pol42


Vues: 805 Created: 2009.01.31 Mis à jour: 2009.01.31

De plaisantes vacances

Chapitre 4

Un monsieur entre et dit :

- Bonjour, oh mais je vois que notre cadeau est prêt, je sens qu'on va bien s'amuser.

- Oui, elle est mignonne cette petite, elle porte bien la couche en plus, Christine sais bien les choisir, lui répond Lucie - Vous me flattez, mais entrez donc, cette petite salope va nous servir le café.

C'est un couple d'une quarantaine d'année, elle est plutôt belle, même si je ne me retournerais pas sur elle dans la rue, Lui, je ne peux pas dire qu'il soit beau ou moche, je ne regarde pas les hommes en général. Me voilà donc à servir le café, en tenue d'écolière et avec une couche qui commence déjà à se mouiller. Après une heure à boire leur café en discutant, voilà monsieur qui se lève « Bon, si nous allions tester cette petite salope ? ».

- Oui, tu a raison, il est temps pour elle de prendre du plaisir, tu va pouvoir tester la nouvelle couche ouvrante et le chevalet.

- Ah, tu les a finis ?

- Oui, il y a deux semaines, elle porte déjà la couche et le chevalet est en bas.

- Alors allons y, ne la faisons pas attendre.

- Lucie prépare le chevalet, il ne manque plus que nous.

Nous descendons les marches, je sens mes jambes qui se dérobent sous moi, je sais que je vais me faire sodomiser et par un homme cette fois. Arrivé en bas, je vois le chevalet pour la première fois, il est au centre de la pièce. D'une hauteur d'environ 1 mètre, il ressemble à un cheval d'arçon. Des sangles sont fixées en bas des pieds. L'homme le détaille, « Il est magnifique, je sens qu'elle va aimer. ». Nounou arrive vers moi et me retire la culotte en plastique « Viens on va te mettre sur le chevalet ». Je la suis docilement. Elle m'attache les chevilles en bas des pieds du chevalet, puis les genoux sur les montants puis me demande de me coucher le ventre sur le cuir du chevalet. Elle attache les poignets avec des sangles fixées aux autres pieds, je ne peux plus me relevé « Là, notre pisseuse est prête à être utilisée ».

En tournant la tête vers la droite, je vois madame en train de branler monsieur. Sa bite grossi de façon impressionnante. Madame me regarde puis me dit « Tu comprend, il veut toujours m'enculer, mais avec une telle bite, je ne peux pas l'accepter, alors Christine nous trouve des salopes comme toi pour qu'il puisse assouvir ses fantasmes sans me faire souffrir ».

Sa bite est devenu bien plus grosse que le gode, je commence à prendre peur. Il arrive vers moi « tu va voir, tu va aimer que je te la mette dans le cul ». Maman et Nounou sont toutes les deux assise sur le lit, elles se masturbent mutuellement. Je ne peux plus voir monsieur, il est derrière moi. J'entends un bruit de scratch puis je sens de la fraicheur sur mon anus.

- Elle est très pratique cette couche ouvrante, l'ouverture donne directement sur son trou, et si elle veut pisser elle peut le faire sans que ça tache tout.

- Oui, par contre, je te demande de mettre une capote, on ne sait jamais, salope comme elle est, elle a peut être des maladies.

- Oui, tu a raison, on n'est jamais trop prudent.

Après un court instant (j'imagine pour enfiler le préservatif) je sens sa bite qui touche mon anus. D'un seul coup, il rentre, la douleur est terrible, si je n'était pas tenu sur ce chevalet je me serais effondré. Il commence des vas et vient de plus en plus rapide, je sens mon urine qui coule dans ma couche. Petit à petit, il va de plus en plus profond dans mes intestins, je crie de douleur quand il rentre au plus profond de moi. Il recule un peu, se montre plus doux, va plus lentement. Mon sexe commence à se redresser. Il recommence à aller plus fort, mais la douleur est passée, de nouveau il rentre au plus profond possible, je n'ai plus mal, je suis excité.

Alors Madame vient s'assoir sur le chevalet, juste en face de moi. « Lèche moi la chatte ma petite pisseuse », ce que je fais immédiatement. Au bout de deux minutes Madame commence à me pisser dans la bouche alors que Monsieur continue à me baiser violemment. Je suis de plus en plus exité. Je pousse un râle de plaisir en jouissant dans ma couche quand monsieur pousse sa bite au plus profond de mon cul et jouis. Maman et Nounou viennent alors me détacher du chevalet pendant que monsieur enlève sa capote pleine.

- Va montrer à Monsieur comment tu sais bien sucer ma chérie.

- Oui, j'ai besoin d'être remis en forme !

Je vais alors m'agenouiller devant lui pour le sucer, je sens sa bite grossir de plus en plus dans ma bouche. « Je suis en de nouveau en forme, viens avec moi » Monsieur m'entraine alors vers le matelas et s'allonge sur le dos « Aller, viens t'assoir sur ma bite ma chérie ». Je commence donc à faire des va et vient sur sa bite, de plus en plus rapidement. Je ne ressent aucune douleur et commence à prendre du plaisir rapidement. « laisse toi aller, pénètre toi profondément salope ». Je me laisse aller sans me retenir et me retrouve assis sur son sexe. « Bouge plus », il donne de petits coups de rein qui finissent par me refaire jouir dans ma couche. « Met toi a genoux, j'ai envie de jouir dans ta bouche ». Je m'exécute, il se lève, retire son préservatif et me présente son sexe que je suce avec avidité. Il pousse de plus en plus profond tout en me tenant la tête. Je sens son corps se raidir, il pousse un râle en se vidant au fond de ma bouche. Dégouté, je recrache tout sur le sol.

- Et bien, notre pisseuse semble vous plaire.

- Oui, c'est une bonne salope, elle aime se faire prendre par la chatte, par contre sa couche doit être sale.

- Je m'en doute, je vais la changée avec une couche propre, après on pourra s'amuser entre nous.

- Oui, je suis toute excitée, j'ai besoin d'une bonne bite...

Aussitôt dit, aussitôt fait, Nounou m'allonge sur le matelas pour enlever ma couche en tissu. Je remarque alors qu'une partie a été détachée sur l'arrière, c'est par ici que monsieur me sodomisait. « Mais notre pisseuse a bien remplie sa couche, il n'y a pas que du pipi, elle a bien joui aussi » Nounou me nettoie avec des lingettes, me remet une tena maxi nuit puis mes vêtements d'écolière. Elle m'attache les poignets dans le dos puis me fixe un collier en cuir. Je suis trainé vers un anneau au mur ou je suis attaché debout, un bandeau est mis devant mes yeux.

Après deux minutes environ j'entends de petits cris, Nounou puis Maman qui gémissent de plaisir. Les sons de cette partie de jambes en l'air m'excitent, je jouis rapidement dans ma couche.

Après de longs moments pendant lesquels je les entends jouir les uns après les autres, je sens des mains qui tâtent ma couche puis entends Monsieur « Tu es une belle salope, je dois partir pour ce soir, j'espère que je te reverrais. » j'entends alors la porte s'ouvrir, Nounou et Maman disent au revoir. Je sens des mains qui enlèvent mon bandeau, puis Nounou me retire les menottes et le collier avant de me changer rapidement. Je vais alors me coucher dans ma chambre simplement vêtu de ma couche et d'un body en dentelle rose.

Le matin, je suis réveillé par Nounou vers dix heure, la couche est trempée, une fois de plus. Nounou me la retire puis nos nous dirigeons vers la salle de bain, elle se déshabille « pour ne pas mouiller ses vêtements » et commence à me laver. « Comme tu a été bien sage hier soir, tu va avoir droit à une récompense » Elle se baisse puis se met à me sucer dans la douche, mon sexe se redresse vite. « Ne jouis pas trop vite, je la veux en moi », nous sortons de la douche pour nous sécher puis elle m'entraine vers le lit. Elle s'allonge sur le dos en me tendant une capote « Prends moi ». Je m'exécute immédiatement. Après vingt minutes de baise torride, je finis par jouir dans sa bouche. « Je vois que tu sais encore te servir de ce que tu a entre les jambes ma petite salope, mais ce sera la seule foi ici » sur ces mots, elle part me chercher une couche et une parfaite parure de petite fille en satin. « Tu viendra manger dans trente minutes »

J'ouvre les volets, il fait un temps à ne pas mettre un chien dehors, je vais encore passer la journée au gite. Après le repas Maman vérifie ma couche et, constatant son humidité, me change de suite. L'après midi se passe devant la TV, je suis a nouveau changé vers 17 heure. Je vais me coucher vers dix heures, bien entendus avec ma couche.

Le réveil est, une foi de plus, humide. Je n'arrive plus à retenir mon urine, de jour comme de nuit, comment je vais faire pour retourner travailler... Nounou entre dans la chambre, elle est venue me préparer pour la journée. Elle m'enfile une couche fine puis un body rose avant de me tendre un T shirt et un pantalon de jogging « je suppose que tu va profiter du beau temps pour aller acheter tes souvenirs, ton séjour chez nous se finit demain. Il y a un très bon magasin typique de nos régions dans un village a coté ». Elle m'explique comment y aller puis me tend un sac contenant deux couches fines « si tu doit te changer ». J'arrive rapidement au magasin en question et rentre de suite. Je suis accueilli par Madame :

- Chéri, viens voir, notre salope est là - Oh, bonjour ma petite pisseuse, tu viens pour te faire baiser ?

- Non, je viens acheter du vin, je pars demain.

- Parce que tu crois que tu va y échapper ? Viens donc dans l'appartement situé à l'arrière de la boutique.

Je le suis, une foi dans la chambre il me retire mon T shirt « Mais je vois que tu aime la dentelle. Tu a raison, ça conviens parfaitement à la salope que tu es ». Il baisse mon pantalon « Alors comme ça tu a aussi mouillé ta couche, tu es réellement une pisseuse ». Il ouvre sa braguette et sort son sexe « Tiens, suce, je sais que tu aime ça » Je le suce et je sens mon sexe grossir dans ma couche en même temps que le siens dans ma bouche. Il retire ses vêtements pendant que je finis de me déshabiller. « Je vois que tu aime ça, ta bite a bien grossie, tends moi tes fesses que je te prenne ». Je me recourbe, la poitrine posée sur le lit, les fesses tendues vers Monsieur.

Je sens son sexe toucher mon anus « rassure toi, j'ai mis un préservatif et j'ai un peu lubrifié », Il pousse alors fortement et me pénètre. La douleur est intense, je ne suis pas préparé comme je l'étais l'autre soir. Je le supplie de se retirer, mais il refuse « tu va t'habituer ». En effet après quelques allés venues la douleur diminue puis est petit à petit remplacée par une sensation agréable. Il se retire puis s'allonge sur le lit « Vient donc sur moi ». Je me retrouve encore une foi accroupi à me sodomiser sur cette bite. Je sens le plaisir monter et je jouis assez rapidement. « Puisque tu a jouis, à mon tour. Suce moi ». Je me retourne, retire son préservatif et commence à le sucer. Il jouis rapidement dans ma bouche, je recrache tout. Madame rentre dans la pièce « Il est midi, j'ai fermé le magasin, notre petite pisseuse va bien resté mangé avec nous ».

Je me met ma couche et mon body, je commence à enfiler mon pantalon quand Madame m'arrête « non, tu reste en couche et body pour le repas ». Le repas est bon, pas trop arrosé car je devais reprendre la route pour rentrer chez Maman. Vers deux heures Monsieur s'en va pour ouvrir le magasin « Elle est a toi chérie, profites en bien ».

Madame me regarde alors avec envie, elle m'entraine dans la chambre et me retire le body « mais tu as déjà mouillée ta couche, décidément heureusement que ta Nounou t'as donné des couches de rechange » Elle me demande d'aller me laver puis de la rejoindre dans la chambre. Quand je reviens, elle est allongée sur le lit, le sexe bien en évidence « viens le lécher salope » ce que je fais de suite. Elle jouis puis me demande de la prendre. Je la refait jouir en la baisant puis elle commence à me sucer. Je finis par jouir dans sa bouche, elle avale tout.

Avant de partir elle me remet ma couche et mon body, j'enfile mes vêtements et récupère le panier qu'elle a laissé là « pour me remercier », j'ai tout ce que je voulais acheter.

De retour au gite vers 16 heure, Nounou vérifie la couche, qui est bien sur trempée puis me change. Je regarde la TV avant le diner, juste après Nounou vient et me change pour ma dernière nuit

Je me réveille le lendemain, trempé comme depuis deux semaines, Nounou et Maman sont là, Maman commence à m'expliquer mon séjour :

- Comme tu l'a surement remarqué, depuis que tu es arrivé chez moi tu n'a pas pu retenir ton urine.

- Oui, en effet.

- En fait, le premier soir je t'ai fait boire une tisane spéciale qui est extrêmement diurétique, l'alcool était aussi à base de cette plante.

- Vous m'avez drogué pour que je pisse au lit !!!

- Non, juste pour que tu pisse plus, une personne normale se serait levée dans la nuit pour aller aux toilettes, seulement un faible pourcentage urine en dormant.

- Et coup de chance pour nous, tu en fait partie.

- Oui, en effet, j'ai donc continué à inclure cette plante dans tes aliments à tous les repas.

- Donc, ce n'est qu'à cause de cette plante que je pisse dans mes couches ?

- Non, en général, c'est seulement des accidents nocturnes, on a été étonnées, mais heureuses, de constater tes fuites le jour.

- Oui, tu es un cas encore plus exceptionnel. On a donc décidées de te transformer en bébé fille.

- A notre grande surprise, tu n'a pas opposé beaucoup de résistance, généralement les hommes refusent toute transformation en fille.

- Oui, encore une foi, tu es un cas exceptionnel, on a donc décidées de te faire prendre, et tu a encore aimer ça, c'est très rare.

- Nous avons réveillé la salope qui dormait en toi, et on en a été largement récompensées.

- Maintenant, répond franchement à cette question : Est ce que tu a aimé être traité en salope pisseuse, porter des vêtements de fille, être maintenu en couche et être pris par le cul?

Après une bonne minute de réflexion,je répond :

- Oui.

- C'est bien ce qu'on pensait, donc il faut que tu sache que tu pourra revenir ici quand tu le voudra, par contre ici tu sera toujours considéré comme une salope pisseuse, tu a bien compris ?

- Oui.

- C'est bien, tu aime donc bien ça. Maintenant, je dois aussi te mettre en garde, les effets de la plante, bien que nous ayons arrêter de t'en donner depuis hier, peuvent encore durer quelques jours, en particulier la nuit.

- Mais, pour mon travail ? Je reprend dans trois jours !

- Normalement, demain tu devrait rester sec la journée, mais porte des couches la nuit si tu ne veux pas te réveillé trempé.

- D'accord.

- On te laissera les couches qui reste des paquets que tu a acheté, tu devrais en avoir assez pour aller jusqu'à lundi, mais arrange toi pour en acheter d'autres, particulièrement pour la nuit.

- Bien - Pareil, pour partir je ne peux que te conseiller de porter une couche de jour et de vérifier sur une aire d'autoroute de temps à autre si tu ne veux pas risquer de fuites.

- Nous avons aussi un autre cadeau pour toi (elle me tend un beau paquet rose).

J'ouvre le papier pour découvrir à l'intérieur mes affaires de petite fille : robe, bas, jupons, Body en dentelle, Culottes...

- On a vu que tu aimais ça, on ne veux pas t'en priver !

- Merci, je pense que je les remettrais chez moi le soir, c'est vrai que j'aime bien.

- Autre chose, je veux que tu sois bien rassuré, les photos et vidéos ne seront pas diffusées, tu en a une copie dans le carton et la seule autre sera sur mon disque dur.

- Merci bien.

- Prépare toi, tu va devoir partir bientôt si tu ne veux pas arriver trop tard chez toi.

- Oui, merci encore pour cette expérience inoubliable.

Je me dirige alors vers la salle de bain pour me laver avant de mettre une couche fine en dessous de mon pantalon. La couche reste discrète et sans un examen approfondi on ne peut rien détecté.

Je pars un peu après, non sans avoir embrassé mes deux mamans.

Sur le trajet du retour je m'arrête au magasin dans lequel j'avais acheté mes premières couches pour reprendre deux paquets de Tena Maxi. La vendeuse m'a demandé si j'avais besoin d'être changer, j'ai décliné l'offre, sans mentir cette foi ci.

Sur la route du retour j'ai du me changer deux fois dans des aires d'autoroute. Le lendemain, je ne mouillais plus mes couches la journée, j'ai pu reprendre le travail sans aucun souci. Par contre, la nuit, j'ai encore mouillé mes couches pendant deux semaines.

Depuis ces vacances spéciales je porte régulièrement des couches la nuit, voir toutes les nuits. Au moins une foi par semaine je remet mes vêtements de fille, j'aime tellement le contact de ces tissus si doux. Ca fait huit mois que mes vacances se sont finies, c'est les ponts du mois de mai, j'ai posé des jours pour aller passer deux semaines dans le sud ouest.

Je vérifie bien, ma couche est bien sèche, le body en dentelle rose ne se voit pas sous mon T-shirt, les couches de rechange sont accessibles dans la voiture, je suis près à partir pour le gite de Maman Christine, Ma valise ne contenant aucune affaire « d'homme ».