Je m'appelle Sandrine et j'ai 32 ans. Je connais Bernard depuis un mois environ; un dimanche après-midi, il vient me voir; il a l'air bizarre.

Il sort de son sac un gros injecteur vaginal qu'il vient d'acheter dans une pharmacie; il m'avoue qu'il souhaiterait me donner un lavement.

Il remplit l'injecteur d'eau tiède et s'approche de moi; je remarque qu'il bande pendant qu'il m'enduit l'anus de crème; il me demande de cambrer un peu les reins; quelque chose de dur et de chaud s'introduit dans mon anus, cela fait moins mal qu'une verge et devient même très excitant au moment où je commence à sentir la chaleur du liquide envahir mon bas-ventre.

Quand il ne reste plus de liquide, Bernard ne me retire pas la canule de l'anus; il me fait placer sur le côté et s'étend face à moi sur le lit; il me presse contre lui; je sens sa verge tendue entre mes cuisses; à l'aide d'une main, je guide son membre vers l'orifice de mon vagin, je sens qu'il s'enfonce dans ma vulve; il a l'air d'y prendre un grand plaisir; je pense qu'il doit sentir tout près de sa verge la présence de la canule dont les 20 centimètres sont toujours enfoncés en moi; je lui caresse les testicules; je sens une de ses mains me tâter l'anus puis donner un mouvement de va-et-vient à la canule.

Je voudrais qu'il continue à l'agiter ainsi; mais il retire l'instrument et dégage son pénis de mon vagin; je me lève pour passer à la salle de bains.

Cela semble l'exciter, il me plaque soudain contre la paroi carrelée du mur de la salle d'eau; je sens sa verge entre mes fesses; je veux me dégager mais il me serre fort; il cherche à enfoncer son membre. Je sens les premières giclées de sperme jaillir entre son gland et les plis de mon anus; il réussit pourtant à l'enfoncer; j'attends qu'il ait terminé d'éjaculer...