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Vues: 4837 Created: 2007.09.09 Mis à jour: 2007.09.09

Mme Ravier "Gurit" la Gourmandise d'une Cliente

Mme Ravier "Gurit" la Gourmandise d'une Cliente

Dès les premiers beaux jours, de nouvelles clientes affluaient à l'institut. Il s'agissait de femmes désireuses de perdre leurs rondeurs superflues avant l'été. Le salon ne désemplissait pas pour les séances d'amincissement. Même à cette époque les femmes les plus obsédées par leur ligne étaient celles qui avaient le moins de poids à perdre. Il fallait en voir certaines monter sur le plateau de la balance avec la peur au ventre. Quelques unes en fondaient en larmes. Je me souviens de Nathalie une jolie fille de vingt-cinq ans au corps de Sylphide. Mme Ravier et moi nous lui avions fait tout essayer: le drainage lymphatique, les ionisations, les crèmes... pendant des semaines. Elle n'arrivait pas à perdre les deux kilos qui l'obsédaient. Et pour cause puisqu'ils existaient surtout dans son imagination.

Ce jour là elle est entrée dans la cabine des soins du corps en se plaignant qu'elle n'arriverait jamais à faire fondre les bourrelets disgracieux qu'elle voyait autour de ses hanches. Elle se sentait d'autant plus désemparée qu'elle se mariait dans deux mois. Mme Ravier l'a invitée à se peser.

- Oh ce n'est pas la peine, a balbutié la jeune femme. Je sais bien que je n'ai pas perdu un gramme.

- Nous verrons bien, allons! Nathalie s'est déshabillée avec un air de martyre pendant que je préparais la balance. Elle n'était pas grosse du tout, simplement un peu rondelette sur les hanches avec de gros seins et des fesses joufflues. Son visage poupin rougissait à tout propos. Ses yeux bleus à l'expression candide et ses dessous blancs en broderie anglaise accentuaient son air juvénile. Elle a grimpé en soupirant sur le plateau de la balance. Et a paru accablée quand j'ai annoncé son poids. Mme Ravier a consulté sa fiche.

- C'est incroyable! Vous avez pris deux cents grammes malgré la crème que je vous ai donnée. Vous l'avez passée tous les soirs comme je vous l'avais recommandé? Nathalie a fait oui d'un signe de tête, trop accablée sans doute pour parler. Elle gardait la tête basse comme Si une chape de plomb pesait sur ses épaules. Mme Ravier a eu un sourire pincé dans son dos.

- Vous n'avez pas respecté votre régime, n'est-ce pas? Inutile de mentir. La balance vous accuse. Nathalie avait vraiment l'allure d'une gamine que l'on gronde. Elle a avoué en reniflant qu'elle avait craqué pour quelques pâtisseries. Mme Ravier s'est assise, sans pouvoir cacher la jubilation que lui causait l'attitude contrite de la cliente.

- Des pâtisseries? Et moi qui m'échine a satisfaire votre désir de maigrir. C'est à se demander Si vous en avez vraiment envie.

- Oh, je vous en prie! Il faut absolument que je perde ces bourrelets. Vous pourriez tester sur moi cette nouvelle crème amincissante dont vous parliez la dernière fois. Ma patronne a secoué la tête en disant que c'était inutile. Il fallait dans son cas un traitement plus éner-gique pour la guérir de sa gourmandise, la vraie source de tous ses maux.

- Je... je m'en remets à vous, a fait la jeune femme. Mme Ravier a insisté. Il ne s'agissait pas d'accepter puis de reculer au dernier moment. Nathalie a juré de lui obéir en tous points. Ma patronne lui a ordonné de se déshabiller complètement pour évaluer l'étendue des dégâts. La cliente a ôté son soutien-gorge, libérant ses seins ronds et lourds légèrement tombants, surmontés de larges aréoles brunes. La peau de ses mamelons s'est fripée au contact de l'air frais. Elle a fait glisser son slip le long de ses jambes dodues. Son ventre s'ornait d'une grosse touffe de poils noirs au milieu desquels pointaient les lèvres de son sexe, épaisses et longues. Mme Ravier a tourné autour d'elle, une grande règle à la main. La jeune femme semblait de plus en plus gênée, juchée sur le plateau de la balance comme sur un piédestal, sous le regard sans indulgence de deux consœurs habillées. Ma patronne lui a tapoté les deux fesses en même temps. Puis elle lui a remué les seins par en dessous avec la pointe de la règle.

- Voilà où sont les deux cent grammes que vous avez pris. Et ou se trouve le reste. Nathalie a gémi de honte. Elle ne suscitait pas la pitié pourtant. Bien au contraire son air timide et coupable donnait envie de se montrer cruelle avec elle. Mme Ravier cinglait son abondante poitrine de plus en plus fort, laissant des marques rouges sur la peau laiteuse. Les tétons s'allongeaient et se redressaient. La passivité de la jeune femme face à ce traitement cruel ne pouvait s'expliquer que par le plaisir pervers qu'elle en retirait. Une cliente ordinaire n'aurait certainement pas supporté le comportement de ma patronne.

Délaissant les seins, Mme Ravier a donné un violent coup de règle sur le derrière de Nathalie.

- Allons mademoiselle! Je vais vous punir de votre gourmandise. Mains sur la tête et descendez de votre perchoir. Vous allez marcher de façon à ce que j'évalue l'emplacement de vos rondeurs. Nathalie a fait docilement le tour de la table qui encombrait le centre de la pièce. Sa position, mains sur la tête, faisait saillir sa poitrine. Mme Ravier ne se privait pas de lui fouetter les seins à toute volée avec la règle. Cela faisait un bruit flasque et les deux masses gélatineuses ballottaient sous les coups.

Quand la jeune femme est arrivée devant le grand miroir, Mme Ravier l'a obligée à sautiller sur place. Je la voyais de dos avec ses fesses dodues qui se crispaient et se relâchaient sous l'effort. Elle n'arrêtait pas de gémir.

Mme Ravier, la sentant sans doute bien en main, l'a obligée à marcher à quatre pattes autour de la pièce. Ses gros seins se balançaient lourdement au gré de sa démarche, effleurant le sol carrelé de leur pointe. Ses fesses s'ouvraient, dévoilant sa raie poilue, la rondelle bistre de son anus et la naissance de sa chatte. Mme Ravier m'a prise à témoin.

- Est-ce qu'on ne dirait pas une grosse truie qui s'empiffre et amasse du lard toute la journée? J'ai acquiescé pendant que Nathalie pleurnichait de honte. Ma patronne l'a fait monter sur la table de massage en la stimulant à coups de règle. Quand Nathalie a levé la jambe pour se hisser j'ai vu les languettes rouge sang de ses nymphes pendre entre les lèvres de son sexe. Une fois en place, elle a caché son visage entre ses avant-bras. Mme Ravier lui a posé la règle en travers des reins.

- Approchez Delphine! Tâtez-moi ce gros cul! J'ai palpé les fesses, elles étaient plantureuses mais fermes. Mme Ravier s'est mise a en pétrir une sans ménagement, je l'ai imitée.

Nous étirions la peau entre nos doigts et nous la pincions avant de triturer sans douceur la couche graisseuse sous-jacente. Nathalie remuait sur la table et gémissait mais ne cherchait pas à échapper à ce traitement. J'étais terriblement excitée, au point que je mouillais mon épaisse culotte de coton. Je comprenais Mme Ravier qui fustigeait de paroles bles-santes la jeune femme, le visage illuminé par une joie malsaine.

Ivres de cruauté, nous pétrissions de plus belle, impri-mant des pinçons écarlates sur la chair pâle. Nous avons tiré chacune une fesse de notre côté pour les séparer. Dans la raie moite, l'anus s'ouvrait et se refermait. Nous avons tiré quelques poils tout autour pour l'entrebâiller. La cliente s'est crispée mais a vite cédé. La bordure ridée de son trou du cul s'est boursouflée puis creusée en son centre, montrant un peu de chair rose à l'intérieur. Mme Ravier s'est mise à la fesser énergiquement, frappant à pleines mains les fesses déjà meurtries par les pinçons. La cliente était devenue une sorte de pantin soumis. Elle s'est remise debout péniblement, le cul rougi. Ma patronne lui a tâté le ventre.

- Vous me paraissez bien "chargée," mademoi-selle. Vous souffrez d'un mauvais transit intestinal. Cela explique en partie vos problèmes. Delphine, préparez un lavement de deux litres pour mademoiselle. L'idée n'enchantait visiblement pas la jeune femme. Elle a tenté de discuter, mais Mme Ravier n' a rien voulu entendre.

Quand je suis revenue avec le broc plein d'eau chaude, j'ai dû réprimer un fou rire. La fille trônait à quatre pattes sur la table de massage, son gros cul tourné vers la porte, offrant un spectacle obscène et excitant. Mme Ravier la surveillait d'un œil sévère. La cliente s'est mise à geindre.

- Oh non, c'est impossible! Je ne pourrai jamais supporter tout ça. Mme Ravier l'a fait taire. J'ai posé le broc, un modèle ancien, émaillé, avec un long tuyau de caoutchouc terminé par une canule d'ébonite munie d'un robinet. Ma patronne m'a donné l'ordre de lubrifier l'anus de la jeune femme. Celle-ci a serré peureusement ses fesses quand j'ai approché le tube de pommade. Mme Ravier s'est mise en colère.

- Laissez-vous faire, sinon Delphine vous enfoncera la canule à sec. Elle a donné quelques tapes très sèches sur le derrière pour appuyer sa menace. Nathalie a bombé le cul, les joues rouges comme une pivoine. Elle exhibait en pleine lumière tout l'intérieur de sa raie aux poils collés par la sueur. Les bords de l'anus saillaient et entre ses cuisses, j'apercevais l'intérieur de sa vulve béante rouge et lui-sante. Un liseré de bave suintait entre les replis.

J'ai enduit mon doigt de vaseline et j'ai frôlé la bordure plissée de l'anus. Celui-ci s'est contracté comme une anémone de mer. J'ai joué à l'affoler en le touchant à plusieurs reprises à différents endroits. Puis j'ai appuyé au centre de la rondelle par petits mouvements circulaires. La pastille devenait plus souple sous mon index. La cliente est allée jusqu'à pousser timidement, pour m'aider. J'ai enfoncé mon doigt dans l'anus. L'inté-rieur était moite, fiévreux. Le trou s'élargissait pendant que je massais les parois du rectum.

Mme Ravier semblait prendre un intérêt malsain à mon manège. Elle m'a montré sans rien dire le sexe entre les cuisses écartées de la cliente. Il jutait de plus belle. Les grandes lèvres paraissaient enflées. J'ai aperçu le clitoridien me penchant. Je n'en avais jamais vu d'aussi long.

Quand l'anus a été bien souple, j'ai retiré mon doigt avec précaution. Cela a fait comme une bague chaude qui se crispait pour me retenir. J'ai tiré d'un coup, Nathalie a poussé un cri désemparé. Son trou du cul est resté ouvert un instant puis il s'est refermé lentement.

La canule est entrée comme dans du beurre, le robinet se trouvait juste au ras de la rondelle. Mme Ravier a suspendu le broc à un crochet puis nous avons ouvert les vannes. Il y a eu long silence pendant lequel on n'entendait que la respiration oppressée de Nathalie et un bruit d'écoulement excitant. J'en avais le slip collé au sexe et les pointes à vif de mes seins nus frottaient sur le nylon de ma blouse. J'étais incapable de détacher mon regard du ventre qui se gonflait comme une outre, contraignant la jeune femme à une posture de plus en plus cambrée. Son clitoris sortait monstrueusement, tout baveux.

Mme Ravier m'a mis la main aux fesses, directement sous ma blouse trop courte. Je mouillais tellement que j'avais écarté les cuisses comme une gamine qui a pissé dans sa culotte. Ma patronne m'a tâtée à travers le slip, pressant ma chatte entre ses doigts comme un fruit. Elle m'a chuchoté

- Tu coules comme une fontaine, petite cochonne! Je n'ai pas osé me dérober. Mme Ravier m'a pelotée un bon moment. Puis elle a glissé un doigt sous ma culotte et l'a insinué dans ma fente juteuse. Elle est remontée dans l'entaille de bas en haut, séparant les petites lèvres. J'ai écarté un peu plus les jambes pour lui faciliter la tâche. Elle a appuyé sur mon clitoris pour le faire sortir de sa gousse. J'ai dû me mordre les lèvres pour ne pas crier. Nathalie a poussé un gémissement en tournant la tête vers nous. Mme Ravier a retiré précipi-tamment sa main de sous ma blouse. Le visage de la cliente exprimait la détresse la plus totale.

- Je vous en supplie, Mme Ravier, arrêtez ça. Je... je sens que tout va ressortir. Mme Ravier m'a adressé un clin d'œil tout en m'ordonnant de masser le ventre de la cliente pour la détendre. Comprenant tout de suite j'ai appuyé sur la canule d'une main mais de l'autre j'ai glissé mes doigts dans le sexe de Nathalie. Elle a sursauté et s'est tordu le cou pour me regarder. Sa chatte était fiévreuse. Elle mouillait avec une abondance incroyable. J'ai décollé ses petites lèvres pour dégager le clitoris. Je me suis amusée à le pincer entre le pouce et l'index. Nathalie haletait bruyamment.

Mme Ravier ne restait pas inactive dans mon dos. Elle a enfoncé sa main sous ma culotte et m'a branlée, du bout des doigts. J'ai joui presque tout de suite et la cliente a fait de même sur la table de massage. Un gargouillement a annoncé un instant plus tard que le broc à lavement était vide. Ma patronne a fermé le robinet de la canule. Nous avons laissé la cliente un long moment dans la même position, avec le tuyau sortant de son derrière comme une queue bizarre.

Puis Mme Ravier m'a demandé de retirer la canule. Nathalie s'est agenouillée tant bien que mal sur la table. Elle ressemblait à une femme enceinte avec son ventre gonflé. Son anus se boursouflait sous la pression de l'eau. Elle restait figée sur la table, tétanisée par la crainte de ne pas pouvoir se retenir. Mme Ravier lui a donné une claque sur les fesses pour la faire descendre malgré ses protestations. Elle s'est remise debout avec précautions, ses mains soutenant son ventre. Elle pleurnichait comme une petite fille. Je voyais son anus se crisper de façon inquiétante sous le poids du lavement. Mme Ravier s'est moquée d'elle en lui palpant le ventre.

- Au moins, vous ne vous plaindrez pas d'avoir le ventre vide, ma chère. Vous voyez où vous mène votre honteuse gloutonnerie? Elle l'a obligée à marcher de long en large, les mains sur la tête pour que son ventre gonflé ressorte bien. Puis elle l'a forcée à sautiller sur place. L'eau clapotait dans son ventre de façon humiliante mais elle était mainte-nant au-delà de la honte, prête à tout pour que cesse son supplice.

Mme Ravier m'a dit d'aller chercher le gros pinceau à maquillage servant à étaler du rouge sur les joues. Elle a enfoncé le manche vernissé dans la chatte de la cliente. Nathalie, incapable de se contrôler sans doute, a commencé à aller et venir le long de la tige fichée dans son vagin. Elle a joui très vite. Mme Ravier, les lèvres pincées lui a indiqué la direction des toilettes. Elle s'y est rendue à petits pas précautionneux, avec le pinceau planté dans le sexe, ce qui l'obligeait à une ridicule démarche en canard.

Elle nous a rejointes un moment plus tard dans le magasin. Ce n'était plus la même femme. Habillée, discrètement maquillée, elle avait retrouvé toute sa superbe.

Patrick aranam@hotmail.com