Charlène O


Vues: 623 Created: 2009.09.14 Mis à jour: 2009.09.14

La Directrice de L'Institut Ospif

Episode 16: "Annie comment?"

"Elle a l'air d'un ange" murmura Laetitia, attendrie.

Valérie avait entraîné la nouvelle assistante dans la 'salle de bains' de madame la Directrice, parce que c'était l'heure du 'change', et que la nouvelle devait apprendre comment faire.

Amanda, l'élève en sieste-punition qui dormait les poings fermés, ressemblait effectivement à un ange, ses longs cheveux blonds encadrant un visage fin.

"Qu'est-ce qu'elle a fait?"

"Je crois qu'elle s'était endormie en classe, alors la Directrice l'a obligée à faire la sieste, tous les jours pendant une semaine..."

"Elle ne va pas se réveiller?" Valérie n'en menait pas large: imaginez que la jeune fille se réveille pendant qu'on lui change sa couche!

"Ne t'en fais pas, elle a eu un léger sédatif, il paraît qu'elle était assez agitée..."

Les mains d'Amanda étaient attachées avec des lanières en toile, l'empêchant d'aller plus bas que sa poitrine. De cette façon elle ne risquait pas de se débarrasser de sa couche.

"Regarde!" Valérie rabaissa les couvertures. Amanda portait un t-shirt et une grosse couche-culotte qu'on distinguait à travers la culotte en plastique translucide.

Laetitia en resta la bouche bée. Elle n'avait jamais vu une adolescente qui portait une couche-culotte.

"Eh bien, dis donc, quel gros paquet!"

Bien que Amanda dorme profondément, les femmes se parlaient en chuchotant.

"Cela fait partie du traitement de Madame la Directrice. Hier Amanda a même eu un laxatif.. Tu t'imagines que ce n'était pas la joie, quand il a fallu la changer!"

La jeune fille était mignonne et il y avait une discordance entre la couche-culotte et les seins fermes qui pointaient sous le coton du t-shirt.

Les jambes qui sortaient de la couche-culotte étaient fermes et bien galbées.

"Bon, maintenant regarde comment je fais. La prochaine fois ce sera ton tour."

Valérie ouvrit les boutons-pressions de la culotte en plastique et rabattit le pan vers l'avant. La couche semblait trempée, gonflée entre les cuisses. Sur le bas du ventre elle formait une grosse bosse obscène.

L'assistante défit les bandes autocollantes qui tenaient la couche en place.

"Oh!" Laetitia n'avait pas pu empêcher ce cri en voyant le sexe entièrement épilé de la jeune fille. "Elle est rasée!"

"C'est à dire qu'elle a été épilée à la crème, au début de son traitement.

C'est bien plus hygiénique, plus facile à laver, aussi..."

La couche dépliée était jaunie par l'urine.

"Tu vois, la cellulose absorbe le pipi et la surface reste plus ou moins sèche. Quand je repense aux couches en coton que nous devions employer dans le temps! Les filles avaient recta le minou et les fesses rouges, malgré des kilos de crème. Maintenant l'érythème, connais pas!"

"Regarde, je vais te montrer un truc. Pour qu'elle ne mouille pas sa couche dès que tu as fini de la lui mettre - c'est tellement agréable une couche sèche, qu'elles s'empressent de la mouiller aussitôt! - il faut qu'elle fasse pipi maintenant..."

Valérie posa sa main gauche sur le mont de Vénus et tira légèrement sur le sexe, écartant les lèvres. Puis du bout de l'index de la main droite, elle titilla la petite ouverture de l'urètre. Quelques secondes plus tard, la jeune fille poussa un soupir dans son sommeille, et se mit à uriner, inondant la main de Valérie. Le liquide coula sur la couche et fut bientôt absorbé.

"Tu as vu? Maintenant elle a la vessie vide, et on peut changer sa couche!"

Laetitia était perplexe. Jamais elle n'aurait pensé que son travail d'assistante pédagogique à l'Institut Ospif exigerait qu'elle farfouille entre les jambes des élèves pour leur faire faire pipi ! Au fond cela ne lui déplaisait pas. Elle avait toujours été très curieuse de nature et tout ce qui avait trait au corps humain l'intéressait.

Valérie regarda sa collègue de biais.

"Tu m'es sympathique, je vais encore te montrer quelques chose. Mais ne le dis à personne, sinon on se ferait virer!"

Elle se pencha sur le ventre de la jeune fille et frotta son nez contre les lèvres. Amanda gémit dans son sommeil. Laetitia n'en crut pas ses yeux!

D'un air espiègle, Valérie regarda Laetitia, puis replongea. Cette fois-ci elle darda une langue pointue et lécha la vulve de tout son long. Amanda semblait apprécier l'hommage, car instinctivement elle ouvrit les cuisses et cambra son bassin, allant à l'encontre de la langue de Valérie. Toujours sans se réveiller...

"N'est-ce pas fantastique? Quand elle se réveillera, elle ne se rappellera plus de rien, sauf d'avoir fait un rêve merveilleux..."

Laetitia en avait la tête qui tournait et quand Valérie se redressa pour lui laisser la place, elle se pencha docilement vers le renflement de chair glabre.

"Tu verras, c'est très troublant..."

Le sexe réveillé par les caresses de Valérie avait une senteur de femme adulte, malgré le jeune âge d'Amanda. Laetitia ferma les yeux et pointa sa langue. Prudemment elle avança, puis sentit la chair chaude palpiter sous sa langue.

Valérie sourit en voyant la scène. Elle se rappela sa 'première fois', quand madame la Directrice elle-même lui avait appris ces caresses.

Doucement elle glissa une main sous la jupe de sa collègue, trouva l'intérieur de la cuisse, et remonta. Comme elle l'avait pensé, Laetitia était moite, son petit jeu ne l'avait pas laissée indifférente. Doucement elle lui massa le sexe à travers la culotte. Laetitia respira bruyamment, la bouche collée au sexe d'Amanda. D'elle-même elle ouvrit un peu les genoux, pour permettre à Valérie de mieux accéder à ses trésors.

Amanda décida d'encore pousser d'un cran:

"Retourne-la sur le dos... Comme ça... Bien. Maintenant écarte-lui les fesses... Tu vois son petit trou? Mignon, non?"

Laetitia ne pensait plus, en proie à une sorte de délire sexuel. Le visage encore humide de la vulve de la jeune fille, le sexe en feu sous les doigts habiles de sa collègue, elle était comme ivre.

"Fais-lui un anilingus..."

"Un, un... Annie comment?"

"Anilingus. Lèche-la entre ses fesses, tu verras, c'est divin!"

Laetitia hésita à peine puis se pencha sur la jeune fille et lui ouvrit le fessier. L'anus n'était pas plus qu'une fente, mais quand elle écarta la chair autour de l'orifice secret, l'anneau apparut comme un œil de cyclope ridé.

Laetitia se rendit à peine compte que Valérie était en train de lui remonter la jupe, et ensuite qu'elle lui baissait sa petite culotte. Elle grogna de plaisir sous cette attention de sa collègue et se mit à lécher timidement le

muscle circulaire de l'adolescente.

A ce moment-là, Valérie enfouit son visage entre les fesses de sa collègue et entreprit de lui faire ce qu'elle était en train de faire à la jeune fille...

Laetitia cru qu'elle allait jouir à l'instant, tant la sensation était forte.

Personne n'avait jamais touché à cet endroit, à fortiori pas avec la bouche!

Pour retarder son orgasme elle se concentra sur le fessier d'Amanda et lécha de plus belle, en synchronisation avec les mouvements de Valérie entre ses cuisses.

Frénétiquement elle lécha, suça et pénétra l'ouverture anale, la frotta avec son nez. Elle darda la langue aussi loin qu'elle le put, puis allait et venait dans le sphincter. Amanda, toujours profondément endormie, gémit de bien-être et souleva son derrière.

Laetitia se sentit s'envoler. Pour ne pas crier, elle enfouit son visage profondément entre les fesses de la jeune fille, grognant son plaisir.

Valérie s'en rendit compte et accéléra son rythme. Quand elle pinça doucement le clitoris entre les lèvres trempées, elle sut que Laetitia n'allait pas pouvoir résister.

Le corps de Laetitia fut secoué d'une une série de spasmes, pour enfin se contracter comme un ressort qu'on remonte. Valérie n'avait pas lâche prise et ne s'arrêta qu'au moment où Laetitia émit des petits jappements de chiot blessé: elle était à bout.

Il fallut à Laetitia plus d'un quart d'heure pour reprendre ses esprits. Ce fut Valérie qui changea Amanda et qui remit les couvertures en place.

L'adolescente ne s'était pas réveillée.