Mon nom est Agnès et j'habite Namur. L'année dernière, j'ai dû consulter un médecin parce que j'avais du sang dans les selles. J'ai quarante ans, et jusqu'à présent, mes visites chez le médecin se sont limitées à des visites gynécologiques pour ce qui est de mon intimité. Je me suis donc rendue à la consultation d'un spécialiste.

Après m'avoir questionnée, il m'a demandé de me déshabiller et de me mettre à genoux sur la table d'examen. Je me sentais très gênée, surtout par la présence d'un étudiant qui n'allait rien perdre de ses gestes, et par celle d'une assistante. C'était une jeune femme d'une trentaine d'années, très jolie, mais dont le regard inquisiteur ne me mettait pas en confiance.

Le docteur me demanda de me mettre sur mes coudes. J'avais gardé mon slip J'écartai alors les jambes au maximum. Je sentais tous les regards braqués sur moi, mais le docteur, derrière moi, me parlait très doucement. Il me dit de me décontracter, que ce ne serait pas douloureux. Je me sentais grotesque, mais j'essayais de relâcher les muscles de mon sphincter. Je sentis alors les mains douces qui baissaient mon slip, et un doigt qui me massait doucement l'anus avec un produit gras. Puis, sans me faire mal ce doigt s'introduisit dans l'anus, très lentement et profondément, et tourna dedans dans tous les sens.

C'était une sensation toute nouvelle pour moi, car jamais je n'avais laissé mon mari me manipuler de ce côté. Le doigt se retira, puis un objet dur et froid le remplaça. Je vis l'assistante lui passer un long tube métallique. qu'il introduisit. La honte me fit devenir toute rouge. Après avoir retiré les instruments, le docteur dit à l'assistante de terminer pendant qu'il expliquait à l'étudiant lès manipulations qu'il avait faites.

La fille mit alors un doigtier de caoutchouc qu'elle enduisit de pommade. Son doigt me massa de nouveau l'anus, et pénétra en moi. Elle le retira plusieurs fois pour me mettre de la pommade. Je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle y prenait plaisir vu la douceur de ses mouvements. Cela ajouta encore à ma confusion, mais je dois avouer que je n 'aurais cédé ma place à personne d'autre en cet instant.

Je suis alors sortie avec ma prescription de pommade. Rentrée chez moi, j'ai voulu faire ma première application. Je n'avais pas du tout l'habitude, alors je me suis accroupie au-dessus d'un miroir, je voyais bien l'anus, mais je ne parvenais pas à enfoncer mes doigts assez loin. pour que la pommade pénètre vraiment en profondeur. J'ai alors expliqué la chose à mon mari qui se fit un plaisir de m'aider. A ma surprise, il eut des gestes aussi doux que le médecin, et il prit lui aussi plaisir à la chose, tant et si bien que sa verge se durcit et qu' il eut le besoin pressant de se soulager en me l'introduisant dans l'autre trou.

Comme nous étions tous les deux satisfaits de ce traitement, il me proposa de mettre généreusement de la pommade sur la verge, et de me l'introduire. J'ai accepté l'expérience, pour constater que c'était parfaitement voluptueux. Mon mari s'est délesté d'une bonne décharge de sperme, et j'ai eu peur que les effets de la pommade s'en fassent ressentir.

- Ce n'est rien, on va faire un petit lavement pour le faire partir et nettoyer le tout, et on remettra de la pommade.

Il est alors allé chercher un antique bock dans la salle de bain, celui dont je me servais avant la pilule pour mes douches vaginales il y a mis de l'eau tiède, et me l'a amené.

- Mets-toi à quatre pattes sur l'essuie...

Il m'a alors introduit la canule, et a ouvert le robinet. Quelle sensation délicieuse !

Les glouglous de l'eau me faisaient gargouiller dans tout le ventre. Je me sentais follement excitée, à tel point que j'ai supplié mon mari de m'introduire à nouveau sa verge pendant ce temps. Je suis restée dans la même position, et lui, qui s'était mis à rebander devant mon excitation, s'est introduit en moi. Au premier claquement de son ventre contre mes fesses, à peine introduit en moi, j'avais un orgasme d'une violence telle que la sonde m'est sortie de l'anus, et que toute l'eau que je contenais est ressortie sous le relâchement de mon orgasme. J'étais très gênée, car mon intestin n'était pas parfaitement propre, mais mon mari m'a dit qu'on allait s'organiser la prochaine fois, et que cela n'arriverait plus.

Je me sentais à nouveau très amoureuse de lui, comme au début de notre mariage quand nous découvrions ensemble les plaisirs de l'amour.

La fois suivante, c'est-à-dire le soir même, nous nous sommes organisés. Je me suis installée dans la baignoire, et mon mari a introduit à nouveau la canule. Il a mis la pomme de la douche dans le bock pour qu'il ne manque pas d' eau, pour pouvoir me remplir au maximum. Je ne sais pas quelle quantité j'ai ainsi reçue, comme je l'évacuais au fur et à mesure, mais cela devait être énorme.

Nous avons fait un nouveau jeu. La sonde bien enfoui, on laissait couler l'eau en moi sans discontinuer, et quand j'avais vraiment l'impression d'éclater, je la lâchais en poussant le contenu le plus loin possible. Cette décharge, aidée par quelques coups de butoir de mon mari, me faisait jouir instantanément.

Nous sommes devenus tous les deux de vrais amateurs, et mon mari a accepté également de recevoir des charges dans l'anus. Nous avons même fait l'amour chacun avec une canule dans le cul, l'intestin se remplissant mutuellement. C'était aussi délicieux pour lui que pour moi. Maintenant, nous concevons difficilement l'amour autrement que de cette façon !