Ma Cousine, Bébé Fille
Chapitre 4
Quelques jours plus tard, les choses avaient bien changées. Même si je continuais à être un daddy pour elle, Mariah était attiré par moi de manière amoureuse. Ce matin-là, je me réveillais dans mon lit un samedi, mais c'est là que Mariah se mit à m'embrasser comme elle l'avait fait il y a quelques temps.
- Désolée, Thibault. Je l'ai encore fais.
- Il faut que l'on parle. Lui disais-je d'un ton décidé.
- Pourquoi ? Demandais Mariah niait.
- J'aimerais que tu arrêtes de m'embrasser comme ça. Demandais-je.
- Mais euh. Suppliait Mariah.
- il n'y a pas de mais. D'ailleurs pourquoi tu viens tout le temps dans mon lit ?
- Parce que je me sentais seule. Ces derniers temps, tu es distant Thibault. Tu me détestes ? Demandait Mariah un peu triste.
- Non, ce n'est pas cela. Répondais-je le regard fuyant.
- C'est parce que je suis ta cousine ?
- Je suis désolé. Je ne peux pas faire ma vie avec toi, Mariah. C'est la raison qui parle. Raisonnais-je.
- Tu as oublié ce que je t'ai dit: Je te protègerai quelque soit ce qui arrivera. Tu t'en souviens pourtant ? Rappelait ma cousine.
C'est alors qu'elle m'embrassa à nouveau sans que je puisse l'en empêcher. Malgré le fait que je ne voulais pas, je me laissais faire et je finis par apprécier ce baiser qu'elle m'offrait. Mais je ne voulais pas que ce soit sérieux non plus, j'avais des principes. Une fois que nous eûmes fini, nous nous habillâmes. Et avant, je mis une couche à ma cousine Mariah pour éviter qu'elle ait des accidents. A force de faire pipi dans ses couches, Mariah ne se retenait presque plus même au Lycée. Je me demandais parfois comment elle faisait pour se changer quand elle n'était pas à la maison. Après un bon petit déjeuner, je décidais d'emmener Mariah faire du shopping en ville pour lui faire plaisir. De plus, j'avais touché le salaire de traduction du travail que j'ai fait il y a quelques temps.Dès que nous fûmes en ville, nous prîmes notre temps pour faire les achats que nous voulions. Mais avant, je retira un peu d'argent de mon compte bancaire et je fus surpris de voir le solde de mon compte: plus de 250 000 euros. Et je ne parlais pas de ce que mon compte épargne possédait. Il n'y a pas de doute, la vente de la maison familiale m'a permis d'accumuler une petite fortune. Mais pas de quoi en vivre éternellement.
Après une journée bien chargée, nous rentrâmes à la maison où nous étions accueilli par ma tante avec un délicieux dîner. Elle était ravi de nous accueillir après un voyage d'affaires plus long que prévu. Mais l'histoire était loin d'être fini avec Mariah et j'allais m'en rendre compte bientôt.