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Vues: 535 Created: 2020.08.10 Mis à jour: 2020.08.10

Les études de Marie-Jeanne

Retour de Bretagne

Madame Granlean avait bien analysé la situation : Patrick pouvait difficilement aller se plaindre auprès de ses parents. Le lendemain, il prétexta une indisposition stomacale pour ne pas aller se baigner (et risquer de montrer son postérieur encore marqué) et pour ne pas dîner avec eux au restaurant. Pendant ce temps, madame Granlean et sa protégée irent se baigner le matin, et firent une petite promenade l’après midi avant de préparer leurs bagages.

Quelques minutes après que les parents de Patrick furent partis à leur dîner, celui-ci, tout rougissant, se présenta à l’autre gîte.

« Hé bien Patrick, que t’amène-t-il ici ? »

Patrick était désarçonné par cette entrée en matière.

« Heu c’est vous madame qui m’aviez invité à repasser ici ce soir.

— Ah, vous venez à nouveau vous excuser pour votre voyeurisme ?

— Heu oui, madame ?

— Et vous allez à nouveau montrer vos fesses rougies à Marie-Jeanne ? »

Si les fesses de Patrick étaient certainement encore rosies par la fessée exemplaire reçue la veille, sa face l’était également.

« Si vous voulez, madame.

— Hé bien entrez et déshabillez-vous. »

Patrick se retrouva encore une fois tout nu, les vêtements pliés sur une chaise.

« Très bien. Je constate avec plaisir qu’on voit encore que vous avez reçu une bonne fessée. Tiens, vous sentez le savon…

— Madame j’ai pris une douche juste avant de venir !

— À la bonne heure ! »

Patrick avait dû se précipiter sous la douche à peine ses parents dans la voiture !

« Marie-Jeanne, je vous suggère de reprendre l’examen d’hier, bourses et pénis, étape par étape afin de bien mémoriser les choses. »

Marie-Jeanne palpa à nouveau les testicules du jeune homme, puis examina de près sa verge, la décalotta, observa de près le gland sous toutes les coutures, le toucha… ce qui ne manqua pas de faire durcir l’instrument !

« Patrick, êtes vous allé à la selle avant de vous doucher ?

— Non madame.

— Alors allez-y maintenant. Petite et grosse commission. »

Patrick, surpris, obéit. Pendant ce temps, madame Granlean donna un petit objet à Marie-Jeanne.

« Passez-le sur votre index. Je les avais pris dans la trousse à pharmacie au cas où, mais je ne pensais pas qu’ils serviraient. Voici la Vaseline. Vous allez pratiquer un toucher rectal sur Patrick et vous palperez sa prostate.

— Vous pensez qu’il se laissera faire ?

— Il est revenu ici, c’est pour quelque chose, non ? Du reste, de l’autre main, vous pouvez le toucher, si vous le souhaitez. »

Patrick ressortit. Madame Granlean passa devant lui, décocha une claque sur chaque fesse (« petit pervers ! ») et ramena une serviette, qu’elle étala sur le lit d’appoint.

« Bien. Mettez-vous à quatre pattes, la verge au-dessus de la serviette. »

Ah, il avait l’air fin, Patrick, exhibant ses fesses encore rosies, tandis que Marie-Jeanne, hors de son champ de vision, s’enduisait l’index de Vaseline. Il fut très surpris quand Marie-Jeanne lui écarta les fesses et posa le dit index sur son anus, en lui intimant

« Patrick, poussez. Comme quand vous allez à la selle. »

Il obéit, et le doigt le pénétra. Marie-Jeanne l’explora. À force de palpations, elle sentit comme un renflement. Elle appuya franchement dessus.

« Qu’est-ce que cela vous fait, Patrick, quand j’appuie ici ?

— J’ai envie… comme envie de faire pipi.

— Continuez, Marie-Jeanne », suggéra madame Granlean.

Marie-Jeanne pratiqua un simulacre de coït avec son index, en appuyant à chaque fois sur la prostate du jeune homme. Elle regrettait de ne pas avoir d’olisbos à sa disposition pour plus d’effet, pour mieux punir ce vilain garçon qui l’avait vue nue et s’était ensuite masturbé. En parlant de masturbation… cela lui ferait certainement les pieds d’avoir du plaisir dans une posture aussi humiliante ! Elle commença de le masturber de l’autre main.

La posture était toutefois peu pratique, et Marie-Jeanne prit l’initiative d’ordonner à Patrick de se mettre sur le dos, jambes écartées et pieds à plat sur le lit. Elle remarqua que du gland de Patrick perlaient des gouttes. Elle remit de la Vaseline sur son doigt et le montra à Patrick.

« Où va aller ce doigt, Patrick ?

— Dans mon… dans mon derrière. »

Elle le lui remit, en passant sa main par en dessous. Dans cette position, il était inconfortable de produire des va-et-vient, mais elle pouvait facilement faire un signe « viens ici » de son doigt et appuyer ainsi sur la prostate du jeune homme. De l’autre main, elle le masturbait.

Elle eut une idée un peu folle. « Madame, j’aimerais essayer la fellation.

— Très bien, Marie-Jeanne. Patrick, je vous demande de prévenir Marie-Jeanne si vous sentez que vous aller éjaculer. Il vous en cuira sinon. »

Marie-Jeanne lécha la verge, goûta les gouttes de lubrifiant naturel, puis suça le gland. C’était surprenant, une texture agréable, et en dessous, à la fois ferme et malléable. Patrick la sortit de ses constatations :

« Je crois que je vais… »

Marie-Jeanne retira la verge de sa bouche et frotta rapidement le gland de ses doigts en s’aidant du prépuce. Le sperme surgit.

« Très bien, Patrick. Vous avez fait ce que tout homme galant doit faire : prévenir avant d’envoyer sa semence. Souvent même il vous faudra vous contrôler. Je n’ai pas le temps ce soir de faire votre éducation là-dessus, cependant. Venez, je vais vous laver. »

Après que madame Granlean lui eut lavé le sexe et l’anus, Patrick se rhabilla.

« J’espère, Patrick, que vous aurez retenu la leçon. Vous pouvez disposer. »

Le jeune homme, très troublé, regagna ses pénates.

« Bien. Cela lui fera des souvenirs. Peut-être, une fois marié, implorera-t-il sa femme de lui enfoncer un doigt par là. Peut-être que cela lui inspirera du respect pour les femmes, ces éternelles pénétrées et examinées. »

Le lendemain fut le jour du départ. Madame Granlean salua l’autre famille. Patrick était curieusement taciturne et rougissant.

Les deux femmes parties, la mère de Patrick se tourna vers lui.

« Hé bien ! Tu as l’air tout bête ! Tu avais le béguin pour Marie-Jeanne, c’est cela ?

— Hé bien maman en quelque sorte. »

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Pecan nutjob Il ya 4 ans  
Aranam Il ya 4 ans  
Pecan nutjob Il ya 4 ans  
Aranam Il ya 4 ans