Anonymous


Vues: 592 Created: 2015.01.29 Mis à jour: 2015.01.29

Un fantasme inavoué...

Un fantasme inavoué...

Voici une histoire inventée mais qui illustre un de mes fantasmes...

Quand j'avais trente ans, j'avais commencé d'avoir des douleurs dans le bas du ventre, un peu sur la droite. Ce n'étaient pas des douleurs aiguës mais plutôt sourdes et lancinantes. Pensant à l'appendicite, je m'inquiétais, bien que sachant que les douleurs d'une appendicite aiguës sont vives. Cela allait et venait, mais comme j'étais inquiet, je pris rendez-vous chez un médecin près de chez moi. Je n'avais pas de médecin traitant, j'en choisis donc un au hasard.

J'allai le voir le lendemain après-midi. Je sonnai. Il vint lui-même m'ouvrir. C'était un homme assez corpulent, dans la cinquantaine, un peu dégarni. Il était en bras de chemise. Sans un sourire, il me demanda mon nom puis m'indiqua la salle d'attente avant de retourner dans son cabinet. Par la porte entrouverte du cabinet, je vis qu'il y avait une dame allongée sur la table d'examen, en sous vêtements.

Dix minutes plus tard, la femme sortit du cabinet et le docteur la raccompagna à la porte. Puis, il m'appela. Il me semblait bourru, sec. Il me fit entrer, et, sans parler, alla s'asseoir. Sans me regarder, il classa quelques dossiers puis me demanda les renseignements habituels : nom, prénom, adresse, carte vitale. Et enfin ce qui m'amenait.

Je lui parlai de mon mal de ventre. IL me demanda des détails. Il me demanda si j'avais eu des opérations. Je lui parlai donc d'une hernie inguinale quand j'étais gamin. Il me demanda ensuite si je me faisais vérifier régulièrement les testicules. Je répondis que non.

- Vous n'allez pas voir souvent le médecin ? me demanda-t-il avec un demi sourire.

- Euh... non...

- Bon, on va en profiter pour faire une visite complète. Allez, en slip ! lança-t-il.

Puis, se ravisant :

- Si ça vous dérange pas, enlevez aussi le slip tout de suite, comme ça ce sera fait.

Puis, il s'assit bien au fond de son fauteuil, les mains croisées derrière la tête. Dans cette position, son ventre rond ressortit, tendant le tissu de sa chemise bleu clair. Puis il se leva et alla m'attendre près de la balance.

J'étais en slip. C'était la première fois que j'allais me mettre intégralement nu devant quelqu'un. Curieusement je ne ressentais pas l'appréhension que j'aurais cru ressentir. J'enlevai mon slip tout en étant certain que je ne banderai pas. D'ailleurs, je ne suis pas homo... enfin, je crois.

Il me pesa et me mesura. Puis il me fit signe d'aller m'asseoir sur la table. Il chaussa son stéthoscope et ausculta ma poitrine et mon dos. Puis, sa main exerça une pression sur mon épaule pour que je m'allonge.

Il palpa mes ganglions au cou, aux clavicules puis ses mains tâtèrent mes aines. Cela me fit frissonner. Je vis son regard se poser sur mon entrejambe puis sur mes yeux.

- Détendez-vous, me dit-il.

Il commença de palper mon ventre. Il insistait sur la région de l'appendice. Puis, il tâta dans mon pubis, dans les poils, là où on peut voir la cicatrice de ma hernie inguinale. Ces pressions et ce contact avec le haut de mon pénis déclenchèrent l'irrémédiable : je sentis que je ne maîtrisais pas mon sexe et que l'érection risquait de venir.

Il continua de m'appuyer sur le pubis puis, sans prévenir, se mit à tâter mes bourses, ce qui acheva de faire se dresser mon sexe.

- Excusez-moi, balbutiai-je.

- Pas d'inquiétude, c'est une réaction normale. Vous êtes très sensible. Votre femme doit en profiter.

Il faisait rouler mes bourses entre le pouce et les autres doigts. Ce n'était pas désagréable. Comme je ne disais rien, il renchérit :

- Non ?

Je fus contraint de répondre que je n'avais ni femme ni petite amie.

- Dommage pour elles, car vous êtes plutôt bien monté.

La parole ne me choqua presque pas tant je le considérais avant tout comme un médecin. Pourtant, il avait cessé de palper mes testicules. Sa main avait lentement entouré mon pénis durci et avait tiré vers le bas peau de manière à décalotter complètement le gland. Une fois décallotté, au lieu de retirer sa main, il la laissa, enserrant doucement mon pénis. Je sentis mon sexe se contracter, bander tout seul.

- Vous vous masturbez, me demanda-t-il ?

- Oui.

- Régulièrement ?

- Oui, tous les jours.

Sa main bougeait lentement, faisant des va-et-vient très court, maintenant mon pénis en érection complète. Mes mains étaient le long de mon corps. Je sentis soudain sur le dos ma main droite, du côté où étaient le médecin, quelque chose de dur et chaud : la bosse dans son pantalon, son sexe érigé lui aussi.

Comme je croisais son regard, il défit sa ceinture et descendit son pantalon et son slip, puis il ouvrit sa chemise. Sous son ventre rebondi et entre deux cuisses blanches et musclées, il libéra un pénis droit et épais.

... la suite dépend de vous...

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clyso Il ya 9 ans  
n/a Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans