Abby et moi sommes de passage au Québec pour un séjour professionnel d’un mois et demi. Nos enfants sont chez leurs grands-parents et nous sommes donc assez libres de nos loisirs. Nous en profitons donc pour recevoir Thomas, un charmant garçon avec lequel nous avons fait connaissance via Zity et avec lequel nous avons échangé à propos de nos fantasmes respectifs.

Après les présentations, les politesses d’usage, et un café, nous abordons le vif du sujet. On sent d’ailleurs que je ne suis pas très à l’aise.

« Bien ! Il est temps de s’occuper de ce petit pervers. » annonce Abby. Elle va chercher quelques affaires qu’elle a préparées : une serviette, un sac avec quelques objets. Elle s’assied sur une chaise et pose la serviette sur ses genoux. Je la suis du regard, tout de même embarrassé ; Thomas, qui n’a pas été informé des détails de ce qu’elle a prévu, regarde également en se demandant ce qui va se passer.

« Viens vers moi Bruno. »

J’obéis.

« Déboutonne ton pantalon et enlève ta ceinture. »

Je m’exécute. Abby baisse mon slip. Thomas regarde mes organes génitaux avec amusement ; heureusement l’instant est bref car j’obéis à l’invitation d’Abby, qui tapote ses genoux, de me mettre en position en travers de ceux-ci.

« Thomas soyez gentil, voulez-vous ? Dans le sac il y a un thermomètre et un tube de lubrifiant, pouvez vous sortir le thermomètre de son étui, lubrifier l’extrémité, et me le passer ? »

Décidément elle ne m’épargne rien ! J’entends des petits bruits de plastique qu’on manipule. Abby me met alors quatre forte claques sur les fesses.

« Un petit acompte pour ce qui va suivre. Mais d’abord je vais vérifier si tu es en état pour la suite. »

Le thermomètre arrive, Abby m’écarte les fesses, m’intime de « pousser » et me l’enfonce dans l’anus.

« Voyez-vous Thomas » explique Abby « monsieur Bruno a été fortement marqué quand sa maman un jour, pour le punir d’avoir triché sur une mesure de température, lui a mis elle-même le thermomètre alors qu’il était déjà grand, et lui a donné une bonne fessée pour la tricherie et le risque de dommages au thermomètre…

— Ah ah !

— Comment trouvez-vous ses fesses ? Moi je trouve qu’il a un joli derrière.

— En effet !

— Et il sera mieux avec des couleurs ! »

La prise de température se poursuit. Abby bouge parfois légèrement le thermomètre dans mon anus. Je ne sens plus que celui-ci et les regards sur mon postérieur.

« Bien ! Trois minutes. »

Elle retire le thermomètre.

« 37,1°C normal. Thomas, voulez-vous bien le désinfecter avec l’alcool et le coton dans le sac avant de le ranger ? »

Tandis que Thomas, je suppose, lui rend ce service, Abby reprend la fessée, cette fois avec des claques moins fortes.

« Alors, Bruno ? Ça fait panpan cucul ? On va y aller plus sérieusement. »

Abby augmente la force des claques. Mon postérieur va être cuit à point !

« Voilà voilà. Bon maintenant le bouquet final. Thomas, passez-moi la brosse dans le sac. »

« Aïe ! » pensé-je. La brosse claque beaucoup. Abby me met six coups assez marqués, en répartissant bien sur la surface des deux fesses.

« Sa maman n’utilisait pas la brosse mais un peu de tradition nord-américaine ne fait pas de mal ! Bon, Bruno, tu peux te relever un peu. »

Thomas m’observe. J’ai une semi-érection, et on voit un fil de secrétions au bout de mon gland.

« Bruno, au coin. Nez contre le mur, ne te retourne pas, et ne te frotte pas les fesses. Thomas, venez. »

J’entends quelques bruits. On fait couler de l’eau. Ils reviennent.

« Bruno, finis d’enlever ton pantalon et ton slip et remets-toi sur mes genoux. »

Je vois Thomas tenant un sac à lavement peu rempli, et Abby lubrifiant la canule. Je sais ce qui va m’arriver. Je m’allonge à nouveau sur la serviette. Abby m’écarte les fesses, m’ordonne de « pousser », et la canule rentre. Clic ! L’eau chaude ruisselle.

Le lavement est peu important est je suis bientôt invité à aller à la selle. Abby et Thomas me suivent ; suis-je condamné à déféquer devant des spectateurs ? Il semble que oui.

« Ah, des petites crottes. Mets-toi à quatre pattes pour un second petit lavement. »

Sitôt dit, sitôt fait. Je reçois une autre dose. Cette fois-ci le retour est clair.

Abby me lave les fesses rapidement avec un gant de toilette.

« Bien. Passons maintenant aux choses sérieuses. »

Abby nous amène dans la chambre.

« Messieurs, déshabillez-vous complètement. »

Thomas et moi obéissons. Abby elle aussi se déshabille. Elle va chercher quelques affaires : des gants en latex, du lubrifiant, un condom.

Thomas est déjà plutôt dur. Abby lui fait signe de venir devant elle. Elle lui palpe les testicules « quitte à faire, vérifions que tout fonctionne bien », puis lui décalotte le gland avant de le masturber doucement en lui tenant la peau. Thomas, même s’il est plus habitué aux caresses masculines, répond bien et durcit. Sa verge est imposante et j’éprouve une belle appréhension, mais il est trop tard pour renoncer. Abby lui installe alors le condom.

« Bruno, allonge-toi sur le dos sur le lit, les fesses au bord… »

J’obéis, un peu surpris.

Abby vient se placer au-dessus de moi, son sexe devant ma bouche.

« Relève tes jambes sur ta poitrine. »

J’obéis. Elle se saisit de mes jambes et les maintient en position. Thomas doit avoir une vue imprenable sur mon sexe et mon anus.

« Bruno, tu sais quoi faire avec ta bouche et ta langue. Thomas, passez le gant et préparez-le. »

Abby s’abaisse sur mon visage. Je sens le doigt de Thomas me pénétrer. Il me masse l’anus avec du lubrifiant, pour me détendre. Bientôt il met un deuxième doigt.

« Hé, n’oublie pas de lécher ! »

Thomas continue de me masser l’anus, puis ses doigts se retirent. Je sens autre chose contre mon anus, je sens son corps contre mes fesses, encore sensibles de la fessée.

« Pousse, Bruno. » me dit-il. Je m’exécute, et je sens son gland me pénétrer. Il a une grande expérience de la chose et ne me brusque pas, il me pénètre progressivement, se retire, va plus loin… Mais tout de même sa verge est grosse ! Je sais bien qu’Abby me sodomise parfois avec un godemichet assez épais, mais quand même… J’essaye de m’abandonner, d’éviter toute contraction.

« Attends un peu là j’ai mal. »

Thomas est patient et ne force pas. Il finit par rentrer complètement, et amorce des mouvements d’aller et retour. Je me fais « enculer » pour la première fois par une vraie verge. C’est inconfortable, mais en même temps cela me procure des sensations par la prostate.

« Tu as le zizi qui goutte » m’informe Thomas, qui s’empare de ma verge.

« Ne le fais pas éjaculer » demande Abby.

Thomas continue de me sodomiser en me tripotant pas trop intensément.

J’entends Abby respirer fort. Son sexe devient d’un coup très humide. Elle se redresse pour le mettre hors d’atteinte de ma langue.

« Ah j’ai joui ! Thomas, vous pouvez vous aussi finir pour vous. »

Thomas va plus vite. J’éprouve de drôles de sensation. Je sens ses spasmes dans mon anus. Il se retire.

Abby me libère les jambes et s’installe sur le lit jambes écartées.

« Devoir conjugal. Viens jouir dans ton épouse. »

Je m’installe en missionnaire. Comme Abby a bien joui, son sexe est très lubrifié et assez détendu. Je dois donc y aller fort pour éprouver moi aussi des sensations. Je la saisis sous les fesses et la besogne vigoureusement. Je jouis moi aussi.

Thomas n’avait jamais vu de coït hétérosexuel en vrai et observe avec intérêt et un petit sourire.

Nous invitons Thomas à prendre une douche, puis nous allons prendre la nôtre. Nous reprenons un verre, cette fois-ci de l’alcool, en tenues d’Adam et Eve. Je sens encore mon derrière, un peu encore la fessée, mais surtout la sodomie.

Nous nous rhabillons et Thomas prend congé.