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Vues: 928 Created: 2021.08.03 Mis à jour: 2021.08.03

Fantasme à l'hôpital

Fantasme à l'hôpital

Sonia, l'une de mes plus proches amies, me rendit visite pendant l'après-midi dans ma chambre d'hôpital, le lendemain de mon opération. C'était agréable d'avoir un peu de visite, car le reste du temps j'étais soit en train de regarder la télé, soit sur mon téléphone ou en train de lire un livre, et j'en avais encore pour deux jours à passer ici.

On discuta pendant deux bonnes heures de tout et de rien, puis un infirmier entra dans la chambre pour m'apporter mon plateau repas du soir, et en profita pour signaler à Sonia que le créneau des visites allait bientôt se terminer.

Quand il eut quitté la chambre, Sonia qui n'avait pas quitté l'infirmier des yeux, me lança :

-Il est beau gosse, cet infirmier !

Elle me lança en même temps un sourire suggestif. J'étais plutôt de son avis, et comme avec elle je pouvais parler sans filtre, je lui expliquai que c'était cet infirmier qui s'occupait de moi pendant mon séjour ici.

-La chance ! Fit-elle.

Elle marqua une pause, puis me demanda :

-Il t'a déjà vue ... à poil ?

Sans hésiter, je fis "oui" de la tête avec un petit sourire en coin.

-Oui, pendant ma toilette, expliquai-je. Et c'est pas tout : il m'a même mis le thermomètre tu sais où pour prendre ma température !

Sonia mit quelques secondes à comprendre, et eut alors une mine un peu choquée. Je me suis dis que j'étais peut-être aller trop loin dans les détails sur ce coup-là, mais finalement elle reprit son air amusé.

-Et t'as aimé ? Demanda-t-elle.

Je hochai à nouveau la tête en lui rendant son sourire. C'est alors que Sonia se pencha plus près de moi comme pour me parler plus discrètement.

-Si c'est ton truc, ce genre de choses, fit-elle, fais en sorte qu'il te mette un suppositoire... ça te laissera un bon souvenir !

Et elle se redressa avec son air amusé toujours présent sur le visage, mais ne me laissa pas répondre.

-Bon, je crois qu'il faut que je te laisse, lança-t-elle en récupérant son sac et en désignant la porte.

J'étais déçue que notre entrevue s'arrête déjà, mais il commençait en effet à se faire tard elle avait un bout de chemin à faire pour rentrer chez elle. Elle se dirigea vers la porte de la chambre, et avant de sortir, me lança un dernier clin d'œil en me lançant : "profite bien de ton séjour !".

La chambre redevint tout à coup silencieuse après le départ de Sonia. Je laissai pour le moment mon plateau repas de côté sans y toucher. L'idée de Sonia m'avait laissée comme une boule au ventre. C'était une idée bizarre, mais excitante aussi en y pensant. En effet, recevoir un suppositoire de la part de mon infirmier pourrait bien me laisser un souvenir insolite de mon séjour ici.

Décidée, je passai un peu de temps dans mon lit à me demander comment j'allais pouvoir m'y prendre. Pendant la toilette ? Ou bien au moment de la prise de température ? Je secouai la tête pour moi-même : ça ne serait pas si simple de l'amener à me donner ce genre de médicament. Il allait lui falloir une bonne raison. Je me rappelai alors que quand j'étais petite, mes parents m'avaient déjà donné des suppos quand j'étais constipée pour m'aider à aller aux toilettes.

Un peu après 19h, l'infirmier repassa dans la chambre pour ma toilette. Comme la dernière fois, il m'emmena avec lui dans la salle de bain adjacente, et m'enleva mon pyjama que j'avais porté toute la journée.

-Je commence par vérifier ta température, m'annonça-t-il en sortant le thermomètre.

Ca y est : c'était mon petit moment ! "Oui, vas-y, fourre-le moi dans mes petites fesses ! Pensai-je tandis qu'il me faisait pivoter sur place pour que je sois dos à lui."

Il m'écarta les fesses, et exauça mon vœu en m'introduisant le thermomètre de quelques centimètres dans mon rectum.

Je restai silencieuse pendant la prise de température, en profitant de ce moment, avant qu'il ne retire le thermomètre et m'annonce que tout allait bien. Je regagnai alors avec son aide la douche avec mon sexe déjà légèrement humide. Il me doucha et j'eus droit comme la veille à un savonnage de tout le corps, suivi d'un rinçage, et enfin d'un séchage effectué par ses soins. Je me laissai guidée en profitant de chacun de ses gestes.

A la fin, tandis que j'étais toujours toute nue et qu'il me séchait à l'aide d'une serviette, je me mis à repenser à l'idée de tout à l'heure.

"Bon, et pour le suppositoire, pensai-je. Je pourrai lui faire croire que je suis constipée, tout simplement..."

Pas sûre que ça marche. Je continuai à réfléchir, en manque d'idée, et il finit par me rhabiller pour me faire regagner le lit.

"Ou bien un suppo pour m'aider à dormir ? Pensai-je. Peut-être qu'ils ont ça ici..."

-Tu dois aller aux toilettes avant de dormir ? Me demanda-t-il soudainement, me sortant de mes pensées.

-Euh, non. Je n'ai pas besoin, répondis-je.

Il me regarda bizarrement, comme si j'avais répondu quelque chose d'étrange, puis ajouta :

-Très bien, je te laisse alors. Il faudra essayer d'aller aux toilettes demain, car tu n'y as pas été aujourd'hui.

Il me laissa sur cette phrase, et quitta la chambre pour continuer sa tournée et aller s'occuper des patients suivants.

Pendant le reste de soirée, je restai sur mon téléphone. A un moment donné je reçu un texto de Sonia :

"Alors ? Tu as reçu ta petite fusée ?" Me disait-elle.

Son message me fit sourire. Je lui envoyai ma réponse.

"C'est en préparation. Le lancement de la fusée est pour demain !"

J'espérais la faire sourire aussi avec mon texto. Je reçus sa réponse dans la foulée :

"Profite bien alors, tu me raconteras !"

Le lendemain, j'étais très fatiguée car j'avais veillé tard dans la nuit sur mon téléphone. Je me fis réveiller par l'infirmier qui me secouait au niveau des épaules. Je me réveillai en sursaut, car je ne l'avais pas entendu entrer dans la chambre.

-Bonjour, ça va ? Fit-il en me voyant ouvrir les yeux. Pas très matinale aujourd'hui.

-Oui ça va, répondis-je en me frottant les yeux.

Je ne l'avais pas remarqué, mais il venait de sortir son thermomètre.

-Bon, tu connais la routine : vérification de la température avant toute chose.

"Oh... il attaque direct, pensai-je. Je n'étais pas vraiment prête ni n'avais la tête à ça au réveil."

Sans en dire davantage, il retira ma couverture et me retourna sur le ventre, en baissant mon pantalon de pyjama pour voir mes fesses.

Avant d'avoir pu me remettre les idées en place, je sentis le thermomètre se planter dans mon derrière par ses soins, et contractai légèrement mes fesses face à cette intrusion.

L'idée du suppositoire me revint alors en tête, et je me remémorai en un instant les évènements de la veille. Le temps de la prise de température, mon entrejambe était déjà un peu humide.

Je le laissai faire, et après qu'il eut retiré le thermomètre et annoncé que tout allait bien, il me déposa mon plateau de petit-déjeuner en me demandant si je désirais aller aux toilettes avant.

-Non, pas maintenant, répondis-je.

-Ok. Il faudra y aller aujourd'hui, fit-il sans rien ajouter d'autre.

Puis il me laissa à mon petit-déjeuner et quitta la chambre.

Dès que je fus seule, avant d'attaquer mon plateau repas, je glissai ma main jusqu'à mon entrejambe, trouvai ma fente, et m'adonnai à mon petit rituel du matin. Je concentrai mes pensées sur l'infirmier, le revoyant me laver et prendre ma température, et l'imaginant même venir me voir avec un suppositoire !

D'ailleurs, en repensant au suppo, il allait falloir que je m'y mette, car Sonia ne manquerait pas de me harceler de questions par texto à la fin de la journée, avec le tease que je lui avais lancé la veille.

Plus tard dans la matinée, l'infirmier revint me voir, et après avoir débarrassé mon plateau repas, il m'emmena aux toilettes sans que je lui ai demandé de m'y rendre. Les toilettes, contrairement à la salle de bain, étaient dans le couloir, il me fit donc sortir de la chambre, et m'installa sur la cuvette après avoir baissé mon pantalon.

-Je te laisse, fit-il, et je reviens te voir dans cinq minutes. Ok ?

-Euh, je n'ai pas vraiment besoin, lui dis-je en comprenant qu'il voulait me faire aller à la selle.

-Essaye quand même, fit-il, sinon il faudra que je te mette un suppo.

En l'entendant dire cette phrase de manière aussi directe, je me surpris moi-même à rougir instantanément.

-Ok, répondis-je en baissant les yeux.

Et il me laissa.

Après son délai annoncé de cinq minutes durant lequel j'avais eu le temps de passer par toutes les émotions possibles en sachant ce qui m'attendait, il revint me voir et constata sans vraiment de surprise que la cuvette était vide.

-Bon, désolé, fit-il en remontant mon pantalon, mais il va falloir aller te mettre un suppo pour t'aider je crois.

Je ne répondis rien, et j'étais même un peu stressée, mais à l'intérieur de ma tête, une voix criait victoire. "Maintenant, c'est sûr que je vais en recevoir un, pensai-je".

Je croyais qu'il allait me ramener dans ma chambre en sortant des toilettes, mais à la place il m'emmena à l'opposé jusqu'à nous faire rentrer dans une petite salle. Il me laissa près d'une table vide et partit fouiller dans une petite armoire. Très vite, je le vis sortir et déballer un suppositoire en forme de fusée blanche. Je détournai le regard et l'entendis me rejoindre.

Comme pour les prises de température, il baissa mon pantalon pour dénuder mes fesses et se plaça derrière moi. Je m'attendais à sentir la pointe du suppositoire s'enfoncer dans mon anus, mais à la place je sentis uniquement son doigt. Je compris au toucher qu'il m'étalait une sorte de crème au niveau de l'anus. Puis quelque chose de dur et froid remplaça son doigt. Cette fois, c'était le suppositoire !

L'infirmier ne prévint pas, et poussa son doigt dans mon cul pour y loger le médicament. Il m'arracha malgré moi un gémissement de surprise car j'avais l'impression que son doigt rentrait sans jamais s'arrêter.

-Et voilà ! C'est finit, dit-il en me stabilisant d'une main sur mon ventre et en ressortant son doigt de mon cul.

"C'est bon, il l'a fait ! Pensai-je" Il vient de me mettre un suppositoire !"

Le passage du doigt de l'infirmier dans mon cul me laissa une drôle de sensation au niveau de l'anus, même après qu'il ait terminé l'opération. Après ça, il m'obligea à attendre dans cette salle pendant une dizaine de minutes, le temps que l'effet laxatif du suppositoire agisse. Les dernières minutes furent les plus difficiles avec quelques crampes, et je fus soulagée quand il se décida à m'emmener à nouveau sur la cuvette. Cette fois, je pus faire sans aucun problème. Il revint me voir après, m'essuya le derrière (moment un peu humiliant) et me ramena dans ma chambre.

L'après-midi était pour l'essentiel du temps libre pour moi, où j'alternais entre la télé, les bouquins, et mon téléphone. Toutefois, cette après-midi là, je passais beaucoup de temps à repenser au suppositoire que l'infirmier m'avait mis, me remémorant la scène avec le plus de détails possible, et en essayant d'oublier le passage juste après la selle. Je me masturbais plusieurs fois dans mon lit en pensant à ça.

Le soir, je m'attendais un texto de Sonia, mais celui-ci tardait visiblement à venir. Alors c'est moi qui pris l'initiative de lui envoyer le premier message :

"J'ai reçu la petite fusée !" Fis-je simplement.

Pas de réponse. Sonia devait être occupée à autre chose.

Sa réponse arriva plus tard dans la soirée.

"Ouah ! Comment t'as fait ?" M'écrivit-elle.

J'aurai voulu lui inventer une histoire plus croustillante, mais décidai de jouer l'honnêteté.

"J'ai fait semblant d'être constipée 😃"

"Ca t'a fait mal ?"

"Non, pas du tout !" Puis j'ajoutai : "Il m'a mis du lubrifiant avant."

"C'était dans quelle position qu'il te l'a mis ?"

"J'étais debout, dans une salle."

Sonia continua à me poser des questions, voulant le plus de détails possible. Je lui donnais de mon côté des réponses sans trop de retenue, car ça me permettait de me rappeler là-aussi la scène. Après cet échange, ce soir-là, je m'endormis plus tôt que la veille, et passai une nuit assez paisible.

Le lendemain, quand je me réveillai, je me rappelai que c'était déjà mon dernier jour. J'allais en effet repartir chez moi en début d'après-midi si tout allait bien.

Le matin, j'eus tout de même droit au rituel quand l'infirmier arriva. Il me prit ma température rectale puis m'emmena à la salle de bain pour faire ma toilette. Tandis qu'il me savonnait le corps, sachant que c'était probablement le dernier moment "intime" que je passais en sa présence, je lui fis une demande insolite, lui avouant en même temps implicitement mon fantasme.

-Vous pouvez me remettre un suppositoire ce matin ? Avant que je reparte chez moi...

Il comprit ma demande d'un air amusé, mais resta sérieux, et se montra hésitant avant de me répondre.

-Désolé, je ne peux pas te donner un médicament juste parce que tu en as envie... Mais si tu veux je peux "simuler" le fait de t'en mettre un.

A ce moment-là, j'étais debout dans la douche face à lui. Il passa alors sa main derrière moi contre mes fesses, et son doigt s'aventura dans ma raie pour trouver mon anus. Je me raidis un bref instant, ne m'attendant pas à ce geste de sa part. De son côté il me fixait en attendant une réponse.

-Alors, prête pour le suppo ? Fit-il en insistant avec son doigt et en appliquant une légère pression sur mon anus.

Je lui fis un sourire, et hochai la tête sans dire un mot.

Son doigt franchit alors mon anus, me faisant me raidir à nouveau, et s'enfonça lentement mais profondément dans mon rectum. Quand il stoppa son mouvement, le doigt entièrement rentré, je serrai les fesses en m'attendant à ce qu'il ressorte, mais il resta enfoncé dedans.

Il me rendit mon sourire.

-Ca va comme ça ? Fit-il.

Je hochai à nouveau la tête, un peu gênée et excitée à la fois. J'eus ensuite droit à une douche plutôt agréable, car il termina de me savonner tout le corps d'une main tandis que l'autre gardait un doigt planté dans mon cul. Quand il se retira enfin, il me lança simplement avec un clin d'œil.

-Et voilà, j'espère que ça te laissera un bon souvenir de ton séjour ici !

Une fois sortie de la douche, il me sécha, puis m'aida à me rhabiller avant de revenir à la chambre.

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Charly75 Il ya 2 ans  
Maec Il ya 3 ans  
thermophil Il ya 3 ans  
Aranam Il ya 3 ans