1 members like this


Vues: 592 Created: 2014.12.06 Mis à jour: 2014.12.06

La nuit de garde dans une clinique ( histoire trouvée sur le net )

La nuit de garde dans une clinique ( histoire trouvée sur le net )

Je me prénomme Christelle et j’ai 43 ans. Je suis mariée depuis 20 ans. Je suis aide-soignant dans un hôpital et je travaille de nuit dans un service de personnes âgées. J’aime le sexe, mais je n’ai jamais était infidèle à mon mari. J’ai bien été draguée quelques fois, mais ce n’est pas allé plus loin que quelques baisers et quelques mains baladeuses. Une fois, au début de ma carrière, j’ai fait une fellation à un brancardier qui m’avait coincé dans l’ascenseur, mais c’est tout.

Un soir, je suis allée prendre mon service comme d’habitude et cette nuit-là je faisais équipe avec un homme, Jean Bernard, un homme 44 ans. 1m70, un peu corpulent, mais sympathique, avec qui je n’avais encore jamais travaillé. Apres avoir effectué tous les soins, vers 01h00, nous sommes allés à la cafeteria prendre un café et nous avons commencé à discuter de choses et d’autres puis pour finir çà a tourné autour du sexe et de nos expériences. Au bout d’un moment Jean Bernard s’est approché derrière moi et a posé ses mains sur mes épaules. Je me suis retournée il m’a alors posé un baiser sur les lèvres. Comme je ne protestais pas il a recommencé et m’a embrassé en mettant la langue, puis sa main s’est posée sur ma poitrine et il m’a caressé les seins par-dessus ma veste. J’étais comme tétanisée. Je voulais qu’il arrête, mais j’étais incapable de reculer. Rapidement il a fait sauter les boutons pression de ma veste et a pris mes deux seins dans ses mains pour les pétrir. Il en a fait sortir un de mon soutien-gorge, puis le deuxième et il s’est mis à me téter. Je ne savais plus ce qu’il m’arrivait. Puis il a pris ma main et la mise sur son sexe, et m’a dit: « Prend-le ».

Je le sentais tout dur à travers son pantalon. Il l’a sorti et j’ai commencé à le masturber. Il m’a alors allongée sur la banquette et m’a présenté son sexe devant la bouche. Je l’ai aussitôt pris et pendant que je le suçais sa main s’est glissée dans mon pantalon pour fouiller dans ma chatte humide. Il a fait glisser mon pantalon ainsi que ma culotte et il a continué de me masturber tout en me glissant un doigt dans l’anus. Je me suis mise à jouir tellement fort que je l’ai pas senti venir. Tout à coup il a éjaculé dans ma bouche. J’en ai avalé une partie. Mais comme il a éjaculé en plusieurs jets, ma bouche a de nouveau été pleine de sperme avant que je ne puisse retirer son sexe. Quand il est sorti j’ai reçu un nouveau jet de sperme sur le visage. J’en avais de partout. Ca me coulait au bord des lèvres et dans le cou jusqu’entre les seins. J’ai cru que j’allais étouffer. J’en ai encore avalé avant de pouvoir recracher le reste. Je n’avais jamais vu une éjaculation pareille. Pour finir, je me suis retrouvée dépoitraillée et les fesses à l’air devant l’évier à me rincer la bouche.

Profitant que j’étais baissée, Jean Bernard s’est collé derrière moi, m’a fourrée sa queue dans la chatte et a commencé à me baiser. Au bout de quelques coups de rein il est ressorti, complètement essoufflé. Il avait enfin débandé. Moi j’étais toute retournée. Je n’ai pas vraiment compris ce qui c’était passé. Je me suis rhabillée toute honteuse de m’être laissée aller, mais malgré tout satisfaite. Je me suis ensuite remise au travail ne disant rien à Jean Bernard. Lui non plus ne me parlait pas et il baissait la tête et faisait comme- ci de rien n’était. Plus tard, vers 3h00 du matin, alors que je m’occupais d’un patient, Jean Bernard s’est approché de moi et tout en me pelotant les fesses, il m’a dit à l’oreille: « J’ai encore envie de te baiser ». Je ne savais plus quoi faire. J’ai senti son sexe contre ma cuisse et malgré moi je me suis mise à mouiller. J’ai fait semblant de ne pas avoir compris et j’ai continué mon soin. À peine sortis de la chambre, Jean Bernard m’a enlacé par derrière mettant ses mains sur mes seins.

Ma respiration s’est coupée. Je ne pouvais plus respirer ni réagir. En me disant « viens », il m’a poussé vers le cafeteria et a de nouveau fait glisser mon pantalon. Il a ouvert ma veste et me l’a quitté puis a sorti mes seins de mon soutien-gorge pour les pétrir une nouvelle fois. J’ai réussi à dire non, mais sans grande conviction. Il m’a alors couché à plat ventre sur la table et après avoir baissé ma culotte, il introduit sa queue dans ma chatte, puis s’est mis à me pilonner comme un fou. J’ai joui pratiquement aussitôt. Puis il s’est mis à caresser mon anus avec son doigt qu’il imbibait de salive. Voyant que je continuais à gémir de plaisir, il a mis un deuxième doigt puis un troisième. Mon anus devait être complètement dilaté. Il m’a dit: « Maintenant je vais t’enculer » dit-il. Il a alors sorti sa queue de mon vagin et me l’a mise dans l’anus me pénétrant lentement.

Il a d’abord commencé à faire de petits mouvements de va et vient, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. A chaque coup de boutoir, je sentais ses couilles pleines qui tapaient contre mes fesses. Puis tout d’un coup il s’est tendu et a poussé un gémissement et j’ai senti son sperme chaud qui giclais dans mon anus. J’ai joui à mon tour serrant les fesses pour retenir ce membre qui venait de m’enculer. Après quelques secondes il s’est retiré et j’ai senti son sperme qui coulait entre mes joues de fesse. J’étais toujours allongée sur la table à demi inconsciente. Jean Bernard s’est adressé à moi me disant d’un air satisfait : « ce que tu es bonne ». Reprenant mes esprits j’ai ramassé mes affaires et je suis allée me laver, puis je me suis rhabillée.

Revenant vers le cafeteria m’a rappelé et m’a dit : « La prochaine fois qu’on bosse ensemble je demanderai à mon copain Jude de passer et on fera un trio ensemble. Tu verras comme c’est bon ». « C’est hors de question et de toute manière je ne travaillerai plus jamais avec toi. J’ai l’impression d’avoir été violée ». Lui ai-je répondu. Il a ri en disant : « Tu as joui comme une malade et je suis sûre que tu as envie de recommencer ». Puis il est parti faire son travail et nous ne nous sommes plus adressé la parole jusqu’à la fin du service. Le lendemain soir, à mon grand étonnement j’ai vu que j’étais affecté au même service que la veille. En arrivant j’ai croisé Jean Bernard qui m’a embrassé sur la joue pour me dire bonsoir tout en posant ses mains sur mes hanches et en me regardant d’un œil lubrique.

Je me suis vite rendue au vestiaire pour me changer puis j’ai pris mon service avec lui comme si de rien n’était. Pendant notre tour, Jean Bernard m’a dit: « Tu as réfléchi à ma proposition? Elle tient toujours ». « Je ne sais pas. J’ai peur que tout çà se sache, puis je suis mariée », ai-je répondu. « Et alors? Tu ne seras pas la première. De toute façon personne n’en saura rien et ce n’est pas moi ni Jude qui irons le crier sur les toits », a-t-il répondu. « Mais tu ne sais pas s’il acceptera? » ai-je répondis. «Je suis sure que oui, mais est-ce que tu en as envie? » me demanda-t-il. « Oui. J’ai tellement aimé hier » répondis-je en baissant la tête. Pas de problème, je l’appelle pendant que tu termines le tour. Il est là, il travaille à la sécurité. Vers 22h00, j’avais fini mon tour et je rejoignis Jean Bernard à la cafeteria.

« J’ai joint Jude. Il viendra prendre le café vers 01hr00, et je te le présenterai », me dit-il. J’étais toute chose en pensant à la décision que je venais de prendre. Que dirait mon mari? Je sais bien qu’il me dit toujours qu’il faut que je vive ma vie et qu’il a envie que je me fasse baiser par un autre. Mais là…Jean Bernard, s’est approché derrière moi et glissait une main dans mon soutien-gorge me dit: « Tu verras. Tu ne le regretteras pas ». À environ 01hr00, la porte du service s’est ouvrit, et un homme est entré. Un noir de 30 ans environ, belle carrure. C’était Jude. « Christelle, je te présente Jude ». Nous nous sommes embrassé et nous sommes allés à la cafeteria. Jean Bernard a servi les cafés et nous nous sommes mis autour de la table pour discuter. C’est la copine dont je t’ai parlé, a dit Jean Bernard à Jude. Elle est super bonne. Je suis devenue toute rouge.

Jude s’est rapproché de moi et m’a enlacé tendrement, me caressant la joue, et « on va voir çà, mais je n’en doute pas ». Il m’a alors embrassé sur la bouche, enroulant sa langue avec la mienne, en même temps sa main a dégrafé ma veste et il a commencé à me pétrir la poitrine. Jean Bernard s’est levé et est venu près de nous. Il m’a ôté ma veste puis a défait mon pantalon. Je me suis retrouvée en petite culotte le soutien-gorge baissé, collée contre Jude dont je sentais le sexe durcir.

Jean Bernard m’a ensuite enlevé ma culotte puis m’écartant les cuisses de manière impudique a commencé à me lécher la charte. Je me suis mise à gémir de plaisir tellement s’était bon. Jude m’a allongé sur la table et pendant que Jean Bernard continuait à me lécher, il a sorti son sexe. Enorme. Je n’en avais jamais vu d’aussi gros. Bien 20 cm de long et aussi épais que mon poignet. Il me l’a fourré dans la bouche, et je me suis mise à le sucer pendant qu’il me caressait les seins. Pendant ce temps, Jean Bernard était passé à mon petit trou qu’il agrandissait en y mettant ses doigts, alternant l’anus et la chatte. Puis il m’a pénétré et s’est mis à me bourrer m’arrachant des cris de plaisir. Pendant que Jean Bernard m’enculait, Jude est monté sur la table et a enfilé son énorme sexe dans ma chatte la remplissant complètement et lui aussi s’est mis à me bourrer.

Je n’en pouvais plu. Je n’arrêtais pas de jouir et de pousser des gémissements. Ensuite ils sont sortis tous les deux. Jude m’a retourné à plat ventre sur la table. Jean Bernard m’a mis sa bite dans la bouche pour que je le suce. Jude a présenté sa queue devant mon anus. J’ai voulu crier car il allait me défoncer, mais la bouche pleine aucun son n’est sorti. Je gémissais de plus en plus fort à chaque poussé. Jude a alors lentement pénétré son gros pieu dans mon anus qui s’est encore dilaté de plus belle, puis après l’avoir complètement enfoncé, il s’est mis à me bourrer le cul jusqu’à ce qu’il jouisse en poussant des cris de plaisir et en me donnant des coups de rein vigoureux. En même temps, Jean Bernard a éjaculé son sperme chaud dans ma bouche. J’en ai avalé une grande partie, mais le reste a dégouliné sur mon menton et ma poitrine. Après quelques minutes, ils se sont retirés tous les deux et se sont essuyés avec des serviettes. Quant à moi j’ai repris lentement mes esprits. J’ai ramassé mes habits et je suis allé dans la douche pour me remettre en état. Mon anus était tellement ouvert que j’aurai pu y faire passer ma main et du sperme me coulait le long de mes jambes.

Je me suis longuement lavé et une foi rhabillée, j’ai rejoint l’office où se trouvaient encore Jean Bernard et Jude. « Alors? M’a demandé Jean Bernard, ça ta plus, tu aimerais qu’on recommence un ce soir ». « C’était fabuleux », répondis-je après quelque minute. « Quand tu veux on recommence et là on te baisera à trois » me demanda-t-il. « Pourquoi pas », lui répondis-je, j’ai fis surprise moi-même par ma réponse. En deux nuits, de la femme fidèle, j’étais devenue une pute qui ne demandait qu’à se faire défoncer. Cela m’avait vraiment plus de me faire prendre par ces deux hommes, et j’avais vraiment hâte de recommencer, ainsi je leur ai répondis que cela me conviendrait le plus vite possible.

Comments

clyso Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans