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Vues: 5446 Created: 2007.09.25 Mis à jour: 2007.09.25

Une Infirmière Attentionnée

Une Infirmière Attentionnée

Je m'appelle Adèle et je suis infirmière dans un hôpital de la région parisienne. Agée de 39 ans et divorcée depuis quelques années, je compense mon appétit sexuel en ayant des relations avec quelques médecins du service mais aussi avec certains patients. De temps en temps, il m'arrive de prendre en bouche quelques malades bien bâtis mais le petit jeu que je préfère, c'est l'introduction du thermomètre. Amoureusement, complaisamment, je le plonge, le retire, le remets. Je le fais coulisser, aller et venir, avec délectation.

Je me souviens d'un beau garçon de 18 ans, aux fesses douces comme du velours. Quand je lui ai annoncé que j'allais prendre sa température rectale, il a paniqué un peu. Je l'ai prié de baisser son pyjama, de me montrer sagement son anus, que je puisse m'exécuter. Il rechigna un brin pour la forme ? j'en suis sûre et certaine - histoire de faire semblant d'avoir peur. En vérité, il était impatient de se laisser faire. J'ai enduit le thermomètre de vaseline. J'ai écarté largement ses fesses et j'ai enfoncé l'engin fort loin, mais très délicatement. Mon malade a commencé à bander énormément. Je lui demandai de serrer les miches et de se laisser aller. Il faut dire que, de la main gauche, je maintenais mon thermomètre dans son trou bien ouvert tandis que de la main droite, je lui caressais le zizi et I'entrecuisse.

Le jeune garçon devenait comme fou. Il était excité par mes attouchements et mes paroles obscènes.

"Si tu montres la moindre velléité de révolte, je te frotte les parties avec des orties. Je te passe les couilles au cirage. J'introduis une couleuvre vivante dans ton cul..." Il devenait comme fou, excité par mes attouchements et mes paroles obscènes.

Parfois j'ai mes coups de folies: prendre, par exemple, la température à des jouvencelles que j'allume par mes conseils: "Tends-moi ton joli cul ! Ne sois pas si prude! Attends, il faut que je l'enfonce plus profondément... Ouvre bien ta raie. Ecarte tes fesses avec tes mains... Offre-toi un peu plus... Ça va te faire du bien. Dis donc, t'es bien foutue, toi! Tes copains, ils ne doivent pas s'embêter..." Des fois, ça les fait rire, mais certaines, ça les fait mouiller. D'où je suis placée, je le vois comme aux premières loges!

Un jour, un jeune homme a bougé pendant l'opération. Je lui introduisais l'engin et il s'est reculé. Il criait comme s'il avait très mal. La moutarde m'est montée au nez Pour lui faire peur, je lui ai dit : « La prochaine fois, je te plante mon doigt dans le cul et je le tremperai avant dans l'eau de Cologne. Tu sauras ainsi au moins pourquoi tu pleures»

Parfois, j'essuie un refus mais il m'arrive aussi de dresser certaines croupes récalcitrantes. Un jour, une jeune fille rechigna à me montrer docilement son gros derrière. Elle faisait sa mijaurée. Je l'ai fessée jusqu'à ce que les hémisphères de son fantastique fessier deviennent rouges comme des tomates. Elle se résigna enfin, me tendant gracieusement son cul bien écarlate, s'empalant presque sur mon instrument. Pendant ce temps, sa perfusion s'écoulait lentement de la poche suspendue au dessus du lit.

Le mois dernier, j'étais mécontente d'un jeune homme, beau comme un dieu, qui travaille dans un célèbre magasin des Champs-Elysées. Je devais lui faire un lavement et il gigotait comme un bébé en gémissant. Je lui ai ordonné d'aller aux toilettes. "Evacue et reviens quand tu seras calmé !" Il revint, honteux comme une poule déplumée. Il s'étendit sur l'alaise du lit et me présenta à nouveau son cul qui n'était plus récalcitrant, bien dompté, bien décidé à affronter le pire et la poire. Il ne perdait rien pour attendre. Son derrière n'en finissait pas de se tendre. Après le long tuyau et le bock à injection, je pris une grosse poire. Son cul était bien fendu, percé au bon endroit.

Sans ménagement et très rapidement, je lui enfonçai l'embout et je lui injectai par deux fois de l'eau légèrement savonneuse. Il supporta un lavement de deux litres. Son ventre se gonflait comme une outre, mais il ne pipait mot, souffrant silencieusement pour expier sa première incartade.

Il serrait les dents, mais heureusement pas son cul. Quand il revint des toilettes, il me réclama encore un surplus de liquide, mais je lui dis: "Ça sufit pour aujourd'hui! Nous reprendrons ça un autre jour."

Parfois, pour décontracter mes patients les plus excités, je leur offre une petite récompense: "Mets-toi à genoux, comme pour faire la révérence, le cul bien tendu. Après les soins, tu pourras me lécher en signe de soumission et d'amitié pour me montrer que tu as apprécié mes services. Décontracte-toi! Ça va forcément te chatouiller un brin là où tu penses."

Cette semaine, un superbe Antillais est arrivé dans mon service. Son corps n'a déjà plus de secret pour moi, mais j'attends avec impatience le moment où je vais pouvoir lui enfoncer ma petite queue remplie de mercure…

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FDN33 Il ya 4 ans