu, elle pose ses mains un moment sur mes cuisses pour apprécier leur fermeté.

Agrippant l'étoffe de mon slip, elle marque un temps d'arrêt et me dit: "tu sais, je crois que c'est le plus beau jour de ma vie". Je lui réponds: "Je pense que je pourrais en dire autant", alors que mon coeur bat à tout rompre. Je ressens un mélange d'excitation et d'appréhension. Christine me descend d'un coup le slip jusqu'aux pieds. Mon pénis palpitant se dresse, pour la première fois pour honorer une dame. Il me semble que je n'ai jamais aussi bien bandé, mais je me demande néanmoins si mon sexe est assez long, assez gros, assez dur, assez bien dressé par rapport à ceux que Christine a pu connaitre. En voyant ma queue, elle laisse échapper un "waouh" qui devrait me rassurer Le visage de Christine prend un air sérieux alors qu'elle prend mon pénis entre ses doigts et le caresse avec délicatesse. Elle passe aux testicules qu'elle palpe plus vigoureusement. "Ce sont des choses que l'on ne doit pas dire quand on est une fille bien élevée., dit-elle d'un ton enjoué, tout en faisant rouler mes testicules entre ses doigts, mais je veux te dire que tu as une belle bite et de jolies petites couilles" . Elle se reprend en gloussant: "Enfin, petites, c'est une façon de parle, en fait,elles sont plutôt grosses" Elle me demande alors de me retourner. "Je veux voir ton cul" dit-elle, l'air délicieusement salope. J'obéis. Nouveau "waouh""alors qu'elle contemple mes fesses avant de poser ses mains sur elles. Je sens que Christine me caresse avec ardeur les fesses, puis les écarte vigoureusement. Elle glisse un instant un doigt dans mon rectum. " Tu as un beau petit cul" dit-elle, elle ajoute: "on a déjà dû te le dire". Je n'ose pas lui avouer que l'infirmière du lycée à la visite médicale de terminale, il y a trois ans, m'a en effet fait exactement le même compliment alors que j'avais un thermomètre dans le cul pour prendre ma température rectale. Christine ajoute, malicieuse: "Je te confirme que c'est la première chose que les filles regardent chez les mecs, même si elles ne le disent pas". Satisfaite de son inspection de mon cul, Christine me donne une tape sur les fesses et me dit avec un sourire: "Maintenant, on passe aux choses sérieuses ".

Elle m'entraîne sur le lit, et toute habillée, commence à m'embrasser et me caresser partout. Je réponds maladroitement à ses baisers et ses caresses. Sous sa jupe, la peau de l'intérieur de ses cuisses est si douce. Je me demande si je ne rêve pas. Je lui retire son soutien-gorge, je ne me lasse pas de caresser ses petits seins, doux et chauds, que j'avais à peine effleurés jusqu'ici, alors qu'elle continue de s'occuper de mes couilles. Elle m'aide à lui retirer sa petite culotte blanche de bon ton. C'est la première fois que je vois le sexe. d'une femme, elle se montre pédagogue et me montre où et comment la caresser, que faire avec ma bouche. Ses hanches sont peut-être un peu larges, ses jambes un peu fortes et ses fesses un peu trop rondes, tout cela m'est égal. Enfin une fille a voulu de moi et je vais lui faire l'amour, la baiser. C'est elle qui prend mon pénis dans sa main et le place à l'entrée de son vagin. Je suis allongé sur elle et nous nous regardons dans les yeux. "Allez, mon petit puceau, baise-moi" dit-elle d'un ton mi-badin, mi-grave. Je donne plusieurs coups de rein, je pénètre son vagin étroit. Instinctivement, je trouve les gestes et je commence à aller et venir en elle. Ca y est , je suis en elle, je baise Christine, je ne suis plus puceau. Elle m'encourage: "Oh oui, baise moi, Oh oui, c'est bon, continue, n'arrête pas". Elle ajoute: "Tu sais, je t'aime, je t'aime tant" je lui réponds avec conviction: "je t'aime aussi, Christine" Nos bouches s'embrassent avec fougue pendant que je lui fait l'amour. Elle agrippe mes fesses de ses mains et elle noue ses jambes autour des miennes et je sens ses chevilles contre le haut de mes cuisses. J'accélère mes mouvements de va et viens, elle gémit avec ostentation, j'en éprouve une satisfaction idiote, mais légitime. La sensation de chaleur et de douceur que je ressens dans mon pénis est intense et je voudrais qu'elle dure...toujours. je sens que je vais jouir, trop vite. Pour la première fois de ma vie, je sens ma semence qui se répand dans le corps d'une autre personne. Une sensation extraordinaire. "Reste en moi", me supplie à ce moment Christine en me serrant très fort contre elle. J'essaie de lui donner satisfaction.

je reprends lentement mes esprits en me demandant si j'ai été à la hauteur. "Pour une première fois, c'est pas si mal", dit Christine d'une voix rauque, mais avec un large sourire, on va recommencer plus calmement". Ce que nous fîmes.....

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clyso Il ya 11 ans