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Vues: 9582 Created: 2007.07.30 Mis à jour: 2007.07.30

Solange et Ingrid

Solange et Ingrid

Solange roulait en voiture dans les rues pratiquement désertes d'Ivry. Elles s'arrêta devant un pavillon, dans une allée résidentielle bordée de platanes. Sultan, le berger allemand, jappa en sautant de joie derrière le portail du jardin. Solange le caressa pour le calmer. Le chien finit par regagner sa niche, prêt néanmoins à ressortir au moindre signe d'encouragement. Yoshiro, I'étudiant au pair, apparut sur le seuil du pavillon. Sa silhouette frêle était moulée dans un pantalon noir et un léger pull-over ras du cou de la même couleur. Avec son visage toujours sérieux, ses grosses lunettes et ses cheveux très bruns, coupés en bol, il faisait plus vieux que ses vingt ans. Il s'inclina devant Solange en demandant si elle avait passé une bonne soirée.

—Excellente, Yoshiro, merci. Quoi de neuf depuis hier ?

—Votre amie est arrivée comme prévu. Elle n'était pas au courant de vos instructions. l'ai dû la forces un peu.

—Ne vous inquiétez pas. Je m'en occupe tout de suite.

Solange passa dans sa chambre. Debout devant la coiffeuse, elle examina son visage avec complaisance. Hormis ses traits tirés et de légers cernes sous les yeux, personne n'aurait deviné qu'elle venait de passer toute une nuit à s'amuser. Elle avait fait connaissance avec un attaché d'ambassade d'un pays africain. Ils s'étaient isolés en pleine obscurité, dans la parc. Le Noir l'avait baisée contre un arbre, la robe troussée jusqu'aux aisselles.

Elle se déshabilla entièrement. Une forte odeur de sexe montait de son entrejambe. Les lèvres roses de son sexe bâillaient, luisantes de mouille. Elle effleura son bas ventre du bout des doigts. Les poils renaissants crissaient sous ses ongles. Il faudrait qu'elle s'épile de nouveau.

Solange sortit d'un tiroir de la coiffeuse un flacon en cristal taillé. La fiole était remplie d'un liquide huileux à l'odeur forte. Elle s'en enduisit le visage en insistant sous les yeux et autour des ailes du nez. Ses cernes s'éclaircirent rapidement et sa peau prit une teinte veloutée.

Elle se massa rapidement les seins avec le liquide. Elle s'attarda plus longtemps sur son sexe, passant les doigts entre ses grandes lèvres. Incapable de maîtriser son excitation, elle se masturba en pinçant son clitoris jusqu'à crier de plaisir.

Quand elle eut retrouvé son souffle, elle revêtit un maillot une-pièce, en cuir noir, laissant nu ses bras, ses jambes et ses épaules. Elle enfila une paire de bottes d'équitation et quitta la chambre.

Dés qu'elle eut ouvert la porte matelassée de l'escalier de la cave, Solange fit la grimace. Les hurlements d'Ingrid étaient effroyables. Solange descendit calmement les marches .En l'apercevant Ingrid cessa net de hurler. Elle était écarlate. Ses cheveux blonds pendaient en désordre autour de sa figure. Elle avait les poignets enserrés dans un double bracelet de cuir suspendu à une poulie par un câble. L'appareil l'obligeait à se tenir cambrée comme une ballerine, les bras tendus vers le plafond. Ses vêtements étaient froissés. Elle semblait à bout de nerf, le visage crispé par l'angoisse. Des traces de larmes marquaient ses joues. Elle avait dû tirer de toutes ses forces sur ses liens. Ses poignets étaient irrités sous les bracelets de cuir.

Dans son état, elle ne remarqua pas la tenue bizarre de Solange. D'une voix hystérique elle lui cria de la délivrer tout de suite.

—Il faut absolument prévenir la police ! Ton domestique japonais est devenu complètement fou ! C'est lui qui m'a attachée.

Solange lui posa la main sur un sein. Elle le palpa à travers le chemisier. Elle sentait au bout des doigts les battements du cœur de son amie. Il cognait lourdement, à un rythme précipité.

—Calme-toi ! Que d'histoires pour une petite farce de rien du tout !

Ingrid en resta muette de stupeur. Elle ne retrouva sa voix qu'au moment où Solange lui glissa une main dans le chemisier.

—Une farce ? Tu parles sérieusement ? Mais tu es devenue folle toi aussi...

Du ton indulgent dont on use avec une petite fille qui ne comprend rien, Solange lui expliqua que Yoshiro avait agi sur son ordre.

—Je voulais te montrer ma cave spéciale. Voilà, c'est fait. Qu'est-ce que tu en penses ? Toi qui aimes les émotions fortes, tu es servie, non ?

Folle de rage, Ingrid hurla qu'elle voulait quitter sur le champ cette maison de dingues et ne plus jamais y remettre les pieds. L'air narquois de Solange redoubla sa fureur. Elle se suspendit à la corde qui la retenait, se contorsionna comme une folle en essayant d'arracher la poulie fixée au plafond. Devant l'impuissance de ses efforts, elle se remit à crier à tue-tête.

—Détache-moi tout de suite...

Solange la laissa s'égosiller en lui caressant les seins. Quand sa victime cessa de vociférer, prise d'une quinte de toux, elle reprit son sermon du même ton indulgent.

—Te voilà bien avancée. De toutes façons, cela ne sert à rien de hurler. Cette cave est parfaitement insonorisée.

Comprenant que la colère ne servirait à rien, Ingrid essaya d'attendrir Solange en éclatant en sanglots. Entre deux reniflement bruyants, elle la suppliait de la détacher. Elle essaya le ton badin.

—Tu m'as bien eue. On va partir d'ici et on rira de ta farce en prenant le thé comme d'habitude.

Sans l'écouter, Solange ouvrit un placard. L'intérieur du meuble était garni de râteliers où pendaient des fouets et d'autres instruments du même genre. Solange choisit un martinet à neuf queues. Elle s'approcha d'Ingrid qui la contemplait bouche ouverte en roulant des yeux affolés.

—Regarde ! Ces lanières sont spécialement étudiées pour faire mal sans laisser de traces. C'est l'instrument idéal pour les jeunes et jolies bourgeoises comme toi. On peut les fouetter sans que leur mari s'en aperçoive.

Ingrid supplia son amie de cesser ce jeu stupide et de la détacher tout de suite. Oubliant sa dignité d'adulte âgée d'une trentaine d'années, elle ressemblait à une fillette injustement punie. Son corps, petit mais trapu, était épanoui comme celui d'une femme faite, mais sans excès. Ses seins étaient tendus sous un chemisier blanc. Solange lui caressa la joue.

—Te souviens-tu de ce que je t'ai dit l'autre jour? Si tu veux être mon amie, il faudra te plier à tous mes caprices.

Ingrid baissa les yeux. Solange la tenait. Elle n'avait eu aucun mal pour subjuguer cette jeune femme désœuvrée et délaissée qui recherchait depuis longtemps une consolatrice. Peu à peu elle avait accentué son emprise sur elle, se montrant de plus en plus exigeante. Sans presque s'en apercevoir, Ingrid était passée de l'état d'amie de cœur à celui d'esclave.

Solange lui déboutonna le chemisier.

—Non, je t'en prie ! Pas ici, pas comme ça. Laisse-moi partir ! Mon mari va bientôt rentrer. S'il ne me trouve pas à la maison, il va être furieux.

—Mais non ! Tu lui téléphoneras pour lui expliquer que tu passes la soirée chez une amie. Qu'y- a-t-il de mal à ça ?

Ingrid resta muette. Solange la contourna pour lui soulever les jupes. Les fesses d'Ingrid débordaient d'une petite culotte noire. Le tissu soyeux du sous-vêtement faisait ressortir la blancheur laiteuse de la peau. Solange claqua sèchement le derrière de son amie qui poussa un cri aigu. La marque de ses doigts s'imprima en rouge sur une fesse.

—Pourquoi as-tu mis une culotte ?

Avec une voix d'enfant grondée, Ingrid expliqua que c'était la faute de Yoshiro.

—Il s'est jeté sur moi dès que je suis arrivée. Je n'ai pas eu le temps de retirer ma culotte.

—Ce n'est pas ici qu'il fallait l'enlever. Je veux que tu sortes de chez toi le cul nu.

Solange leva son martinet et l'abaissa d'un coup sec.

Les lanières se déployèrent en bouquet au bout du manche avant de s'abattre en travers des cuisses d'Ingrid qui sursauta en hurlant. Les bras tendus vers le plafond, elle ne pouvait esquiver les coups. Le martinet dessinait des sillons rougeâtres sur ses cuisses et ses fesses mal protégées par la fine culotte de soie. Le fond du slip lui entrait dans la raie et sa croupe se trémoussait dans tous les sens.

Solange frappait méthodiquement, faisant claquer les lanières sur la peau blanche et grasse. Ingrid pleurnichait mais ses sanglots paraissaient forcés. Une lueur trouble dans les yeux, elle supplia son bourreau d'une voix fluette.

—Arrête, arrête ! Je ne le ferai plus. Je ne mettrai plus de culotte pour venir.

Solange la savait à sa merci Elle lui toucha le sexe à travers la culotte avant de la détacher. Ingrid se frotta les poignets en grimaçant.

—Mon Dieu ! Qu'est-ce que mon mari va dire ?

—Ne fais pas la sotte. Tu vois bien qu'il n'y a aucune marque. Allez, déshabille-toi.

Ingrid jeta un regard trouble à Solange. Elle acheva de déboutonner son chemisier. Ses gros seins serrés dans un soutien-gorge noir s'étalèrent. Solange manifesta son impatience en cinglant ses bottes avec le martinet.

—Dépêche-toi, sinon je vais te fouetter de nouveau pour te donner du nerf.

Ingrid se déshabilla rapidement. Solange l'arrêta au moment où elle s'apprêtait à retirer sa culotte. Ingrid resta bras ballants, le corps cambré. Ses seins aux larges aréoles et aux pointes épaisses se balançaient lourdement au rythme de sa respiration. Solange lui caressa les mamelons.

—Il y a quelque chose que je ne comprends pas. Tu dis que ton mari est jaloux. Pourtant tu te plains tout le temps qu'il ne s'occupe pas de toi.

Ingrid expliqua avec embarras que son époux était très autoritaire et vieux jeu. I1 la considérait en fait comme une femme de ménage dont la conduite devait toujours être irréprochable.

—Il a horreur du scandale. Pourtant je suis sûre qu'il baise ses secrétaires. Mais s'il apprend que j'ai une aventure de mon côté, il en fera tout un drame.

—Oh le vilain égoïste ! Nous allons bien nous amuser toutes les deux pour nous venger.

Solange ponctua sa phrase en donnant un léger coup de martinet sur les tetons d'Ingrid. Elle lui montra un vieux seau hygiénique posé à même le sol, dans un coin de la cave.

—Assieds-toi là !

Devant la menace du mardnet, Ingrid s'exécuta docilement. Solange l'obligea à écarter les cuisses, une fois installée sur le scau. La culotte se tendit à craquer sur le ventre de la jeune femme. Les contours du sexe se dessinèrent sous le tissu.

—Et maintenant, puisque tu m'as désobéi, tu vas souiller ce ridicule morceau de chiffon que tu as entre les jambes. Pisse !

—Mais tu es folle !

Ingrid cria quand le martinet mordit la peau blanche et tendre de ses seins. Elle porta d'instinct ses mains à sa poitrine. Solange visa les cuisses et frappa plus fort.

La jeune bourgeoise blonde fit un bond sur le seau.

—Oh non, pitié, ça fait trop mal.

—Alors,obéis !

Le visage rouge,les yeux pleins de larmes, Ingrid

contracta son ventre. Une large tache humide s'étala sur le fond de la culotte. La pisse coula de part et d'autre de la bande de tissu, tomba au fond du seau avec un bruit cristallin. La tête basse, les mains crispées sur ses seins, Ingrid dut se vider jusqu'à la dernière goutte. Quand elle se releva, sa culotte se trouvait dans un état pitoyable. Le tissu imbibé laissait échapper des gouttes de pisse qui lui coulaient sur les cuisses et lui tombaient entre les jambes, formant une flaque sur le sol.

Solange l'obligea à jeter au fond du seau le sous-vêtement réduit à l'état de chiffon.

—Cela t'apprendra à mettre une culotte.

Elle la poussa vers l'escalier. Ingrid la supplia de la laisser se rhabiller.

—Ton domestique va me voir toute nue.

—Mais tant mieux. Cela lui fera une distraction. Allez, remonte les marches lentement en écartant tes fesses avec les mains

Ingrid refusa, offusquée à l'idée de se montrer nue devant Yoshiro. Elle prit un air terrorisé quand Solange leva le martinet.

—Non ! Non !

Elle agrippa les deux lobes de son derrière. Sa raie des fesses s'ouvrit largement. le fond était tapissé d'un duvet doré, plus sombre autour de l'anus. Elle leva la jambe droite pour la poser sur la première marche. Son anus s'évasa, montrant un peu de chair rose au centre.

—Dis-donc, tu es bien ouverte ! Qui t'a élargie de cette façon ?

Ingrid se cambra, sans lâcher ses fesses. Son anus

bâilla de plus belle. Elle remua un peu, faisant s'ouvrir et se refermer le trou strié en étoile. Tout autour, les poils dorés étaient luisants de sueur. Les marques rouges des coups de martinet s'estompaient, remplacées par celles de ses doigts. Elle tira un peu plus ses fesses sur les côtés et répondit d'une petite voix.

—Arrête de te moquer de moi. Tu sais très bien que c'est toi. Tu m'enfonces ton horrible godemiché dedans chague fois qu'on se voit.

—C'est moi ? Tu es sure '? Ne bouge pas.

Solange enfonca son index dans l'anus ouvert. Elle griffa doucement la chair moite, du bout de l'ongle. Ingrid se crispa puis s'amollit. Elle monta les marches une à une, en se dandinant pour s'empaler le plus possible sur le doigt de Solange.

Yoshiro suivait d'un regard absent une mouche qui voletait en bourdonnant à travers la cuisine. La chaleur l'engourdissait. I1 vida sa canette de bière et retourna au salon. D'un geste machinal il toucha sa joue gauche, là où le coup de griffe d'Ingrid était caché sous un sparadrap.

Il lisait, assis dans le grand canapé, quand la porte s'ouvrit. I1 ne vit d'abord que le corps nu d'Ingrid, puis son regard de haine. Les lèvres du sexe bâillaient entre les poils aux reflets roux. L'étudiant demanda d'un ton courtois à Solange s'il ne devait pas se retirer.

—Pourquoi ? Vous ne nous dérangez pas.

Elle poussa Ingrid devant le canapé. La jeune bourgeoise gardait les yeux baissés. Sur un ordre de Solange, elle écarta les jambes. Le visage de Yoshiro se trouvait à la hauteur de son bas- ventre. L'étudiant parut perdre un peu de son impassibilité. Solange donna une tape sur les fesses d'Ingrid qui tendit le bassin en avant. Un peu de mouille suinta entre les lèvres épaisses de son sexe qui s'étaient écartées davantage.

—Qu'est-ce que vous en pensez, Yoshiro ? Elle est très velue pour une blonde, n'est-ce pas ?

—Je ne saurais vous dire, madame. Je manque d'expérience.

—Eh bien régalez-vous avec cette petite salope. Vous pouvez toucher.

Yoshiro tendit la main vers le sexe d'Ingrid qui eut un mouvement de recul aussitôt sanctionné par un coup de martinet.

—J'espère que cela ne vous dérange pas si je lui tanne les fesses ?

—Je trouve au contraire que c'est amusant.

Ingrid parut outragée pendant que l'étudiant lui touchait le sexe. I1 tira sur les poils pour ouvrir la vulve. Se penchant en avant, il examina les profondeurs intimes d'Ingrid. Avec le pouce il caressa le clitoris. Elle eut un mouvement de reins involontaire. S'enhardissant, Yoshiro lui écarta les nymphes pour bien dogager l'entrée du vagin. Il se redressa, essuya avec son mouchoir la mouille qui couvrait ses doigts.

—Votre amie est très excitée, madame. Son sexe est très mouillé.

—Vous allez en profiter mais d'abord réglons un petit problème.

Solange poussa Ingrid vers un guéridon où était posé un téléphone. La jeune femme dut appeler son mari et lui dire qu'elle se trouvait chez une amie. Pendant qu'elle s'expliquait, Solange lui cinglait les cuisses et les fesses, faisant rougir la peau blanche. Ingrid essayait d'éviter les coups en balançant les fesses à droite et à gauche de façon tout à fait obscène. Elle semblait faire l'amour sur place avec un partenaire invisible. Quand elle eut raccroché, Solange la ramena devant Yoshiro.

—Ce soir c'est votre jouet. Vous pouvez en faire tout ce que vous voulez.

Ingrid baissa les yeux. Elle avait la figure rouge mais ses pointes de sein ressemblaient à des tétines de biberon tant elles étaient gonflées. L'étudiant la fixait, semblant étudier son corps. Au bout d'un moment, il l'obligea à se tourner et à se plier en deux. Ingrid prit la position sans rien dire, même quand elle dut écarter les jambes et s'ouvrir les fesses avec les mains. Yoshiro examina avec attention la raie du cul de la jeune bourgeoise. Il la força à creuser les reins pour bien montrer son anus. I1 paraissait très excité.

—Dans mon pays les femmes ne supportent pas qu'on les touche à cet endroit.

—Faites tout ce dont vous avez envie.

Yoshiro quitta le salon. Ingrid voulu se redresser. Solange la rappela à l'ordre, d'un coup de martinet.

—Personne ne t'a autorisée à te relever !

Elle lui donna un nouveau coup de martinet pour faire taire ses protestations. Ingrid se frotta les fesses en reniflant.

Yoshiro revint au bout d'un moment en portant un pot de chambre. Il avait placé à l'intérieur du récipient un broc à lavement d'où émanait une légère buée. Ingrid se mit à crier d'une voix aiguë qu'elle avait horreur de ça. Solange se moqua d'elle.

—Tant pis pour toi. Maintenant tu auras droit à un lavement à chacune de tes visites.

Yoshiro posa le pot hors du tapis, au milieu de l'espace carrelé s'étendant devant la cheminée. Il essuya ses lunettes d'un geste nerveux.

—Vous vous demandez sans doute pourquoi tout ça, madame?

Solange hocha la tête. L'étudiant expliqua que, quand il était tout jeune, il avait vu sa mère infliger des lavements à une sœur plus âgée que lui. L'air penaud de celle-ci l'excitait sans qu'il sache pourquoi. Depuis, c'était devenu une véritable obsession qu'il ne pouvait vivre que très rarement. Solange caressa les fesses d'Ingrid.

—Tu vois, tu vas aider Yoshiro à réaliser son rêve. C'est très gentil.

Ingrid protesta d'une voix plaintive. Solange l'obligea à marcher pliée en deux jusqu'à l'endroit où se tenait l'étudiant. Elle dot ensuite poser son front sur le linteau de la cheminée basse. Ses fesses se trouvaient placées plus haut que sa tête. Elle exhibait en même temps son sexe et son anus. La chair rose et humide de sa vulve faisait contraste avec la peau très blanche de ses cuisses.

Yoshiro déroula le tuyau de caoutchouc avec fébrilité. Ingrid eut un petit sursaut quand il lui enfonça la canule d'ébonite entre les fesses. Elle se mit à gémir lamenta blement au moment où l'eau du lavement s'écoula dans son ventre en chuintant.

—Oooh c'est atroce ! J'ai le ventre enflé. Je ne supporte pas ça !

—Qu'est-ce que ça devait être, alors, quand tu étais enceinte de ton fils.

Yoshiro tenait le broc à hauteur de ses yeux. Son visage jaune safran luisait.

—J'ai mal, madame. Cela m'excite trop.

—Sortez donc votre sexe. Cela ira mieux.

La queue de l'étudiant se détendit comme un ressort dès qu'il eut ouvert sa braguette. Solange la prit dans la main. Elle l'encercla entre le pouce et l'index. Yoshiro et elle avaient couché ensemble quelques jours seulement après l'arrivée de l'étudiant. Il en était ainsi de tous les employés de maison, hommes ou femmes, qui passaient chez elle. Cette fois pourtant, le sexe du jeune Japonais semblait plus gros et plus dur. Il la supplia de le lâcher parce qu'il ne voulait pas jouir trop vite.

Malgré sa position inconforiable, Ingrid se dandinait. Le tuyau rouge sortant de ses fesses remuait comme une excroissance bizarre. Un gargouillis annonça que le broc était complètement vide. Le ventre enflé d'Ingrid pendait vers le sol. Solange le palpa sans douceur.

—Te voilà devenue une grosse salope, à présent. Yoshiro, enlevez-lui le tuyau, qu'elle puisse se redresser.

L'étudiant retira la canule. Solange s'amusa à voir Ingrid contracter les fesses. Elle l'obligea à se relever et à faire quelques pas de long en large. Ingrid marcha maladroitement en tenant son ventre à deux mains.

—Je ... je crois que je vais tout lâcher.

—Si tu le fais, je te fouette jusqu'au sang. Accroupis-toi.

Ingrid se baissa maladroitement. Son ventre distendu l'obligeait à écarter les cuisses comme une grenouille. Sur un signe de Solange, Yoshiro se mit devant elle. Comprenant ce qu'on lui demandait, elle se mit à le sucer. Il se crispa, s'efforçant visiblement de ne pas jouir tout de suite. Sa verge apparaissait et disparaissait tour à tour comme un bâton de cire jaune entre les lèvres rouge foncé d'Ingrid. Il cria, un instant plus tard, le corps raidi.

La jeune femme lui lâcha le sexe. Elle essuya d'un coup de langue quelques gouttes de sperme qui maculaient le tour de sa bouche.

Yoshiro retrouva très vite son souffle. II se rajusta.

—Si vous permettez, madarne, je crois que...

—Ah non, vous ne partez pas maintenant... Toi, la grosse salope, mets-toi à quatre pattes.

Ingrid s'empressa d'obéir à l'ordre de sa maîtresse.

Solange l'obligea à écarier les genoux et a creuser les reins jusqu'à ce que son ventre demeure le sol carrelé. Elle se plaignit de nouveau qu'elle ne pourrait pas retenir le lavement. Solange fit claquer avec impatience les lanières du martinet contre ses bottes.

—Arrête de gémir comme une fillette, c'est agaçant !

Yoshiro tenez-lui le pot sous les fesses. Si elle laisse tomber une seule goutte dehors, elle la lèchera.

L'étudiant glissa le récipient entre les cuisses d'Ingrid.

Celle-ci lâcha les vannes. L'eau brunâtre du lavement gicla entre ses fesses avant de tomber dans le pot. Ve temps en temps, malgré tous ses efforts, elle laissait échapper un jet plus puissant qui frôlait dangereusement les bords du vase de nuit. Quand elle fut entièrement vidée, elle s'allongea à plat ventre, le corps parcouru de frissons. Solange l'obligea à se remettre à quatre pattes.

—Enculez-la !

L'étudiant prit Ingrid par les hanches. Sa queue entra sans forcer dans l'anus élargi par le gode. Ingrid gémissait, le corps secoué par les coups de reins du jeune Japonais. Le lavement semblait avoir accru la sensibilité de son anus.

Solange se débarrassa de sa combinaison de cuir. Elle s'accroupit devant Ingrid, offrant son sexe à la jeune femme. Celle-ci se mit à la lècher avidement…