Depuis mon enfance, je suis hanté par des fantasmes médicaux. J'ai le souvenir qu'à chaque fois que j'étais malade, ma mère me conduisait à l'hôpital où une infirmière à un certain moment, m'écartait les fesses pour m'introduire un thermomètre ou un suppositoire dans le derrière…

Ce n'est que bien plus tard que j'y ai trouvé une source d'excitation et de fantasmes. C'est lorsque l'une de mes petites amies de l'époque avait attrapé une méchante grippe et qu'elle m'a demandé de prendre sa température que j'ai ressenti une terrible excitation. Je suis allé chercher le thermomètre dans la pharmacie et quand je suis revenu dans la chambre à coucher le thermomètre à la main, elle a naturellement baissé sa culotte et elle s'est retournée, pour se coucher sur le ventre. Je me souviens qu'à ce moment, j'ai eu du mal à dissimuler une énorme érection. Je me suis assis sur le bord du lit, j'ai enduit le thermomètre de salive, j'ai écarté ses fesses pour introduire lentement et profondément l'instrument lubrifié dans son petit anus. Cinq minutes plus tard, je l'ai retiré doucement de son derrière en m'apercevant que la pauvre avait 39 et une méchante grippe.

Ce n'est que récemment que je me suis aperçu que je prenais autant de plaisir à prodiguer des "soins" médicaux qu'à en recevoir, lorsque j'ai été hospitalisé 3 jours dans une clinique pour y subir une petite opération de l'abdomen. L'infirmière du service du soir, était une petite brune de 25 ans, mignonne et très attirante et j'ai très rapidement fait en sorte de sympathiser avec elle. Le lendemain de l'opération, j'ai été pris de douleur post opératoire et après en avoir fait part à mon médecin, l'infirmière est arrivée dans ma chambre 30 minutes plus tard. Elle m'a dit qu'elle allait me donner un analgésique et quand elle a ouvert la boîte de médicament, je me suis rendu compte que c'était des suppositoires. Elle s'est assise sur le bord du lit, elle a enfilé un gant en latex et m'a demandé de me tourner sur le côté. Elle a écarté mes fesses et il s'est passé 15 secondes avant qu'elle ne se décide à m'introduire le médicament.

Quand je me suis remis sur le dos, je bandais comme un âne, j'étais très gêné et elle m'a gentiment dit que ça pouvait arriver! Le lendemain soir, elle est revenue comme d'habitude, mais j'ai compris que l'expérience de la veille avait passablement dû l'exciter, quand elle m'a demandé de rester sur le dos et de lever mes jambes. Elle a enduit son doigt ganté de lubrifiant, elle a doucement soulevé mes bourses d'une main et m'a enfoncé le suppositoire dans l'anus en m'introduisant toute la longueur de son doigt. Ma verge était bien sûre entiérement dressée et à ma grande surprise elle a laissé son doigt planté profondément au fond de mon anus. Sans rien dire, elle a enduit mon gland de d'un gel lubrifiant et elle s'est mise à me masturber doucement. Le sperme a giclé dans tous les sens quelques secondes plus tard. Elle m'a nettoyé et elle a quitté la chambre sans rien dire...Je ne l'ai jamais revue par la suite.

Si seulement toutes les infirmières étaient comme ça...

i_like_it55@hotmail.com