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Vues: 434 Created: Il ya 7 mois Mis à jour: Il ya 7 mois

Lavement exotique

Une purge fort attendue

Alors que je séjournais dans un pays lointain et exotique, je fus saisi d’une grosse crise de constipation. Il m’était impossible, malgré les séances à pousser en vain sur les toilettes, l’ingestion de purgatifs et les massages abdominaux, de libérer mes intestins de l’énorme masse qui les encombraient de plus en plus. Au bout de quelques jours, contrariée par la lourdeur de mon ventre distendu, fatiguée par les toxines qui s’accumulaient dans mon organisme et n’en pouvant plus de l’horrible douleur qui encerclait mon abdomen, je finis par me résoudre à demander de l’aide et me rendis dans le centre médical de la ville où je me trouvais. J’étais tellement gonflée que je pouvais à peine fermer mon pantalon et la dilatation de mes intestins entraînaient des spasmes tellement intenses que j’étais obligée de m’arrêter régulièrement lorsque je marchais pour les laisser passer. Après les formalités d’usages compliquées par la barrière de la langue, on m’installa sur une table d’examen en skaï noir recouverte d’un papier protecteur. A peine allongée, une infirmière me saisit le bras pour prendre ma tension. Je vis ensuite le médecin se présenter rapidement et je sentis aussitôt ses mains puissantes se posaient sur mon abdomen pour le palper vigoureusement. A un moment, il déboutonna la braguette de mon pantalon et en écarta les pans pour mieux examiner mon bas-ventre. Il s’adressa ensuite aux infirmières présentes à ses côtés et elles se précipitèrent aussitôt vers mois, se positionnant chacune d’un côté. A deux, elles soulevèrent mon bassin et firent glisser mon jean et ma culotte le long de mes cuisses pour mettre le bas de mon corps a nu. Décontenancée, c’était la première fois que je me retrouvais ainsi le sexe à l’air, j’eus un mouvement de sursaut et redressai mon buste pour mieux voir ce qu’on me faisait. Une des infirmières s’en rendit compte et poussa sur mes épaules pour me forcer à me recoucher. Elles m’amenèrent ensuite à me positionner sur le côté et me remontèrent les jambes vers mon ventre, mettant ainsi à me plus grande honte mon anus en exergue. Le médecin me dit ensuite en anglais de me détendre, je sentis avec surprise quelque chose de froid appuyer sur mon étoile secrète avant d’être pénétrée d’une vigoureuse poussée par un objet qui se mit aussitôt à palper mes chairs internes. Sous le choc, mon cerveau mit quelques secondes à comprendre que le médecin venait d’enfoncer ses doigts énormes et musclés dans mon rectum pour l’examiner. La manœuvre dura encore quelques instants avant qu’il ne se retire et qu’un objet plus long et étroit succède.

Le médecin était entre-temps sorti de la pièce. J’entendis s’agiter derrière moi puis une sensation chaude envahit mon ventre. Je me rendis compte stupéfaite qu’on avait mis en place un lavement et que j’étais en train de me remplir de liquide. Je jetai un coup d’œil derrière moi et aperçu avec effroi la poche pleine à ras bord. Très vite, les premières douleurs envahirent mon abdomen qui se dilatait au fur et à mesure que le liquide prenait sa place. Puis de puissantes crampes se mirent à me parcourir, renforcées par le fait qu’on avait dû ajouter à l’eau chaude des potions purgatives pour stimuler les mouvements intestinaux. Je me mis à gémir bruyamment tandis qu’une des infirmières me massait le ventre pour bien répartir le lavement. Elle s'interrompit alors pour glisser dans ma bouche un morceau de gaze à mordre pour atténuer mes cris et m'éviter de me casser les dents. A un moment, le médecin revint voir comment se dérouler l’opération. Il vérifia que la canule était bien en place et me tata le ventre. Puis, il s’approcha de mon visage et me caressa brièvement les cheveux en me disant des paroles que je ne compris pas mais dont je sentis le ton réconfortant et encourageant. Je vis ainsi l’entre-jambe de son pantalon déformé par son pénis pris d’une belle érection, ce qui me permis de comprendre que me voir en train de me remplir, le ventre projeté en avant par le liquide qui l’envahissait, et grognant comme un cochon qu’on égorge malgré ma bouche pleine l’émoustillait grandement. Il sortit ensuite précipitamment sans doute pour soulager ses tensions intimes. Les spasmes abdominaux se succédaient maintenant sans répit et mon corps était contracté à l’extrême à force de contenir le lavement qui bouillonnait dans mes intestins. Je crachai le bâillon protecteur pour hurler à plein poumon mais on me le renfonça dans la bouche en le fixant avec un bande nouée derrière la tête.

Dans ce brouillard de douleur, j’entendis l’infirmière dire quelque chose puis je sentis avec effroi la canule glisser de mes entrailles. Par réaction, je serrais les fesses autant que possible, craignant en me relâchant de tout laisser aller, si bien que l’infirmière dû forcer pour dégager mon rectum, lui permettant de se clore hermétiquement pour passer à la phase de rétention. En effet, je compris vite que malgré mon désir incommensurable de pousser, j’allais devoir attendre encore un peu avant de pouvoir me délivrer. Alors que j’étais toujours sur le côté, je sentis qu’on plaçait contre mon derrière une gangue cotonneuse dont l’odeur me ramenait dans d’obscurs et lointains souvenirs. Puis, on me fit remettre sur le dos et on profita du fait que j’avais les jambes écartées pour rabattre l’enveloppe plastique sur mon sexe et y enfermer mon bassin en fixant les deux attaches de part et d’autre de mes hanches. Je réalisais à peine qu’on venait de m’affubler d’une couche-culotte pour adulte, sans doute au cas où je lâcherai tout avant d’être dans des dispositions convenables pour le faire. Morte de honte à l'idée d'être langée, je tentai de l’arracher mais on me saisit les mains pour me les ramener sur la poitrine. Les minutes qui suivirent furent absolument horribles. Mon ventre était parcouru par d'ignobles crampes qui se succédaient sans répit. Dans une tentative désespérée pour y échapper, je me retournai pour me mettre à quatre pattes en me balançant d'avant en arrière, projetant ainsi mon postérieur empaqueté d'une manière absolument obscène. A ce moment là, je n'avais plus aucune notion de pudeur. Toute mon attention était concentré sur mon abdomen dilaté que je voyais pendre sous moi tendu comme la panse d'une vache. Je mordais en gémissant comme une forcené dans mon bâillon, alors que de la salive coulait le long de mon menton. Je n'entendais, ne voyais plus rien et ne sentais plus rien autour de moi. Le monde extérieur me semblait très loin de moi. Au loin, je percevais vaguement une main qui me caressait les cheveux et la nuque pour tenter de me détendre et de m'aider à supporter la rétention.

Au bout d'un moment, une voix ferme rompit l'épais brouillard de douleur qui m'enveloppait et je sentis qu'on me relevait doucement pour m'amener à m'asseoir au bord de la table. D'instinct, je plaquais mes mains sur mon ventre ravagé par les spasmes. Je vis soudain le pot de chambre destiné à recevoir le magma qui bouillonnait dans mes entrailles disposé à mes pieds. Dans un sursaut de dignité, je tentai de protester, refusant de me soulager d'une manière aussi vulgaire. Mais déjà, on me forçait à me lever pour ensuite me faire accroupir, en m'enlevant au passage le lange que j'avais réussi à ne pas souiller, au dessus de pot. Un instant, je tentai vainement de lutter mais une crampe affreusement aiguë me fit tout lâcher. D'un seul coup, je sentis mon anus s'ouvrir et mes intestins poussèrent sans que je ne puisse contrôler quoique ce soit. C'était une sensation inhabituelle de vider mon ventre sans faire aucun effort, j'avais l'impression à la fois d'être spectatrice de ma purge et de m'être faite dominée par mon corps. Parfois, je sentais désagréablement des amas plus compactes passait en distendant les parois serrées de mon fondement et écarter mon anneau intime pour le franchir. J'avais toujours les mains serrées sur mon abdomen qui accompagnaient les crampes qui montaient jusqu'à la délivrance de l'expulsion. L'opération dura de longues minutes pendant lesquelles mes intestins se libérèrent de tout ce qui les alourdissaient. Puis, finalement, la source nauséabonde se tarit et je recouvrai peu à peu mes esprits. Incrédule, je relevai la tête. L'une des infirmières détacha le bâillon et me pinça le nez pour me faire ouvrir la bouche et récupérer la compresse, avant de me l'essuyer. On m'aida ensuite à me relever et à me pencher en avant pour me mettre au propre. Puis, on me ramena vers la table pour m'y allonger de nouveau sur le dos. L'infirmière acheva le soin en me massant longuement le ventre pour apaiser mes intestins endoloris et les aider à se remettre de ce qu'ils venaient de subir. C'était un plaisir retrouvé de le sentir souple, plat et relâché. Puis, je vis le médecin revenir dans la pièce, me palper brièvement l'abdomen et me féliciter d'un air satisfait. Je me rhabillai rapidement avant de passer au secrétariat pour les formalités et rentrer à mon hôtel. Pendant des semaines, je fus fort troublée en repassant à ce qui s'était passé. Plusieurs fois, je ne pus m'empêcher de me masturber en me remémorant la sensation de mon ventre dilaté à l'extrême ou de la purge incontrôlée de mes intestins. Depuis, j'ai appris à apprivoiser ce souvenir dérangeant qui m'a longtemps travaillé la conscience.

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clyso Il ya 7 mois