Anonymous


Vues: 4903 Created: 2007.08.05 Mis à jour: 2007.08.05

Vive Le Lavement

Vive Le Lavement

Mon nom est Michel, je suis de Louvain. Sans être homophile, j'ai toujours aimé me faire enculer pendant que je faisais l'amour. Je crois que c'est le massage de la prostate que cela procure qui me fait tant jouir pendant qu'on me fourre un doigt ou un objet dans le cul pendant que je tringle.

Je suis tombé sur une fille qui me fait voir toutes sortes d'arcs en ciel, parce que pendant que je la baise, elle me fait vraiment l'amour par derrière avec un vibromasseur. Cela ne l'empêche pas de jouir, au contraire, elle me dit qu'elle se sent un vrai mâle pendant qu'elle me bourre avec son outil. Parfois, elle se met derrière moi, se met un godemichet autour de la taille et se met à me tringler, tout en se masturbant. Quel panard elle prend, et moi, je me tiens bien la queue pendant les manoeuvres, et je crache des litres le moment venu.

La dernière fois, elle me dit qu'elle va me mettre un bock. Là dessus elle arrive avec un pot plein d'eau tiède, qu'elle suspend à un clou dans la salle de bain. Au bout du tuyau, une canule qu'elle me met dans le cul. Elle se couche alors dans la baignoire, et pendant que je l'enfile, elle me met la canule et laisse couler le truc.

A mesure que je me remplissais, j'entendais les glouglous dans ma panse, et plus mon ventre était plein, plus ma queue était dure. Je n'en pouvais plus, j'avais pris deux litres dans les tripes et je criais grâce. La fille se roulait toujours en dessous de moi, et c'était difficile de lui résister et d'arrêter mes mouvements. C'était bon et dégueulasse en même temps, car à la limite du supportable.

A ce moment là, elle me dit "Lâche donc tout, n'aie pas peur..."

Au moment où elle achevait Sa phrase, j'ai poussé. De toutes mes forces, j'ai poussé la canule hors de moi et elle s'est mise à tourbillonner dans l'air, pendant qu'un jet me sortait du cul et inondait la pièce.

- Mets-en donc sur moi... me dit la fille.

J'en avais eu l'idée, mais je n'osais pas. Comme il me restait encore pas mal dans les tripes, je me suis accroupi sur elle, et je me suis vidé sur elle. Au début, c'était de l'eau mais après ça de la merde coulante, puis plus consistante. Cela puait épouvantablement dans la pièce. J'étais gêné, mais ma queue se refaisait une belle durcissure. Car j'ai oublié de dire que pendant que je poussais la flotte de mon cul, mon foutre me quittait en même temps! Son ventre était plein de mes déjections, et elle, elle s'en barbouillait partout, et elle m'en mettait sur la poitrine avec son doigt. Je l'ai de nouveau farcie comme ma queue retrouvait de l'allure, et on a remis ça. Après, on s'est douché et il n'est plus resté de traces de nos ébats.

J'attends avec impatience de la revoir, car une séance pareille, cela vaut le déplacement!