C'était au tout début de sa première grossesse. Ma femme venait de faire le test qui était positifs. Transportés par la joie, nous avions décidé d'aller consulter le gynéco pour être "sûrs". Ma femme prit rendez-vous chez son gynécologue. La secrétaire lui dit qu'il était absent et qu'elle verrait un remplaçant.

Le jour du rendez-vous, la secrétaire nous installe dans la salle d'attente. Lorsque la porte du bureau du docteur s'ouvre, ma femme s'exclame soudain : "Pierre !"

Pierre était son ex. Avant de me rencontrer, elle avait vécu dix ans avec un certain Pierre, médecin gynécologue de son étant, que je ne connaissais pas. Ma femme le croyait à l'autre bout de la France, mais voilà qu'il venait remplacer un docteur par chez nous.

L'homme était beau et grand. En moi-même, je me disais : "Tout le contraire de moi qui suis plutôt petit et falot." J'avais déjà vu des photos de Pierre et me demandais souvent si ma femme le regrettait, malgré leur rupture pour des raisons d'incompatibilité de style de vie et de manière de penser : lui ne voulait pas se marier, elle oui.

Je sens ma femme gênée mais elle ne peut qu'entamer la discussion : ils ont gardé une relation d'amitié et s'écrivent souvent par mail. Pierre sait tout sur notre mariage et nos projets. J'ai fini par voir en lui un bon ami de ma femme. Le voir en vrai ne m'aurait pas gêné outre mesure si cela n'avait pas été dans des circonstance médicales.

Il nous fait entrer dans le bureau, ferme la porte et nous demande ce qui nous amène. Lorsque ma femme, un peu hésitante, lui fait part de sa question, il nous adresse un clin d'oeil. Après avoir dit que si le test était positif, il y avait de forte chance pour que ce soit bon, il dit soudain, en regardant ma femme :

- Bon, ben on va quand même regarder tout ça ?

Ma femme ne dit rien. Pierre reprend :

- Allez, déshabille-toi, on va ausculter le petit bout de chou.

Ma femme se lève donc de sa chaise et commence à se déshabiller. Une fois en slip et soutien-gorge, elle va s'asseoir sur la table. Pierre la toise puis :

- Enlève le bas, s'il te plaît. Je vais en avoir besoin.

Puis, en me regardant :

- Ca ne vous gêne pas, j'espère. Après tout, on s'est vu nus aussi.

Ma femme lança un "Pierre !" gêné mais avec un sourire montrant qu'elle était sensible à la plaisanterie, certes d'un goût douteux. Quant à moi, mon coeur hésitait entre la jalousie féroce et l'excitation...

Le regard de Pierre sur ma femme n'était pas que médical. Je voyais nettement qu'il en profitait pour se rincer l'oeil sur ce corps qu'il avait eu dans son lit pendant dix ans. Je m'étais souvent demandé ce qu'ils avaient fait, comment ils faisaient l'amour : ma femme est sobre, c'est toujours le missionnaire. Et comme je suis timide, je n'ose pas évoquer plus. Mais avec lui ? Déjà, je la sentais plus hardie depuis qu'elle était entrée dans le bureau.

- Allonge-toi.

Il lui prit les jambes et lui dit de les allonger. Il avança sa main vers son ventre et appuya dessus profondément et lentement. Il tâta le bas du ventre. Ses palpations étaient alternativement légères et très profondes. Il remontait parfois sur l'estomac et le fois puis revenait au bas ventre, sous le nombril, proche du pubis, de plus en plus bas.

Ma femme réagissait à ses palpations. Parfois elle semblait incommodée, parfois au contraire, son ventre se gonflait comme pour prendre une profonde inspiration.

Il approcha l'échographe de la table d'examen. Il prit une longue sonde et enfila dessus une sorte de préservatif. Il enduisit la sonde de gel. Puis :

- Plie tes jambes et écarte bien... voilà... Ca va être froid mais ça fait pas mal... C'est pas bien gros, n'est-ce pas ?

Il me fit un clin d'oeil et me proposa de m'approcher pour voir le petit écran de l'appareil.

Il enfonça la sonde dans le vagin de ma femme. Celle-ci frémit. En m'approchant, je remarquai que ses joues étaient rouges.

Aussitôt, on entendit le coeur du bébé, moment merveilleux. Pierre faisait des va-et-vient très lents avec la sonde de manière à bien me montrer le foetus qui était encore assez informe à ce stade de quelques semaines. Il bougeait la sonde dans le vagin de ma femme, semblait insister. Avec l'autre main, il malaxait le bas ventre de ma femme de plus en plus fort et au niveau des poils pubiens.

Voir ma femme nue dans cette position m'avait donné une érection. J'avais gardé ma veste et la tenais donc fermée, espérant que cela masquerait une bosse sur mon pantalon.

Mais peu à peu, je remarquais qu'il se passait autre chose : Pierre ne faisait pas que palper le ventre de ma femme. Si ses doigts longs appuyaient en effet sur la chair blanche du bas-ventre de ma femme, son pouce traînait discrètement dans les poils pubiens et cherchait, en descendant peu à peu, le clitoris de mon épouse. A un léger sursaut de ma femme, je compris qu'il venait de l'atteindre et de presser dessus, tandis que la sonde s'enfonçait bien à fond dans son vagin.

Ma femme rougit et me regarda. Je lui souris et vint me mettre derrière sa tête. A la hauteur où était la table, le haut de sa tête heurta ma bosse dans mon pantalon. Elle leva les yeux pour me regarder et sourit. Je lui pris la main puis remontais en caressant le long de l'avant bras et du bras jusqu'à l'épaule nue. Puis, ma main obliqua vers sa poitrine, descendit vers son soutien-gorge. Remarquant que, sous le tissu blanc, les tétons étaient dressés, mes doigts plongèrent sous le tissu et caressèrent les mamelons déjà durs.

A ce moment-là, Pierre retira la sonde en disant :

- Bon, tout va bien ! Félicitations ! Tu peux te rhabiller...