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Vues: 343 Created: Il ya 4 mois Mis à jour: Il ya 4 mois

L'auscultation publique de mon épouse

Un rendez-vous médical en fait face à des étudiants en médecine

Nous n'avions pas fait attention au fait qu'il nous avait été précisé qu'il s'agirait d'une consultation publique. J'avais tenu à accompagner Catherine qui au départ souhaitait s'y rendre seule mais je m'étais arrangé avec mon travail.

Le jour J nous étions à l'heure. C'était l'hiver et Catherine portait des vêtements chaud avec son manteau sur sa robe . Mon épouse était alors encore un belle femme malgré ses 56 ans , une blonde cendrée pas très grande mais avec de belles formes et toujours coquette.

A l'hôpital on nous a demandé de nous présenter au second étage où une infirmière nous a fait entrer dans un vestibule qui donnait sur une grande salle avec une estrade et des chaises. L'infirmière a demandé à mon épouse de rentrer et d'aller s'asseoir sur l'estrade où se trouvait un bureau, une banquette de consultation avec du matériel médical. L'infirmière m'a demandé de rester derrière la porte battante avant de l'accompagner et de la faire asseoir sur une chaise devant le bureau. Il y avait un encadrement avec une vitre sur la porte me permettant de voir toute cela

C'est à ce moment qu'une quinzaine de jeunes gens sont arrivés et on franchi devant moi la porte pour s'installer sur les chaises en contrebas, de jeunes hommes mais aussi trois jeunes femmes. Cela m'a plus qu'étonné et c'est certainement en voyant ma tête que l'infirmière en revenant s'est adressée à moi à peu prés dans ces termes :

"Je viens de regarder le dossier pour le rendez-vous de votre dame. Dites-moi sait elle que le professeur va lui demander de se déshabiller ?"

Je suis resté interloqué :

"Quoi ici , devant eux ,"

L'infirmière a poursuivi :

"Parce que nous recevons pratiquement jamais de femme ou bien des personnes très âgées. Et je vois votre femme toute bien apprêtée, en plus en robe, les étudiants vous pouvez le remarquer sont déjà un peu agités en la voyant.."

Effectivement je percevais un brouhaha derrière la porte et j'apercevais Catherine toute mal à l'aise de voir cette assemblée qui venait de s'installer. Elle tirait nerveusement sur le bas de sa robe au dessus de ses genoux après avoir ouvert son manteau comme si elle appréhendait qu'il serait possible d'être auscultée ici. Je demandais aussitôt à l'infirmière d'aller la prévenir connaissant ma femme et ne pouvant imaginer qu'elle puisse se dévêtir devant ces jeunes gens . L'infirmière acquiesça mais au moment de franchir la porte un homme en blouse blanche entra sur le côté gauche de l'estrade, a peu prés sexagénaire et de grande taille. L'infirmière revient vers moi pour me dire :

"C'est le professeur, c'est trop tard".

J'ai voulu y aller mais elle m'en a empêché. Seulement voyant ma mine déconfite elle m'a assuré que si mon épouse s'opposait à être examinée il n'y aurait pas de problème et qu'elle allait en toucher un mot au professeur ajoutant "Je vais faire le tour ".

Mais pendant ce temps là Catherine avait échangé avec le médecin et je ne sais pas ce qu'il lui avait dit mais elle avait quitté son manteau pour l'accrocher au porte-manteau qui se trouvait là puis posé son sac à ses pied. Debout en jetant des regards gênés aux étudiants, après encore quelques mots avec le médecin d'un air très embarrassé, elle a passé ses mains dans son dos pour dégrafer sa robe face au professeur qui s'était assis derrière le bureau. Je n'en revenais pas. Elle a descendu sa robe jusqu'à sa taille puis la laissé tomber à ses pied pour apparaitre en combinaison blanche avec de jolis motifs de dentelles. Mon épouse portait encore ce genre de lingerie très classique et elle était toujours en robe ou en jupe. Il y a eu des sifflets dans la salle qui ont fait vivement réagir le médecin qui sans entendre ce qu'il disait a sermonné les étudiants. Je ne savais pas ce que ma femme portait exactement ce jour là comme sous-vêtements. Généralement du blanc et sous le haut de la combinaison on distinguait bien son soutien-gorge de cette couleur .

A ce moment a surgit derrière moi un jeune homme qui s'est collé à la vitre. Visiblement un des étudiants l'a aperçu. il est venu entrouvrir la porte et sans se soucier de ma présence s'est esclaffé:

"Viens vite Pascal, on a une petite bourge que le vieux va faire se foutre à poil, c'est exceptionnel, elle est pas toute jeune mais gironde et regarde en plus il y a du beau linge !"

L'autre s'est engouffré dans la salle j'ai voulu le suivre mais j'ai vu ma femme en combinaison qui avait pris sa robe pour la tenir contre elle comme paniquée, attrapant son sac et décrochant son manteau pour filer de l'autre coté de l'estrade. Il y a eu des rires dans la salle. Mais l'infirmière est apparue là ou Catherine voulut s'enfuir. Elle lui a pris le manteau, le sac et aussi sa robe des mains et l'a poussé en direction du professeur tout en allant raccrocher les vêtements. Le médecin n'avait par l'air content et a dit quelque chose à l'infirmière. Celle-ci qui tenait l'avant bras de Catherine comme pour l'empêcher de repartir s'est tournée vers elle et a voulu descendre les bretelles de la combinaison. Mon épouse s'est reculée semblant dire qu'elle ne voulait pas faire cela, alors l'infirmière a interpellé le professeur qui a dit quelque chose d'un ton apparemment ferme. L'infirmière a alors descendu les brelles de la combinaison de ma femme qui s'est laissée faire comme absente, elle a du mal alors à la descendre sur son soutien-gorge car la fine lingerie la moulait très prés du corps d'autant que mon épouse a une poitrine assez forte.

Catherine paraissait vraiment complètement perdue quand l'infirmière a continué à la descendre sur ses hanche par dessus sa paire de collant beiges puis à ses pieds , lui soulevant ses talons pour faire passer la combinaison et la retirer . Mais là comme si Catherine avait pris conscience qu'elle se trouvait d'un coup en collants , culotte et soutien-gorge, elle s'est vite accroupie pour dissimuler au mieux ses sous-vêtements à tous les étudiants. J'ai vu les trois étudiantes se mettre à glousser tandis que leurs voisins avaient plutôt les yeux exorbités. L'infirmière a fait relever fermement ma femme tandis que le médecin en haussant la voix lui a demandé quelque chose.. Elle avait posé un avant bras contre son soutien-gorge en dentelle et son autre main posée contre la haute culotte blanche avec tulle brodé qu'elle portait sous ses collants. L'infirmière lui a justement désigné sa paire de collants. Catherine est restée immobile, puis devant l'insistance du médecin et de l'infirmière , comme soumise elle a retiré ses chaussures et a descendu très lentement et maladroitement ses collants sur sa culotte et ses jambes puis les a retiré.

Les étudiants faisait du chahut mais le professeur au lieu de les calmer, s'est énervé contre Catherine que j'ai senti au bord des larmes, debout les bras le long du corps, résignée d'être en culotte et soutien-gorge. Moi je la trouvais si belle avec ses formes généreuses mais je rageais qu'elle s'offre ainsi à tous ces jeunes gens . Le médecin a fait signe à l'infirmière en désignant le soutien-gorge, et précision c'était celui qu'elle portait le plus souvent , à armature, très classique avec des bonnet au motifs floraux. Catherine a fait non de la tête mais là l'infirmière lui a dégrafé dans le dos. Catherine dans un sursaut a essayé de le retenir en plaquant ses deux mains sur les bonnets. J'avais poussé un peu la porte battante le plus doucement possible. L'infirmière qui me tournait le dos était en train d'expliquer à Catherine, car là j'entendais distinctement, que plus vite elle se laisserai examiner plus vite ce serait terminé. En même temps elle lui retirait le soutien-gorge que mon épouse laissa échapper comme hagarde, sans cette fois prendre la peine de cacher sa poitrine. Ses deux seins un peu tombants se balancèrent quand Catherine voulut empêcher l'infirmière qui s'était penchée de s'attaquer à sa culotte tout en lui disant que l'examen était entièrement nu.

Cette fois excédé j'allais rentrer quand quelqu'un m'a agrippé et m'a ramené en arrière. Une femme en blouse blanche de forte corpulence , une autre infirmière qui me demanda si c'était mon épouse . En un coup d'œil elle compris la situation.

"Votre femme ne savait pas que c'était une consultation devant les internes , c'est ça "

J'acquiesçai et en regardant à nouveau par la vitre elle ajouta :

"la pauvre , comme elle est embarrassée"

Je lui demandais si il fallait vraiment qu'elle se mette entièrement nue et elle me répondit que c'était la règle pour ces consultations mais elle ajouta aussi qu'il n'y avait jamais de femme qui venait à ces consultations.

Je faisais en sorte en même temps de jeter des coup s d'œil à travers la vitre pour apercevoir cette fois Catherine qui portait sa main à son front tandis que l'infirmière descendait sa culotte a ses pieds alors qu'un clameur montait de la salle. L'infirmière m'a alors entrainé hors du vestibule m'expliquant qu'il était préférable que je n'en vois pas plus d'autant qu'elle avait senti que je voulais intervenir. Mais je suis revenu en arrière pour apercevoir une dernière fois Catherine debout entièrement nue de plus placée face à la salle que le professeur palpait tout en s'adressant aux étudiants. Elle avait les yeux fermés submergée par la honte.

Cette image est restée gravée dans ma mémoire. Cette fois l'infirmière m'a poussé et m'a conduit dans une pièce à coté en me disant d'attendre là ma femme qui devait arriver par une porte attenante.. La porte qu'elle m'avait montré n'avait pas de poignée mais je compris qu'elle donnait sur la salle et sans doute sur l'estrade. Au travers j'entendais la voix du professeur et celle de Catherine, il lui disait de faire tel mouvement ou de se retourner. J'ai cru entendre Catherine le supplier de pouvoir se rhabiller et de nouveau des rires.

Finalement des bruits de pas et de mouvement m'ont fait comprendre que c'était fini . La porte s'est ouverte , c'était Catherine complètement bouleversée. Elle avait renfilé sa robe mais tenait dans ses mains avec son manteau et son sac, ses collants, sa combinaison et son soutien-gorge. J'ai compris qu'elle avait du remettre culotte et robe en vitesse. Comme on entendait les étudiants qui sortait dans le couloir voisin, on s'est bien gardé de bouger pour ne pas les croiser. Catherine me montra les larmes aux yeux le certificat griffonné par le médecin et elle m'avoua après coup qu'une fois en combinaison et avoir voulu s'enfuir , c'est à moitié consciente qu'elle avait vécu la suite de son strip-tease pour finalement se retrouver nue et morte de honte. Le pire pour elle aura été d'être alors ainsi examinée devant tous les étudiants qui la fixait avec avidité. On n'a plus jamais reparlé ensuite de ce terrible rendez-vous au CHU mais cette douloureuse expérience méritait je crois d'être racontée ici.