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Vues: 3775 Created: 2007.10.22 Mis à jour: 2007.10.22

Un Infirmier Soigne une Belle Rousse

Un Infirmier Soigne une Belle Rousse

Je suis infirmier et célibataire, pour l'état civil du moins, j'ai vingt-neuf ans. Un soir, en repassant au cabinet en fin de journée, je tombe sur une collègue catastrophée il vient de lui tomber sur le nez des problèmes insolubles de garde d'enfants. Je lui propose de la remplacer, à charge de revanche plus tard. Elle me donne alors sa fiche où sont notées ses visites du lendemain.

Le lendemain matin, à huit heure quinze, je me présente à la porte de Madame Christine X, dans un immeuble très correct. Une ravissante rousse vient m'ouvrir en robe de chambre et en pantoufles. Je lui explique que je viens à la place de ma collègue mais je sens chez la belle rousse une certaine gène. Elle me fait entrer dans la cuisine, tout est prêt sur la table, l'eau tiède, le bock, la canule. Il ne me reste plus qu'à sortir un tube de vaseline pour préparer cette dernière et a remplir le bock. Je demande alors tout à fait innocemment Si la personne, à qui le lavement est destiné est prête. J'ai cru que le ciel me tombait sur la tête quand je l'ai entendu me répondre : " mais c'est pour moi " d'une voix tremblante d'émotion.

Afin de masquer mon propre trouble, je suis devenu très professionnel : je lui ai demandé s'il y avait quelqu'un avec elle pour faire les papiers. "tout à l'heure", c'est-à-dire après le lavement mais je n'osais plus prononcer le mot. En effet, il faut savoir qu'après le lavement le patient doit rester allongé le plus longtemps possible avant d'aller aux toilettes et que l'infirmière n'attend pas.

La patiente m'a alors répondu : "Non, je suis toute seule, mon mari a emmené les enfants chez ma mère et est allé à son bureau mais je vais vous régler tout de suite, comme ca vous pourrez partir."

Je comptais tomber sur une mémé bien gentille. et c'est une rousse bien roulée, bien appétissante, émue et désirable que j'allais devoir " soigner "... On règle donc la paperasse, et maintenant plus moyen de reculer, il fallait y aller...

Je prends le bock à la main et elle, en détournant les yeux me dit : "Je passe devant. Je fais comme hier avec votre collègue." Je réalise à peine ce qui m'arrive. Bientôt elle va devoir... Je vais lui… Je suis ému. Rétrospectivement je crois que je ne l'ai jamais été autant.

Nous arrivons dans la chambre et là, je ne suis pas au bout de mes surprises : ma " patiente enlève sa robe de chambre et apparaît en chemise de nuit très légère qui lui arrive à peine aux genoux et qui met en valeur un corps superbe, déjà bien bronzé. Elle est un peu grassouillette mais juste ce qu'il faut. Elle s allonge sur son lit, dans la position rêglementaire que ma collègue a du lui expliquer (sur le cote les genoux pliés) et relève alors sa nuisette sur les reins. Elle m'offre une superbe paire de fesses, bien galbées et fermes, bien en évidence par leur blancheur qui contraste avec le reste du corps. Au recto, c'est sa toison abondante de vraie rousse qui se détache de sa peau claire. Elle me dit d'une voix timide " Ca y est, vous pouvez commencer... "

Et oui, j'allais pouvoir commencer mais à ce moment-là, j'ai bien cru que j'allais tomber dans les pommes tellement j'étais secoué par le spectacle et par ce que je devais faire... Je me suis mis au travail, en tâchant de ne pas trembler : J'ai posé le bock sur une chaise à côté du lit, puis une pince spéciale sur le tuyau pour couper l'arrivée de l'eau (la canule avec petit robinet n'existe plus, maintenant on utilise une canule jetable). J'ai pris la canule de la main droite et je me suis penché sur les superbes fesses qu'on me tendait. De ma main disponible je les ai écartées pour faire apparaî-tre son anus. D'un geste souple mais ferme j'ai enfoncé d'un seul coup la canule, ce qui lui arraché un petit gémissement et immédiatement j'ai retiré la pince pour laisser passer l'eau.

C'est alors que j'ai posé la question rituelle: "Ca va, vous sentez l'eau qui arrive ?" Elle m'a répondu oui de la tête et la séance a continué. Dans un tel cas ce n'est pas le moment de tenir une conversation mondaine. Je me suis alors assis sur la chaise en tenant le bock à la bonne hauteur et deux fois j'ai arrêté l'eau avec ma pince pour renfoncer légèrement la canule et la faire pivoter un peu afin de faciliter l'arrivée de l'eau j'ai bien senti que ces mouvements gênaient ma patiente qui avait adopté une attitude un peu moins absente.

Le lavement se terminait. Elle m'a demandé s'il m'arrivait souvent de donner un lavement à une jeune femme comme elle et si cela m'excitait toujours autant, tout en regardant fixement ma braguette. Je ne pouvais contenir mon excitation. Je n'ai rien répondu et je me suis contenté de retirer la canule d'entre ses deux fesses et de lui demander si elle avait des coliques. EIle m'a répondu : Oui. ça commence, tenez, touchez mon ventre... Elle m'a pris ma main, l'a placée sur son ventre, puis brusquement l'a fait descendre sur sa toison : elle était encore plus émoustillée que moi. Ses poils hérissés dégageaient bien sa vulve toute chaude et humide. Elle m'a sussuré alors dans un souffle : " Caresse-moi, gros nigaud, tu vois pas que j'ai envie de toi ? " J'ai posé mon matériel et je me suis penché sur elle. Elle s'était allongée sur le dos, m'offrant ainsi une vue superbe de son corps.

J'ai écarté ses jambes et je me suis mis à la caresser avec ma bouche. Je lui ai fait un cunnilingus superbe, superbe parce qu'immédiatement elle a commencé à se tordre et à gémir. En moins de trois minutes, elle a eu un magnifique orgasme son corps a été agité de violents spasmes puis s'est raidit d'un coup. Quand tout a été fini, elle m'a attiré à elle et s'est mise à m'embrasser furieusement sans se rendre compte que ma bouche ruisselait encore de ses sécrétions intimes très abondantes. Entre deux baisers elle répétait que c'était trop bon, que c'était la première fois.

" Je vais te remercier, prends-moi maintenant " et elle a mis la main à ma braguette pour défaire mon panta-lon. Elle s'est alors souvenu qu'elle avait un litre d'eau dans le ventre et m'a dit " Installe-toi dans le lit. je reviens tout de suite. Inutile de dire où elle allait.

Un moment après, j'ai entendu le bruit de la chasse, puis celui du bidet qu'on emplit. Elle a fait sa petite toilette intime et la porte s'est ouverte. Elle était nue et splendide. Son corps grassouillet et bronzé me semblait encore plus désirable. Je n'oubliais pas qu'il y a une heure je ne la connaissais pas et qu'il y a un quart d'heure j'étais en train d'enfoncer la canule dans son petit trou. Elle m'a rejoint au lit et elle a tenu sa promesse : elle baisait comme une reine Puis il a fallu repartir, j'ai rangé mon matériel et je l'ai laissée, bien à regret.

Depuis, chaque matin, je regarde sur ma fiche de rendez-vous s'il n'y a pas par hasard un lavement à aller donner à une patiente, sait-on jamais…