Christophe, jeune homme naïf

Le fondement d'Anne

Christophe devait se rendre à son stage. Il s’était couché tard et le réveil fut difficile ; il se doucha, prit précipitamment son petit déjeuner, et laissa les deux jeunes femmes. Cécile avait choisi ce week-end pour faire venir Anne car ce lundi matin l’entreprise où elle était en stage faisait faire vérifier son réseau électrique et on lui avait dit de ne pas se présenter. Elles se préparèrent donc à sortir faire un peu de tourisme.

« Cécile… au fait je voudrais encore m’excuser pour ma curiosité déplacée et te remercier pour… enfin…

— La fessée, le petit lavement et les câlins ?

— Oui. »

Cécile regarda son amie. « Tiens d’ailleurs il y a une chose que tu as mentionnée mais que tu n’as pas expérimentée.

— Quoi ?

— La sodomie. »

Anne la regarda d’un air étonné et un peu effrayé.

« Hé bien quoi ? Tu avais l’air toute indignée à l’idée que Christophe « m’encule » comme tu le dis si bien.

— C’est que enfin… je n’aurais pas imaginé… puis je pensais que ça faisait forcément mal… Enfin tu sais c’est le genre de choses dont tu entends parler dans les pornos…

— Ah parce que tu regardes des films pornos ?

— J’en ai vu un ou deux. Pour voir. Enfin bref la sodomie, pour moi c’était les homosexuels et certaines jeunes filles musulmanes pour préserver leur hymen. Je ne t’aurais jamais imaginé toi…

— Non mais dis-le : Cécile la coincée, Cécile qui n’a toujours pas de mec à 19 ans, Cécile la pucelle !

— Non ! Non ! Enfin, Cécile. Je n’ai jamais dit cela !

— Mais tu l’as pensé.

— Un petit peu. Pas à ce point.

— Hé bien maintenant je vais te faire une proposition : voudrais-tu que je t’encule, comme tu le dis si bien ?

— Toi ? Tu… Avec un godemichet ?

— Ah non, ça je n’en ai pas. En revanche j’ai des doigts.

— Tu veux me doigter par derrière ?!

— Exactement. Avec un gant et de la Vaseline, et après des câlins. »

Anne était bouche bée.

« Ça te tente ?

— Heu… Tu sais ce que tu fais ?

— Avec une fille, pas tout à fait, mais je ne demande qu’à essayer.

— Ah parce qu’avec un garçon… Christophe ?

— Encore choquée ? Parce que j’ai mis des doigts à mon mec ? »

Anne regarda Cécile dans les yeux, puis baissa le regard. Ce fut au tour de Cécile d’être surprise : Anne se retourna, baissa son pantalon, puis la culotte, et se pencha en avant.

« Je crois que j’ai dit encore des bêtises blessantes. Je mérite une fessée. »

Cécile hésita, puis donna une bonne claque sur la fesse gauche, puis sur la fesse droite. Anne tressaillit. Cécile enchaîna, mettant six claques par fesse, puis elle s’approcha et se mit à masser le postérieur qu’elle venait de frapper. Dans l’oreille d’Anne, elle proposa

« Alors, veux-tu que je te déshabille ?

— Oui. »

Cécile déshabilla Anne. Quand celle-ci fut nue, elle mit un gros baiser sur la bouche de son amie et entreprit de la déshabiller à son tour, puis elle l’enlaça.

Les deux amies s’installèrent sur le lit et se caressèrent. Cécile aimait sentir la peau d’Anne glisser sous ses mains, aimait l’embrasser… et Anne ne se privait pas, allant d’ailleurs jusqu’à taquiner le sexe de son amie. Cécile eut envie des doigts d’Anne dans son vagin, mais se reprit : « C’est à la petite curieuse de se faire doigter. » Elle se leva. « Je fais chercher le matériel. »

Elle revint avec la Vaseline et un gant en latex, qu’elle passa à sa main droite en prenant bien la pose, sous le regard intimidé d’Anne.

« Ah mais j’y pense… va faire caca, tiens. »

Anne, rougissante et fuyant Cécile du regard, fila aux toilettes.

« Alors, c’est bon ?

— Oui.

— Tu sais que tu ne dois pas avoir honte avec moi, si tu as un problème de ce côté-là je te donnerai un lavement, sans problème !

— Non mais là t’inquiète tout est parti. »

Cécile, malicieuse, était tentée de redonner un petit lavement à Anne, ce qui pourrait au besoin éviter des saletés, mais se dit qu’il valait mieux ne pas trop pousser la jeune femme dans ses retranchements.

« Mets-toi sur le ventre jambes écartées. Je vais te masser. »

Cécile commença à masser le dos, les fesses et les cuisses d’Anne de sa main non gantée, l’embrassant de ci de là, tout en lui tripotant le sexe de l’autre main. Elle poursuivit en passa sa main non gantée sous le ventre d’Anne pour lui caresser le clitoris tout en lui embrassant les fesses. Un doigt ganté trouva mouillée l’entrée du vagin. Cécile pénétra en se disant « tiens, je vais jouer à la gynécologue » ; elle explora un peu l’intérieur.

Puis elle prit un peu de vaseline et posa son doigt sur l’anus.

« Pousse comme pour faire caca. »

Anne obéit, le doigt entra facilement. Elle explora un peu l’intérieur. Peut-être Anne n’était-elle pas aussi propre qu’elle ne croyait… bah, il y avait le gant. La prochaine fois, s’il y en avait une, elle aurait droit au lavement.

Elle commença de la masser doucement, de l’intérieur, en poussant vers le point G à travers la paroi recto-vaginale, tout en lui caressant le clitoris par en dessous et en lui mettant des baisers.

« Qu’en penses-tu ?

— C’est inhabituel. »

L’anus, initialement un peu rétif, se détendait. Cécile retira son doigt, s’essuya (en ne faisant pas de remarque qui risquerait de briser l’ambiance) et reprit de la Vaseline. Elle posa deux doigts.

« Allez, ma chérie, pousse. »

Avec précaution, doucement, et tout en caressant le clitoris, elle enfonça deux doigts, puis se mit à masser à nouveau par l’intérieur. Lorsqu’elle sentait Anne se tendre, elle arrêtait les mouvements.

Attentive aux réactions de la jeune femme, Cécile prit un rythme régulier. Elle faisait de petits allers et retour et pressait par l’intérieur.

Lors d’une pression plus forte, elle sentit des spasmes. Anne s’essoufla. Cécile s’arrêta, tout en laissant ses doigts à l’intérieur.

« Cécile… J’ai joui par derrière, je ne pensais pas cela possible. »

Cécile se retira, essuya Anne, et lui embrassa les fesses. Elle alla jeter le gant, puis revint pour doucement caresser Anne, qui se remettait de ses émotions.

Le reste de la journée fut plus ordinaire. Cécile sortit avec Anne un petit moment en ville puis rejoignit son stage. Anne avait repris son léger bagage et put reprendre son train.

« As-tu passé une bonne journée chérie ?

— Oui, très bien. »

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Pecan nutjob Il ya 3 ans  
Aranam Il ya 3 ans