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Vues: 1964 Created: 2010.11.25 Mis à jour: 2010.11.25

Ma femme chez le docteur

Ma femme chez le docteur

Voici une histoire imaginaire écrite il y a quelques temps. Je l'avais publiée sur divers forums et blogs en son temps.

Bonne lecture, n'hésitez pas à commenter si cela vous plait 😃 😃

***

Hier à 14 heures, j'avais rendez-vous chez le médecin pour ma femme. Elle était très fatiguée depuis plusieurs jours, avec fièvre et courbatures. Finalement, le toubib a diagnostiqué une forme de grippe qui devrait se dissiper en quelques jours, donc rien de très grave. Comme hier matin, elle était très mal, j'ai insisté au téléphone et le médecin a finalement bien voulu nous recevoir. Je sentais à sa voix peu enjouée qu'il le faisait par une sorte d'obligation, mais qu'il était probablement surchargé de travail.

Myriam a dormi toute la matinée. Elle s'est levée vers midi, un peu dans les nuages, s'est passé le peigne dans les cheveux et un gant humide sur la figure, et a troqué son pyjama pour un pantalon noir et une chemisette blanche, après avoir changé sa culotte et mis un soutien gorge propre.

Elle s'assit à table et mangea à peu près normalement. Elle était fatiguée mais restait vive et positive, comme toujours. Puis, nous partîmes en voiture vers le cabinet médical.

- Ca va ? lui demandai-je en descendant de la voiture.

- Je suis un peu dans le cirage, dit-elle.

Dans la salle d'attente, elle passa sa main sur son ventre comme si le bouton du pantalon la gênait. Puis, elle se leva :

- Tiens mon sac. J'ai le temps d'aller aux toilettes.

Elle revint presque immédiatement. C'était juste au moment où le docteur vint nous chercher. En passant pour aller dans le cabinet, je vis que les toilettes étaient fermés pour cause de réparations. Myriam n'avait donc pas pu y aller et c'était pour cela qu'elle était revenue tout de suite.

Myriam a 41 ans. Nous nous connaissons depuis presque trente ans. Nous avons deux enfants : une fille de 9 ans et un petit garçon de 5 ans. Nous hésitons à faire un petit troisième. Elle est une femme aux cheveux châtain foncé, mi-longs, aux yeux marrons et au visage fin. Elle porte des petites lunettes de vue. Sa peau est très blanche et semble très fine. Elle mesure un mètre soixante trois et sa taille est plutôt mince. La dernière grossesse lui a laissé un petit bas ventre rondouillet et mou, des hanches un peu élargies et un peu de peau d'orange sur le haut des cuisses. C'est une femme simple, qui ne s'intéresse ni à la mode, ni aux futilités de la société moderne. Elle ne porte guère de bijoux, de bagues, de parfums sophistiqués, et elle ne se maquille pas. Elle est assez famille et privilégiera toujours ses enfants à son mari. Mais c'est comme cela que je l'aime. J'aime sa simplicité.

Nous nous assîmes dans le bureau du toubib.

- Alors, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? demanda celui-ci à l'intention de ma femme. Vous n'avez pas l'air en forme.

Il nous soigne depuis bientôt dix ans, c'est dire s'il nous connait. Myriam va le voir une fois par an. Il lui fait un check-up et lui prescrit la pillule. C'est un homme qui peut paraître un peu sec au départ, mais c'est un bon docteur, au diagnostic sûr.

Elle exposa ses symptômes. Il la questionna sur ses règles et sur d'éventuelles douleurs au niveau des seins et du bas-ventre. J'étais un peu gêné par ces questions intimes et je faisais plus ou moins semblant de regarder ailleurs et de ne pas écouter. Il lui demanda si elle avait la diarhée, si elle avait vomi, ce à quoi elle répondit par la négative.

- Bon, vous allez vous déshabiller, on va voir tout cela.

Assise sur sa chaise, Myriam se pencha en avant pour délacer ses chaussures. Elle les retira, ainsi que ses chaussettes, et elle les poussa sous la chaise. Puis, assise, elle déboutonna sa chemise, lentement...

C'était la première fois que ma femme allait subir une visite médicale devant moi. J'étais soudain très gêné d'être dans le cabinet avec elle. Elle ne m'avait pas demandé de l'attendre dehors, donc j'étais resté. Pourtant, à cette gêne se mélait une excitation sourde.

Elle se mit debout, sa chemise blanche ouverte sur la peau laiteuse de son ventre. Son nombril tout rond dépassait juste du pantalon qu'elle était occupée à déboutonner.

Le docteur était sorti pour donner un dossier à sa secrétaire. Nous étions seuls dans le cabinet. Je faisais mine de lire un prospectus, dont je serais incapable de vous citer le sujet tant mon esprit était ailleurs.

- J'aurais dû me prendre la fièvre avant de venir, dit soudain ma femme, occupée sur une jambe à retirer son pantalon.

- Tu sens que tu en as ? dis-je, saisissant l'occasion de la regarder.

- J'ai pas l'impression.

Elle posa son pantalon sur le dossier de la chaise, et retira sa chemise. La voilà en slip blanc et soutien gorge blanc. Elle ne s'était pas lavée depuis hier matin. Son odeur familière, que j'aime tant, flottait autour d'elle. Elle se rassit sur la chaise, un peu courbée en avant, les coudes sur les cuisses, retira ses lunettes qu'elle posa sur le bureau devant elle. Dans cette position, son ventre avait un gros pli au-dessus du nombril, le séparant entre deux zones un peu renflées. Un peu sous le nombril, on voyait la marque un peu rouge laissée par le pantalon.

- Tu nous fais une belle grippe, dis-je en essayant d'avoir une voix normale.

La porte s'ouvrit et le docteur entra.

- Bien, venez vous allonger, fit celui-ci.

Elle se leva, marcha un peu voûtée, et grimpa les deux marches du petit escabeau en métal. Elle s'assit puis s'allongea. En la voyant ainsi, ma gêne s'amplifia. Pourtant ce n'était qu'une simple visite médicale. J'en avais moi-même subies. Mais il y a quelque chose d'intime là-dedans. Se mettre nu pour faire l'amour est une chose. C'est voulu, désiré, c'est pour se faire plaisir. Ici, c'est l'inverse, c'est un passage qu'on éviterait bien. Et mes yeux regardaient cette femme à la peau laiteuse, ma femme, en slip, allongée, les bras le long du corps, les jambes un peu repliées, devoir donner son corps au médecin qui n'allait certainement pas lui faire que des choses agréables. J'avais honte de prendre du plaisir à cela.

La position de la table et du docteur près du corps de Myriam faisait qu'il me cachait son visage. Aussi, elle ne pouvait voir où je regardais. Je voyais sa poitrine, son ventre et le bas de son corps.

L'examen fut rapide et efficace. Il ne fut pas doux, car faire doux et rapide, dans certains cas, c'est impossible. Il commença par lui passer le brassard pour lui prendre la tension. Puis, il lui palpa le cou, lui fit ouvrir la bouche. Ensuite, il lui ausculta la poitrine, et, après un moment :

- Asseyez-vous.

Elle s'assit et il ausculta son dos. D'une pression sur l'épaule, il la fit s'allonger de nouveau. Il alla poser son stéthoscope et revint vers elle. Posant sa main sur la cuisse droite de ma femme, il lui intima d'allonger ses jambes. Puis, il commença de palper son ventre. Je voyais sa main s'enfoncer profondément dans l'estomac de Myriam, plusieurs fois à des endroits légèrement différents. Puis, ce fut au tour du foie, sous les côtes, à droite, d'être pressé de la sorte.

- Vous avez mal ici ?

Elle dut répondre non de la tête car je n'entendis pas le son de sa voix.

Puis il appuya plus proche du nombril et sur les flancs. J'entendais ma femme respirer plus fort, et des gargouillements s'échappèrent de son abdomen. A cet endroit, son ventre paraissait flasque tant la main du docteur s'y enfonçait facilement. On aurait dit qu'il allait appuyer jusqu'à toucher la table.

Il palpa ensuite plus bas, au niveau de l'élastique du slip. D'un geste rapide d'une seule main, il fit glisser celui-ci, découvrant entièrement le bas-ventre de ma femme, et même le haut de ses poils pubiens. L'élastique du slip avait laissé un trace rectiligne sur la peau. Il appuya longtemps au centre de cette zone de peau blanche, puis sur les côtés, tâtant probablement l'utérus et les ovaires. La région semblait moins souple que plus haut. Myriam semblait contracter son ventre à chaque palpation, et de petits mouvements de ses pieds et parfois même de ses jambes témoignaient d'une gêne.

- Je vous fais mal ici ?

- Un petit peu, dit-elle d'une voix murmurée et comme en apnée.

- Respirez bien. Vous êtes très tendue.

Il palpa encore deux petits coups, puis s'éloigna d'elle pour aller chercher quelque chose dans un tiroir.

- Vous pouvez enlever votre slip.

Myriam ne parut pas plus étonnée que cela. Elle s'assit en s'aidant de ses coudes, descendit de la table sans me regarder, se tourna face à la table, retira la culotte qu'elle posa sur la table. J'entrevis, presque de profil, son ventre rougi par endroit par les palpations du toubib. Cela m'excita : elle subissait cela sans rien dire. Peut-être y avait-elle droit à chaque check-up. Je ne lui avais jamais demandé comment se déroulaient exactement les visites car cela aurait été déplacé de ma part. Je me doutais bien que je n'étais pas le seul homme à voir ma femme nue.

Elle se rallongea et lui revint à sa hauteur. Sa main droite soutint la jambe droite de Myriam et lui indiqua de replier un peu les genoux et d'écarter les cuisses suffisamment. Il enfila un gant en latex qu'il lubrifia avant de pointer son majeur à l'entrée du sexe de ma femme. C'était la toute première fois que je voyais aussi bien la vulve de Myriam. Quand nous faisons l'amour, c'est soit dans la pénombre, soit sous les draps. Et de plus, mon visage ne descend jamais aussi bas que cela. Elle est très poilue, une toison noire qui s'étend du pubis jusqu'à l'anus.

Il entra son majeur rapidement, suivi de l'index. Il palpa quelques secondes l'intérieur du sexe, puis sa main gauche vint appuyer sur le bas-ventre de Myriam.

- Respirez bien à fond, lentement... voilà...

Elle gonflait son ventre, puis lorsqu'elle expirait, le toubib appuyait profondément sur son pubis. A l'inspiration suivante, il gardait sa main appuyée et pressait encore plus fort à l'expiration d'après. Myriam soupira.

- Je vous fais mal ? fit le docteur.

- Non... dit-elle d'une voix faible mais visiblement excédée.

Il répéta les palpations sur les côtés du pubis. Le nombril de ma femme, rond habituellement, s'étirait tout en longueur vers la main du docteur.

Il retira ses doigts, puis, tout en gardant sa main gauche posée à plat sur le ventre de ma femme, il enfonça doucement le majeur dans la toison, mais plus bas. Je réalisai qu'il lui enfonçait dans le rectum. Myriam eut une petite contraction de tout ses muscles.

- Excusez-moi madame. Poussez un petit peu, comme pour aller aux toilettes...

Myriam respirait fort.

- Respirez bien... doucement... voilà...

Elle ferma les yeux. Je vis le doigt du médecin glisser vers l'intérieur et un bruit de pet s'en suivit.

- Relâchez-vous...

Elle expira longuement. Il palpa de nouveau son pubis. Ma femme semblait à bout. Le docteur retira son doigt, et, en enlevant son gant souillé, dit :

- Allez, c'est bon, rhabillez-vous.

Myriam descendit de la table le visage très fermé, presque blême, encore plus voûtée que tout à l'heure. Elle renfila son slip maladroitement avant de venir vers moi pour remettre ses vêtements.

Pendant ce temps, le docteur se rassit à son bureau et commenta l'examen :

- C'est un état grippal. J'en ai pluieurs en ce moment... Le foie est normal. Par contre l'intestin est un peu chargé. Les ovaires et l'utérus sont normaux aussi, c'était ce que je voulais vérifier.

Je préparai le chèque du docteur et le lui tendis, pendant qu'il griffonnait son ordonnance et que Myriam achevait de reboutonner son pantalon.

Lorsqu'elle se leva pour partir, elle semblait ne pas pouvoir se tenir droite. Une fois dans la voiture, je compris :

- Dépêche-toi, où je vais me faire pipi dessus, dit-elle d'une voix pressée.

- C'est vrai ? A ce point ?

- Et l'autre qui m'appuyait bien fort sur la vessie, j'en pouvais plus...

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fraischa Il ya 11 ans  
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