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Vues: 12260 Created: 2007.11.06 Mis à jour: 2007.11.06

Soumission Medicale

Soumission Medicale

A la fin de l'été dernier des amis m'avaient parlé d'un Maître qui recherchait une jeune fille pour des jeux médicaux et de soumission. Une obéissance totale était exigée. J'ai pris rendez-vous par téléphone: je devais me rendre à 15 heures précises dans un appartement du centre de Nice.

L'immeuble était cossu. À l'étage indiqué, aucun nom sur la porte. C'est un jeune homme âgé d'une vingtaine d'années, blond et plutôt beau garçon, qui m'a ouvert la porte. À l'intérieur m'attendait un homme de quarante ans environ, en blouse blanche. Très intimidée, je me suis demandé si j'avais bien fait devenir. L'homme en blanc m'a fait remarquer que j'avais trois minutes de retard. "Pour cela, m'a-t-il dit, vous serez punie. Mon assistant vous donnera la fessée, comme à une gamine désobéissante."

Je me suis sentie rougir jusqu'aux oreilles... Le jeune homme m'a prise par la main et m'a conduite derrière un fauteuil. Il m'a ordonné de m'appuyer sur le dossier. J'ai été prise d'un tremblement que je n'ai pas pu contrôler. Des mains ont relevé ma robe très lentement et sont descendues à hauteur de l'élastique de ma culotte, qui a été baissée jusqu'aux genoux. Je sentais l'air caresser mon derrière exposé aux regards des deux hommes. Ils m'ont dit de répéter: "Pour mon retard, je mérite d'être fessée..." La fessée a commencé. Elle fut brève et peu douloureuse. J'ai compris que l'on voulait surtout me faire sentir ma soumission et m'humilier. Lorsque les claques ont cessé, les deux hommes m'ont laissée cinq bonnes minutes ainsi, croupe offerte.

A près m'avoir rhabillée, ils m'ont ordonné de me relever et de les suivre. J'ai été conduite dans une autre pièce, un cabinet médical. Au centre: une table d'examen. Ordre me fut donné de me déshabiller entièrement. Les deux hommes me regardaient. J'étais très troublée, je devais certainement être rouge de confusion. C'était surtout le regard du jeune homme qui me gênait.

Je me suis retrouvée toute nue. Instinctivement j'ai mis une main devant mon sexe. L'homme en blanc m'a dit de mettre les mains sur ma tête. J'ai dû tourner sur moi-même pour bien me montrer, puis marcher devant eux, me pencher en avant.

Une cuvette en aluminium était posée à mes pieds et j'ai dû m'accroupir devant eux les jambes écartées. J'étais morte de honte. On m'a fait boire. Ils m'ont ordonné de me caresser dans cette position. Dans le silence de la pièce on pouvait entendre le bruit de mes doigts dans ma chatte mouillée. Le jeune homme regardait mes cuisses ouvertes. C'était terriblement humiliant.

Ensuite, ils m'ont ordonné de m'allonger sur la table d'examen. Le plus âgé des deux a pris un thermomètre. Ils m'ont fait tourner sur le côté et m'ont écarté les fesses. Un doigt est passé sur mon anus qui s'est crispé malgré moi. Le thermomètre m'a pénétrée profondément. J'ai vu le jeune homme prendre un bock à lavement. C'était l'horreur: après la température, une autre humiliation ! J'ai dû me mettre à quatre pattes, croupe levée, les avant-bras à plat sur la table d'examen. Mes fesses sont écartées, on me touche l'anus, on le gratte on le titille, on le doigte.

Humiliant et excitant. Je me sens mouiller malgré moi. Introduction de la canule. L'eau est in jetée, elle envahit mes intestins. Ils ont retiré la canule, et je n'ai pas pu m'empêcher de péter.

Quelle honte! Les deux hommes ont ri.

J'ai dû garder le lavement un temps qui m'a paru une éternité et, enfin, j'ai été autorisée à aller I'expulser. J'ai traversé la pièce pour aller aux toilettes, nue avec mon ventre enflé, devant les deux hommes moqueurs. À mon retour, ils m'ont couchée sur le dos, les pieds dans les étriers de la table d'examen, cuisses béantes. Tout était exposé: mon sexe et mon anus. Les deux hommes m'ont dévorée du regard. Ils m'ont ouverte, fouillée, doigtée, et m'ont contrainte à me masturber devant eux. Morte de honte mais excitée comme une folle, j'étais trempée. Mes jambes ont été remontées le plus haut possible: le jeune homme a sorti sa verge dressée et m'a enculée d'un seul coup. Après quoi, j'ai été renvoyée sans un mot.

Véronique, 26 ans, Cannes