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Vues: 4414 Created: 2007.08.21 Mis à jour: 2007.08.21

Temoignages de Clysterophiles

Temoignages de Clysterophiles

Agé de 31 ans, j'ai toujours eu une attirance pour le lavement sans oser m'y adonner jusqu'alors. Récemment, j'ai cependant franchi le pas. Je suis d'abord allé acheter une poire chez la pharmacienne du coin, achat qui m'a un peu mis dans l'embarras. J'ai noté une certaine surprise sur son visage, mais je suis reparti avec l'objet convoité.

Arrivé chez moi, j'ai fait bouillir de l'eau et l'ai laissée refroidir jusqu'à environ 38 . Le moment de passer aux actes arriva. Je pris le nécessaire et me rendis dans la chambre. Je me mis entièrement nu et m'allongeai sur le lit. Puis je m'injectai lentement deux poires environ, soit à peu près 600 cc.

Je dois dire que les sensations ne m'ont pas déçu. Au bout d'une dizaine de minutes, je ressentis une espèce de gêne, comme un point. J'ai gardé encore un peu le lavement, puis, avant que l'arrivée trop pressente ne se fasse sentir, je me suis rendu aux W.C., où encore une fois les sensations furent vraiment très agréables.

Je pensais le rendre en une seule fois mais, par la suite, je suis retourné trois fois encore à la selle. J'ai remarqué que ma température avait augmenté de deux ou trois dixièmes. L'opération terminée, je me suis réellement senti très bien. J'aimerais aussi y amener mon épouse.

J.G., Roubaix

Ma femme et moi sommes ce qu'on appelle des clystérophiles. En effet, j'éprouve un plaisir extraordinaire à me faire administrer (ou à m'administrer) des lavements d'eau tiède dans le rectum. Je pratique ces séances (une ou deux fois par mois) avec ma femme, qui a pris connaissance de mes penchants un jour où, m'ayant laissé seul pour faire des courses, elle rentra plus tôt que prévu et me découvrit, nu, et en pleine séance.

Une fois la surprise passée et mes explications reçues, elle s'amusa de la chose et voulut participer à ces séances en m'administrant elle-même ces lavements. Jusqu'à présent, je me suis cantonné à un volume d'un litre, mais nous avons lu récemment, que certains clystérophiles entraînés atteignaient (et dépassaient) trois litres! Mais, est-ce vrai? Naturellement, j'aimerais augmenter les volumes sans toutefois dépasser un seuil de douleur trop perceptible.

Voici maintenant quelques précisions sur la manière dont nous organisons ces séances. Nous commençons toujours par plusieurs petits lavements d'un demi-litre, afin d'expulser toute matière présente dans le gros intestin. Puis, ma femme augmente progressivement le volume jusqu'à un litre, afin de n'obtenir que l'expulsion d'une eau presque claire.

Je précise aussi que je n'utilise plus la petite canule traditionnelle, mais un long tube en caoutchouc souple, dont j'introduis vingt-cinq centimètres environ dans l'anus (je me suis aperçu que le lavement était mieux reçu dans ce cas, et permettait d'absorber plus de liquide) J'ajoute que nous sommes très méticuleux sur le matériel qui est rigoureusement nettoyé avant et après chaque séance. Nous terminons alors par une dernière injection (toujours d'un litre) que je conserve ensuite pour faire I'amour à ma femme. J'obtiens ainsi un plaisir violent dans l'orgasme qui suit, surtout qu'à chaque mouvement, j'ai pu sentir la masse du liquide remuer dans mon bas-ventre.

J'aimerais aujourd'hui augmenter le volume d'eau du lavement. Bien sûr, il sera alors certainement nécessaire de changer notre façon de faire l'amour après de telles séances (on doit quand même être moins agile avec plus de trois litres d'eau dans les intestins). Le très classique « 69 » sera parfaitement adapté à ce genre de situation (avec naturellement ma femme en position supérieure). Nous sommes parfaitement conscients du côté « SM , de ces séances, mais cet aspect ne nous préoccupe nullement !

Mr et Mme L., Paris