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Vues: 1384 Created: 2020.05.10 Mis à jour: 2020.05.10

Chez ma dentiste

Chez ma dentiste

Ce souvenir remonte à plusieurs années. J'étais chez le dentiste pour y subir une intervention assez lourde. Mes parents m'accompagnèrent jusque dans la salle où se déroulait l'intervention. A mon arrivée, je fus prise en charge tout de suite par la dentiste, qui commença par me demander si j'étais stressée, et si je désirais un tranquillisant à boire avant que l'opération ne débute. Je n'étais pas forcément détendue, mais comme je ne me sentais pas trop stressée non plus, j'ai refusé poliment sa proposition.

Elle m'a alors invitée à m'installer sur le "banc" avant de le basculer en arrière jusqu'à être en position horizontale. Puis elle a fait coulisser une tablette contenant son matériel au-dessus de moi.

-Maintenant, ouvre bien grand la bouche, m'a-t-elle demandé tandis que son assistant, un jeune homme, terminait de préparer tout le matériel pour l'opération.

La séance a ensuite commencée dans le calme. La dentiste était en train d'examiner mes dents une à une tandis que son assistant veillait à ce que je garde la bouche bien ouverte et lui fournissait les outils nécessaires. La dentiste a ensuite commencé à "opérer" une première dent à l'aide d'un outil, ce qui m'a particulièrement stressé car c'était la première fois et ça faisait beaucoup de bruit.

Instinctivement, je bougeai la tête comme pour me dégager, mais l'assistant m'aida à rester immobile en maintenant mon visage en place. L'opération a continuée et la dentiste m'a demandé à plusieurs reprises de me calmer tout en marquant à chaque fois une pause. J'essayai de me calmer, mais le stress reprenait à chaque fois très vite le dessus, et je recommençais malgré moi à vouloir bouger la tête.

A un moment, la dentiste s'est arrêtée et j'ai sentis qu'elle ne pouvait plus continuer ainsi, elle a alors pris une décision qui s'imposait : me donner un tranquillisant quand même, pour me calmer. Elle m'a donc annoncé son intention.

Ma première réaction a été positive. J'ai calmement accepté sa proposition en hochant la tête car je ne pouvais pas parler. Finalement, la proposition de me donner un tranquillisant en début de séance était un bon conseil de sa part. Mieux vaut tard que jamais.

Sauf que tout ne se passa pas comme je l'avais prévu. Maintenant que l'opération avait déjà commencé, et que j'avais des "outils" placés au niveau d'une de mes dents, il m'était impossible de me relever et de prendre un médicament à boire.

Après qu'elle m'expliqua cela, j'ai alors compris ce qui se préparait vraiment quand elle s'adressa à son assistant.

-Vas me chercher un sédatif en suppositoire dans la réserve, s'il-te-plaît.

En entendant ces mots, mon cœur fit un bond dans ma poitrine et je devins en même temps toute rouge.

"Un suppositoire ???" Je ne pensais plus être en âge d'un recevoir. En plus, je n'avais jamais aimé cela. Et mes parents qui étaient là, juste à côté... Allaient-ils assister à la scène ? J'étais déjà morte de honte avant même qu'il se soit passé quelque chose.

Tandis que je parcourais ces pensées à toute vitesse dans ma tête, l'assistant ne perdit pas de temps et quitta son poste pour aller dans la réserve située derrière une porte. La dentiste, voyant ma réaction soudaine, tenta de me rassurer en m'expliquant ce qui allait se passer.

-Tu ne dois pas bouger la tête et surtout tu dois garder la bouche ouverte, fit-elle. C'est pour ça qu'on va te mettre ce médicament en suppositoire. Mais ne t'inquiète pas, ça arrive et mon assistant sait très bien s'en occuper. Essaye juste de rester détendue et laisse-le faire.

Elle a ensuite attendu, ne voulant pas reprendre l'opération avant que ce soit fait. La pièce fut alors plongée dans le silence. Sur le côté, mes parents me regardaient mais n'avaient pas réagis plus que ça. Moi, j'étais mal à l'aise et morte de honte.

Justement, l'homme revint dans la pièce. J'espérai, inutilement, qu'il annonce qu'il n'y avait plus de suppositoire ou quelque chose du genre.

-Voilà, j'en ai ramené un taille adulte, fit-il.

Il devait probablement tenir le médicament dans sa main, mais je ne pouvais rien voir depuis ma position, à part qu'il se dirigeait vers moi.

Cette fois, il ne revint pas au niveau de ma tête, mais en face de moi, au niveau de mes jambes.

-Tu peux t'en occuper ? Lui demanda la dentiste.

-Oui, pas de problème, répondit-il.

La suite fut très humiliante pour moi, et je regrettai de ne pas avoir choisi de prendre le tranquillisant à boire dès le début de la séance, quand j'en avais la possibilité.

L'assistant s'occupa de tout et commença par défaire lui-même ma ceinture et déboutonner mon jeans pour me déshabiller. Il releva alors un peu mes jambes, et tira en même temps mon pantalon et ma culotte. En quelques secondes, il me mit les fesses à l'air ! Je serrai alors instinctivement les fesses.

Mais l'opération ne s'arrêtait pas là. Une fois déculottée, l'assistant me releva les jambes tout en les écartant un peu, et se pencha pour mieux voir ... mon trou du cul ! Je rougis de plus belle. D'ailleurs, il ne devait pas non plus manquer grand chose du reste de mon entre-jambes !

Il repéra mon anus, et je ressentis une gêne alors qu'il mettait le suppositoire dessus. Avec les instruments dans ma bouche, je ne pouvais pas parler, mais instinctivement, je continuais de serrer les fesses. L'assistant commença à pousser son doigt, ce qui me procura une sensation très désagréable.

Prise d'une sorte de panique, je voulus soudain stopper l'opération du suppositoire, et serrai mes fesses de toutes mes forces.

"Hors de question qu'il me mette ça dans le cul !" Pensai-je.

C'était idiot, mais je me mis à résister. Je sentis alors qu'il insistait en poussant son doigt plus fort pour forcer le passage.

Je savais que si je relâchai la pression, son doigt rentrerait aussitôt dans mes fesses, ce que je voulais éviter.

-Et bien ? Fit la dentiste à son assistant en voyant que ça traînait. qu'est-ce que vous attendez ?

-Elle est très crispée, répondit-il en gardant son regard concentré vers mon entrejambes. Essayez de vous détendre juste un moment, rajouta-t-il à mon attention.

Ne voulant pas écouter, j'ai simplement continué de serrer les fesses en espérant qu'il allait peut-être abandonner et que le cauchemar allait s'arrêter. Mais à la place, j'ai découvert ce que ça faisait de recevoir un suppositoire de force !

Voyant que j'étais trop crispée et que la dentiste allait s'impatienter, il a simplement choisi de faire ça par la force, et a poussé son doigt progressivement de plus en plus fort, jusqu'à ce que ça ne résiste plus.

Tout s'est passé très vite à ce moment-là : j'ai sentis l'extrémité de son doigt rentrer légèrement, et j'ai eu le réflexe de pousser pour le faire sortir. A ce moment-là, mon anus s'est décontracté et le reste de son doigt est rentré, poussant le suppositoire le plus loin possible. Son doigt s'est retiré dans la foulée. Je m'étais retenue de pousser un cri, mais le geste avait été assez douloureux, et je sentais à présent comme une brûlure au niveau de l'anus. Mais plus que la sensation physique, je ressentais surtout de l'humiliation d'avoir dû subir ça.

-Voilà, c'est fait, il est mis, conclut l'assistant.

Il s'est relevé pour aller se laver les mains au robinet juste à côté, et c'est la dentiste qui s'est occupée de remettre ma culotte et mon pantalon en place. Moi, je ne disais plus rien, et évitais de croiser les différents regards dans la pièce. Heureusement, mon anxiété ne dura pas, et je ressentis les effets du sédatif quelques minutes plus tard, alors que la dentiste reprenait le travail, et que l'assistant était revenu au niveau de ma tête.

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Maec Il ya 4 ans