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Vues: 18716 Created: 2007.09.26 Mis à jour: 2007.09.26

Un Clystère Pour Jeanine

Un Clystère Pour Jeanine

Jeanine est une jeune fille qui découvre bien des plaisirs en compagnie de ses copains un peu plus agés...

Georges me dépose sur le sofa et il s'absente. Hervé et Albert viennent me butiner de concert. Ils sont très excités. Quelques instants après, Georges réapparaît. Il porte un appareil qu'il dépose, couvert d'une serviette, sur une petite table. Je le reconnais bien car maman m'en a fait souvent subir.

Dans la salle d'eau il va chercher le nécessaire et les accessoires: vaseline, lingettes, serviette, tampons...

- Qu'est-ce que c'est? je demande effarée en me levant.

Je devine que c'est pour mon cul. Il n'y a pas de doute.

- Un clystère! répond, calme, Georges. Comme la fessée, le clystère peut avoir un but médical, punitif ou érotique. Or, rassure-toi, celui-ci n'a pas un but médical, ni punitif, quoique tu le mériterais!

- Mais moi, j'en veux pas! m'écriais-je. Je n'admets pas! Je ne permets pas qu'on me traite de la sorte!

- Doucement, petite fille! me dit calmement Georges. Il y a un instant tu acceptais que Hervé te mette la langue dans le cul! Tu le traitais de cochon en disant que c'est sale. Voici le moyen de nettoyer! Après un petit clystère Hervé peut tenir le pari. Tu ne vas pas me dire que t'as jamais subi de lavements?

- Oui! Par maman!

- Vois-tu? Ce n'est pas la merde à boire! s'écrie Georges en reprenant l'expression d'un ano- nyme russe du XXe siècle!

- Non! Comme tu dis! répondis-je. Mais ça donne des coliques!

- Comment te le donne ta mère?

- Elle me couche sur ses genoux... Oh! C'est désagréable! J'ai honte!

- Mais non! Mais non! Ce n'est pas désagréable. Tu t'y feras et tu le trouveras agréable! Rappelle-toi, Janine, il y a une quinzaine de jours, je t'ai donné, pour rigoler, une petite fessée. T'as crié. Mais t'as fini par trouver existante la posture et la fessée même! Pour le lavement, c'est pareil. Tu ne pourras plus t'en passer!

- Je vais perdre toute ma faune intestinale! dis-je.

- Mais non, petite fille, ne dis pas des mots plus grands que toi-même. Le lavement que je t'administrerai est de l'eau bouillie, stérilisée. Il n'y a ni savon, ni huile... rien que de l'eau claire. Juste pour rincer le rectum. Certes, puisque l'eau pénètre à rebours, c'est forcé que je taraude un peu les intestins... C'est justement là le plaisir... un peu de sadomasochisme!

- Qu'est-ce que c'est? je m'enquis.

- Rien! Je t'expliquerai après... Le plaisir par la souffrance...

- Brrr! fis-je.

En me dégageant d'Hervé et d'Albert, j'allai de près considérer la chose. Dans le bock, il n'y avait guère qu'un litre d'eau. La canule en caoutchouc rouge ne dépassait pas les trois mètres. Le bec en bakélite noire était muni d'un robinet. C'était l'exacte réplique de celui que me faisait d'habitude subir maman.

Je pris d'une main le petit prépuce en bakélite et je le considérai. La pointe était légèrement renflée, avec un trou. Je l'imaginais enfoncé dans mon derrière en train de faire gicler son eau dans mes boyaux et, instinctivement, je serrais les miches.

Ployée, la jupe légèrement retroussée pour avoir été lutinée par mes copains, je ne me doutais pas du spectacle que j'offrais: mon popotin faisait délicieusement saillie!

Je me retournai. Un peu anxieuse, je m'enquis:

- Qui va me clystériser?

- Ça sera moi! répondit Georges. J'aime sentir frétiller sur moi le bassin d'une petite fille!

Je m'en doutais, que Georges voudrait être le premier à me faire subir un lavement. C'était le spécialiste de mon derrière.

il continuait, comme pour m'effrayer:

- Les petites filles remuent des fesses quand on les clystérise! Elles pleurent et font pipi dans la culotte! - Oui! renchérit Hervé. Rien qu'à entendre parler de clystère, elles pissent d'affres!

- Pourtant, ça ne doit pas faire souffrir... intervint Albert. Un petit machin plus mince que mon petit doigt... Dans un orifice bien lubrifié, même en serrant les miches, il doit pénétrer sans difficulté. Pas besoin d'écarteler les fesses!

- Bon! m'écriais-je. Si vous croyez me faire peur avec vos histoires de brigands, vous gaspillez votre souffle!

" Allons, je suis prête! Georges, viens me clystériser, qu'on en finisse vite! "

Et, jupe retroussée, je me dirigeais vers la chambre.

- De quoi? De quoi? s'écria Hervé. Je suis le principal intéressé. C'est moi qui dois te mettre la dans le cul. Je veux être sûr qu'il sera bien nettoyé. J'ai le droit d'assister à la clystérisation et de contrôler!

- Mais!... Mais!... m'écriais-je, désemparée, et je me tournai vers Georges.

- Il a raison! départagea Georges. Il a le droit d'être présent.

- Mais j'ai honte! Oh! non. Oh! non. Je veux bien, mais pas devant tout le monde...

Pour toute réponse, Georges s'assit sur une chaise en me tenant fermement par un bras.

Malgré mes protestations, il me prit par la taille et, sans brusquerie, me ploya. J'étais un jouet dans ses mains. Il n'eut aucune difficulté à me coucher à plat ventre sur ses genoux et à me retrousser la jupe jusqu'aux épaules.

- Voilà! dit-il. C'est dans cette position que maman clystérise sa petite fille!

Je me couvris le visage par la honte.

- Regarde-toi, bébé, regarde-toi, comme il est beau ton petit derrière!

- Albert aussi reste ici?

- Mais bien sûr, petite fille! répondit Georges. On est quatre copains. Pourquoi veux-tu priver un seul d'entre nous du spectacle? La clystérisation est un spectacle hautement érotique! Tu verras, en tournant la tête légèrement, tu peux assister à toutes les phases du spectacle. Tu seras en même temps actrice et spectatrice!

" Regarde-toi dans le miroir de l'armoire derrière toi. Regarde comment ta petite culotte blanche moule ton adorable petit derrière. Il faut être sans cœur pour priver de la vue de cette chose divine un seul de tes copains! "

Avec une lenteur calculée, il s'attaqua à l'élastique de ma culotte et la baissa presque jusqu'aux genoux.

- La petite fille n'a pas envie de faire pipi avant de commencer?

- Non! répondis-je.

Mais en réalité, je commençais à en avoir envie. Je me retenais en songeant que Georges me ferait faire pipi devant tout le monde.

Il me lubrifia l'orifice. Je vis le petit prépuce noir, luisant, passer de la main d'Hervé à celle de Georges et je frissonnai. Puis, tout doucement, il le pointa vers mon anus qu'il maintenait ouvert de deux doigts. Je sentis le contact chaud et dur. Je sentis le petit prépuce forcer légèrement mon anus et s'y encastrer. Je le sentis pénétrer et, en dépit de ma volonté, je commençai à geindre.

Il avançait lentement en moi. Je le sentais comme s'il avait fait partie de mon être, comme s'il eut été doté de nerfs aboutissants à mon cerveau.

- Voilà, il est entré! m'annonça Georges.

Il entreprit de me caresser les fesses. Je me regardais à la dérobée au miroir. Avec cette canule aboutissant au mur, j'étais parfaitement indécente. J'avais honte de moi-même et je commençais à gigoter.

- Qu'y a-t-il? me demanda Georges.

- Je voudrais faire pipi! Répondis-je à mi-voix en larmoyant.

- Il fallait y songer avant! Je t'avais demandé. Maintenant, c'est trop tard!

- Mais puisque t'as pas ouvert le robinet!... Tu peux le retirer...

- Non! il sortirait sale. Alors, tout serait à recommencer!

- Mais j'ai envie ! Je ne peux plus me retenir! Je vais pisser sur toi...

Hervé s'offrit:

- Je vais m'en occuper. Je vais faire faire pipi à la petite fille!

il s'agenouilla derrière moi et il prit mon coquillage dans sa bouche.

Je me soulageai sans retenue. Je crois que, pour une fois, j'ai eu autant de plaisir que lui à accomplir cette besogne que je jugeais sale!

- Bon! T'es prête? me demanda Georges. Alors, tu crânais il y a un instant? Quoi, on a peur d'un peu d'eau tiède? Alors, on y va?

- Allons-y! répondit pour moi Hervé.

Albert vint se placer devant moi, à genoux, et me prit les lèvres.

Lentement, Georges ouvrit le robinet.

- Aïe! criai-je en m'étirant toute.

La giclée commençait à pénétrer dans mon rectum.

- Ne bouge pas! me conseilla mon clystérisateur. N'essaye pas de la faire sortir, autrement on va te tenir. Il ne faut pas jouer à la petite fille !...

- C'en est une! affirma Albert, comme pour le rappeler à ses copains. Janine n'a que treize ans!

- Bon! A treize ans, un peu d'eau tiède dans le cul ne lui fera pas de mal!

Maintenant le lavement ayant rempli mes boyaux commençait à me labourer les flancs, à me tarauder les entrailles. J'avais déjà envie d'aller à la selle! Mais mon tortionnaire ne semblait pas s'émouvoir de mes affres et de mes contorsions.

- Il y en a encore beaucoup? m'enquis-je, anxieuse.

- Hé pardi! On vient juste de commencer!

- J'en peux plus! C'est affreux!

- Ah! ma petite, rien à faire! il faut le subir jusqu'à la dernière goutte! Un litre à peine, tu peux le supporter!

- J'ai peur qu'il sorte... avec la pression que me fait le lavement!

- Rassure-toi, bébé, il ne peut pas sortir. Le bec est bien encastré dans ton cul. Si je ne le tire pas dehors, même la pression du lavement ne pourra pas le faire sortir.

Il disait, mais sans doute il dut comprendre qu'ayant les boyaux trop pleins, je finirais par expulser le bec... Alors, il me serra les miches avec ses doigts, tout en me maintenant enfoncé de force le pal dans le cul.

Hervé vint soulever la canule rouge afin que le liquide s'écoule normalement.

- Voilà, petite fille, jusqu'à la dernière goutte! Ce beau cu-cul avait vraiment soif!

Il ne me fit pas grâce d'une seule goutte!

Souffrante, gémissante, le ventre en ébullition, j'étais comme tétanisée: incapable de bouger.

Avec une précaution infinie, Georges me retira le pal de l'anus, en me maintenant les fesses serrées pour que je ne perde pas une seule goutte du lavement. Et avec les mêmes précautions, il le remplaça par un tampon, un de ceux qu'on emploie généralement en l'introduisant dans le vagin pour absorber le sang des règles. Puis en me tenant les miches serrées dans une serviette pour plus de sécurité, il me porta sans que mes pieds touchent le sol jusqu'aux toilettes.

Le tampon gorgé d'eau avait gonflé, me bouchant le rectum, mais il ne fallut que quelques contractions du sphincter pour que l'eau l'expulse.

Le pet fut violent.

J'étais comme malade.

Georges me caressait la tête et la figure que j'appuyais contre ses cuisses.

Bien que très jeune, je comprenais quel plaisir avait dû prendre Georges à me clystériser. Ses caresses qui n'avaient rien d'érotiques disaient bien par leur spontanéité sa gratitude pour lui avoir servi de jouet.

On s'habitue également au clystère. Et il vous en faut toujours davantage. Il faut, aujourd'hui plus qu'hier, que vous vous tordiez, les entrailles taraudées par le lavement!

D'un litre, j'étais passée à la " dose majorette ", comme la définissaient mes copains : un litre et demi...

Et voilà que d'un litre et demi, je passais en un rien de temps à deux litres.

Un demi-litre, ce n'est rien! Mais quand il s'agit de le faire entrer dans des intestins déjà pleins à bloc, même un demi-décilitre est effarant et vous avez l'impression d'éclater ou de vous noyer...