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Vues: 905 Created: 2014.11.05 Mis à jour: 2014.11.05

Brève d'Hosto...

Brève d'Hosto...

Brève d'Hosto.

L'homme avait été opéré d'un membre et glandait dans son padoque depuis deux jours, attendant impatiemment le jour de la sortie, comme on guette fébrilement celle de la fin des cours, les louzoù (médoc) le faisaient planer bêtement devant une téloche trop loin et trop petite, son mp3 l'endormait, les lignes de son bouquin finissait par s'entre mêler et lui brouillaient la vue, son seul plaisir étaient la visites des infirmières, aide soignantes et internes, du moins, deux jeunes femmes qui se servaient de son cas rarissime pour leurs études et qui lui parlaient gentiment, prenant même le temps de discuter de choses et d'autres, bref, de prendre de leur temps pour un patient, ce qui est rare avec les toubibs patentés…

Ce n'était pas le jour le plus long (pas le film), c'était la soirée et la nuit, passée dix huit heures, l'heure de la graille à l'anglaise, toute bouillie, (sauf Jeanne d'Arc, qu'ils ont fait griller), il ne lui restait comme occupation cérébrale, que son bouquin, sa musique, et l'image qui bouge, tableau vivant de la joie dans le monde, commentée par des valets cravatés, plus aucune visite, il fallait attendre celle de l'infirmière du soir puis de celle de nuit, pour avoir une dernière fois le plaisir d'une présence féminine dans sa chambre, mais c'était du furtif, elles bossent trop, pas le temps de jouer de la main avec popol discrètement sous le drap en la regardant, essayant de transpercer sa tunique blanche du regard, de profiter d'un faux jour qui la rende transparente et laisse apercevoir ses sous vêtements au travers, frustration total de la libido…

Mais un soir, après la dernière prise de tempé/cardio/tension/dextro, le quadriptyque infernal, ultime papouille médicale où l'on te tripote un peu mais rapidement et sans te dessaper, voila qu'une des deux internes vient le visiter, une belle brune à cheveux mi-longs, pas la trentaine, elle vient lui mesurer sa douleur, regarder son pansement, tester la sensitivité du membre opéré, sympathique et courtoise, d'une voix douce et avenante, elle prend de ses nouvelles, parle du livre qu'il lit, lui demande d'écouter un morceau de sa musique, puis elle soulève le drap au niveau de l'arceau protecteur de la zone opérée et se penche pour observer, toucher, contrôler ses réactions, faire bouger ce qui peut l'être, il l'observe aussi, belle jeune femme dans sa tunique blanche au pantalon léger, moulant une jolie paire de fesses comme on en voit sur Voissa(mais je tairais les noms), il cherche à jauger sa poitrine qui semble moyenne mais bien ferme, pas de transparence vestimentaire, il en est déçu, apercevoir la dentelle d'un soutif, ou son style de culotte l'aiderai à durcir pour plus tard, lors d'un soulagement manuel…

- Vous sentez mes doigts là…? Demande-t-elle en lui passant ses ongles sur les doigts de pieds.

- Oui… ça chatouille… dit-il connement

- Et là…? Demande-t-elle en remontant griffer légèrement plus haut sur la jambe.

- Oui… là aussi… dit-il content de se faire tripoter du bout des doigts.

Elle repousse le drap plus loin, découvrant son boxer et viens toucher la chair près de l'aine, l'homme sent que son bas-ventre s'électrise, le fluide érogène se répand jusqu'à son sexe en passant par les testicules, il commence à bander légèrement, l'interne lui palpe les deux cuisses, alternant paume et doigts, passant au raz du paquet qui grossit, sans jamais le toucher, elle est très médicale et semble concentrée, mais de sa douce voix, elle continue de l'interroger sur ce qu'il ressent, s'il a bien fait pipi, il durcit de plus belle et sans aucune raison, sauf celle qu'elle seule connait, elle pose une main délicate sur le tissu dressé, comme si elle voulait saisir toute la chose…

-Et là…? Vous sentez ma main…? Demande-t-elle sans le regarder.

- Hum… Heu… Oui… dit-il un peu gêné, se demandant où est la limite médicale, et vat-elle continuer…?

- Ho…! Je le vois en effet… Vous avez bien récupéré de l'anesthésie… dit-elle en lui massant la verge à travers le boxer.

L'homme est dans tous ses états, malgré les antalgiques, il bande comme un affamé, il attend une preuve, un geste plus sexuellement marqué de la part de l'interne pour se laisser aller, il regarde ses fesses, qu'il voudrait bien toucher, son souffle devient court, il abaisse ses paupières pour savourer l'instant, car il sait bien qu'après, quand elle sera partie, il devra se branler, si elle l'a pas finit… Quand il sent que sa main passe sous le tissu, il ouvre grand le yeux pour la regarder faire, pour lui maintenant c'est certain, elle va aller plus loin, il tend alors son bras vers la jeune étudiante, et approche sa main de la croupe tentante, il est conscient du risque mais l'homme est ainsi fait, quand on lui touche la bite, il ne sait plus penser, et contre toute attente, elle se laisse caresser, sans le réprimander, elle se rapproche même, en lui tendant sa croupe, pendant que des deux mains, elle lui baisse le boxer, sa queue jaillie d'un coup, quémandant des caresses, il lui flatte les fesses d'une main délicate, elle remue son derrière en guise d'invitation…

Pour masser aussi bien, elle a due faire kiné avant son internat, kiné de la teub, masseuse de dards, durcisseuse de corps caverneux, polisseuse du doigt sans ongle, une vraie spécialiste, une amoureuse du travail bien fait, il tressaute à chaque nouvel attouchement, elle connait les points précis, ceux qui vous mettent le feu, lui se demande si elle va le sucer ou juste le masturber, il fait glisser sa main plus bas, lentement, en passant par le sillon fessier qui mène à la zone chaude, elle ouvre les jambes pour la laisser passer, bouillante qu'elle est de l'entrecuisses, il sensibilise l'endroit, se rend agréable par des effleurements digitaux explorateurs, mais voila qu'elle se penche pour lui téter le prépuce en lui massant les boules, il essaye de tirer vers le bas l'élastique du pantalon blanc mais n'y arrive pas, d'une main rapide, elle en défait le cordon, l'homme découvre alors une culotte de coton, blanche elle aussi, brodée de petits cœurs à la ceinture, il la baisse elle aussi et alors apparait un magnifique joufflu, aux rondeurs affriolantes…

L'heure n'est plus aux visites impromptues du personnel soignant dans la chambre, il est tard, alors la douce interne s'applique dans ses soins buccaux, la fellation hospitalière et le massage régénérant postopératoire, elle veille à tout, contrôlant à sa façon, la sensibilité de toutes les parties de l'appareil génital, en lui léchant les boules, elle aventure même un doigt plus bas, pour titiller son petit orifice afin de voir comment il réagit, l'homme l'a laisse faire, elle sait ce qu'elle fait et où elle va, c'est médical, il a abaissé le lit électrique pour une meilleur vue sur ses intimités, elle lui tend ses fesses pour une auscultation plus profonde et son humidité grandissante lui lubrifie les doigts, sa vulve est chaude mais sa grotte est bouillante, d'un pouce précautionneux, il lui stimule les plis de son œillet, elle ne refuse pas l'attouchement mais lui propose un gant de latex pour le confort sanitaire, elle en enfile un également…

- Je vois que vous n'êtes pas douillet… dit-elle en lui massant l'anus, avec un large sourire aux lèvres.

- Heu… Non… pas trop… répond-il en feignant une légère inquiétude alors qu'il rêve de ça.

- Ne craignez rien… Je vais vous faire un contrôle prostatique en douceur… dit-elle en lubrifiant son index de pommade.

- Si c'est en douceur alors… je vous fais confiance…

- Vous pouvez… Vous n'êtes pas mon premier… lui dit-elle en enfonçant délicatement son doigt.

L'homme est comblé, une bouche gourmande lui dévore la verge et un doigt médical lui visite l'anus, sentant celui de la jeune interne plus détendu, il lui rentre son pouce et la branle des ses doigts, par dessous, par dedans, elle soupire d'aise en le suçant, elle gémie et reprend son souffle, il sent qu'il va venir mais ce retient encore, il veut qu'elle aussi ait son plaisir, il augmente le rythme de ses caresses, mais la jeune suçeuse sait par trop bien y faire, elle lui doigte l'oignon avec dextérité en lui pompant le nœud d'une façon si parfaite, qu'il ne peux plus retenir l'orgasme qu'il sent monter, il la prévient quand même qu'il va éjaculer mais elle va jusqu'au bout, le gardant dans sa bouche, il lâche sa semence en râlant de plaisir, il la voit avaler, elle se met à trembler, puis agitée de spasmes, elle lui jouis dans la main, arrosant le dallage, en se mordant les lèvres pour ne pas trop crier, un filet de sa jute lui coule au coin des lèvres, elle l'essuie de la langue pour ne rien laisser perdre, les doigts sont retirés des orifices en feu, elle fait une toilette à celui qu'elle doigtait et s'essuie devant l'homme avant de le quitter, une bise sur la bouche, sans plus de commentaire, la visite est finie, elle éteint la lumière…

FIN…

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
chevreuil Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans