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Vues: 399 Created: Il ya 2 ans Mis à jour: Il ya 2 ans

Maddy en visite chez des amis

Convalescence

Samuel se réveilla un peu plus tard pour uriner. C'était humiliant d'enlever la couche, et salissant de faire au travers de la cage de chasteté, avec nécessité de petite toilette ensuite. Il remit sa couche et se recoucha. Il se réveilla tard.

Lorsque Louise et Maddy, qui avaient déjà pris leur petit déjeuner, virent Samuel sortir en peignoir, elles lui demandèrent comme cela allait, si le ventre allait mieux.

« Oui ça va mieux… merci Louise.

— Mais je t'en prie. Tu vas te doucher et prendre un petit déjeuner léger ?

— D'accord. »

Maddy, moqueuse, intervint.

« Tu es en couche sous ton peignoir ? »

Samuel lui jeta un regard furieux. Louise intervint :

« Je lui ai demandé de garder sa couche pour éviter un éventuel accident. Souviens toi comment toi-même tu avais eu une petite fuite, tu étais je pense bien contente d'avoir une couche. »

Le caquet de Maddy rabattu, Louise entraîna Samuel à la salle de bains pour le délivrer de sa cage de chasteté et le regarder se laver. Samuel fut bientôt propre, habillé, et put prendre un petit déjeuner tardif et léger.

Le reste de la matinée fut sans histoire. Robert était parti faire des courses, Louise et Maddy cuisinaient. Tous quatre déjeunèrent gaiement.

Hélas, après le repas, Samuel sentit la pression monter. La digestion avait relancé ses boyaux… il se retrouva à nouveau aux toilettes.

« Mon pauvre tu n'en as pas fini… »

Louise arriva bientôt avec le thermomètre… mais celui en verre, accompagné de lubrifiant.

« Enlève le bas et mets-toi sur le ventre.

— Mais ! Tout à l'heure tu me l'as prise dans la bouche.

— Oui. Parce que tu venais de recevoir un lavement et que la température rectale risquait d'être faussée. Je vais revenir à la méthode la plus précise.

— Mais… et puis pourquoi est-ce toi qui me le mets. Je peux le faire.

— Samuel. Arrête de discuter. Présente tes fesses et plus vite que ça. »

Samuel céda, et reçu le thermomètre comme un bon petit garçon. Louise resta à ses côtés, tenant le thermomètre en position.

« Encore un peu chaud. Inutile de te renculotter. Reste sur le ventre pour ne pas salir le lit avec le lubrifiant. »

Louise partie après avoir nettoyé le thermomètre, Samuel n'osait penser à ce qui allait s'ensuivre.

Quelques minutes plus tard, Louise arriva à la porte de Samuel avec la feuille de caoutchouc, et l'installa sur le lit après avoir fait lever Samuel, qui lui tourna le dos de honte de montrer son sexe. Puis elle posa à côté du lit un pot avec un liquide odorant, une sorte de tisane… camomille ?, se dit-il.

Enfin elle vint avec un tuyau muni d'un bulbe en son milieu, au bout duquel était la canule gonflable avec laquelle elle avait déjà infligé à Samuel son deuxième lavement de la nuit. De l'autre main elle portait une boîte de gants.

Samuel ouvrit de grands yeux.

« Non ! Pas encore un ! Je… enfin ça va mieux…

— Ça va tellement mieux que tu as couru aux toilettes il y a un quart d'heure. Ce sera donc lavement calmant pour toi. Allonge toi sur le dos. »

Samuel obéit, un peu surpris, il se serait attendu à une nouvelle protesternation. Louise posa le pot à côté de lui et amorça la pompe. Sur ces entrefaites, Robert et Maddy arrivèrent.

« Lève tes jambes sur ta poitrine. »

Samuel eut un temps de retard à prendre cette posture. Louise s'impatienta : « Maddy, Robert, prenez chacun une cheville et levez là pour lui ouvrir les fesses. » Sitôt dit, sitôt fait. Cela amusait visiblement beaucoup Maddy.

« Oh, mais on dirait que tu as l'entrefesse et l'anus irrités… sans doute la diarrhée. Nous verrons cela. »

Louise passa un gant, le lubrifia, enfonça légèrement un doigt dans l'anus de Samuel pour le lubrifier, puis revint à la charge pour une lubrification interne. Elle garnit la canule gonflable de lubrifiant, la posa à l'entrée, intima à Samuel l'ordre de « pousser » et l'introduisit.

L'embarras déjà visible de Samuel ne fit qu'empirer quand elle gonfla le ballon interne de la canule, et qu'il sentit que toutes ces opérations lui avaient fait durcir le zizi. Dans cette position, sans cage, son érection était bien visible.

« Reposez-lui les pieds sur le lit, écartés. »

Louise commença à pomper la tisane apaisante dans ses boyaux, lentement mais sûrement. Son érection se renforça. Il avait le ventre visiblement gonflé quand elle en eut fini. Son inconfort toutefois n'avait pas interrompu sa turgescence, que jusque là Louise avait affecté de ne pas remarquer.

« Hé bien mon garçon, qu'est-ce qui t'excite comme cela ? ». Samuel ne savait que répondre.

« Est-ce de t'exhiber devant des dames ? ». Samuel était rouge de honte, et ne savait que dire. Maddy étouffa un ricanement.

« Est-ce qu'on te mette quelque chose dans le derrière ? ». Maddy ne peut se retenir de ricaner, cette fois.

« Est-ce de prendre un lavement qui va te faire faire un gros caca comme un bon petit garçon malade ? »

« Est-ce que tu as le zizi propre cette fois ? » Louise le décalotta. Maddy fron_a des sourcils.

« Hé bien mon garçon ? Tu ne dis rien ? ».

Louise fit mine de réfléchir.

« Ça fait vraiment petit cochon ce que tu nous fais là. »

Entre la pression dans ses boyaux, cette embarrassante érection, les regards de trois personnes, Samuel aurait bien voulu être ailleurs, sans cette satanée diarrhée et surtout ce satané lavement.

« Tu sais quoi ? Je pense que tu as encore besoin d'éducation concernant ceci. »

Louise lui tapota le gland du doigt. Maddy ricana.

« C'est valable pour toi aussi, Maddy. »

Maddy cessa de sourire. Que leur réservait encore Louise…

« Je t'aurais bien laissé seul un peu le temps que le lavement agisse, mais j'ai peur qu'alors tu n'en profites pour jouer avec ton zizi. C'est ton habitude, pas vrai ? »

Samuel ne savait toujours que dire.

« Les zizis des garçons comme toi, on les met en cage. »

Maddy ricana.

« Et les zézettes des filles comme moi, on leur met une ceinture. »

Maddy se tut.

Louise s'assit sur le lit, bientôt accompagnée de Maddy. Robert s'excusa.

Dix embarrassantes minutes passèrent, Louise manipulant de temps en temps la canule afin de provoquer une contraction réflexe qui faisait bouger le zizi, maintenant demi-mou, de Samuel. Maddy regardait cela avec intérêt.

« Samuel, qu'as-tu envie de faire ?

— D'aller aux toilettes.

— Pour y faire quoi ?

— Pour y faire… caca. »

Louise savait remettre de l'embarras sur une situation déjà embarrassante.

« Allons y. »

Comme pendant la nuit, Samuel dut se mettre au dessus de la cuvette prêt à s'asseoir, et Louise retira la canule. La présence de Maddy l'embarrassait, mais il fallait bien qu'il se vide… Louise le torcha, puis lui lava l'entrefesse et le sécha.

Comme un bébé que l'on change, se dit-il. Et il ne croyait pas si bien dire. De retour dans la chambre, Louise posa une couche ouverte sur le lit et lui demanda de poser ses fesses dessus, jambes relevées « Veux-tu que je rappelle Robert pour te les soulever ? ». Il s'attendait à ce qu'elle referme la couche, mais elle lui garnit d'abord l'entrefesse d'une pommade contre les érythèmes. Ensuite…

« Oh non pas encore ça !

— Hé si, la cage. Je ne te fais pas confiance pour ne pas te toucher pendant ta sieste. »

La cage verrouillée, la couche fermée, Samuel put se reposer, enfin seuil avec son humiliation.