J'ai découvert l'intérêt du lavement par hasard, confie René, 32 ans; j'étais souffrant et l'infirmière qui me soignait à domicile a dû me faire un lavement.

Cela ne me plaisait pas tellement de devoir me faire introduire cette grosse canule dans l'anus. Mais au moment où elle l'a enfoncée après m'avoir détendu l'anus en le massant avec une crème, je me suis senti si excité que j'ai eu le plus grand mal à lui cacher que je bandais.

Après son départ, j'ai fait l'amour avec mon amie à deux reprises. J'avais l'impression que le liquide chaud continuait à s'écouler en moi, faisant renaître mon excitation ; quelques jours plus tard, n'y tenant plus, j'ai demandé à ma partenaire de me faire un lavement en lui expliquant que ce n'était là qu'un jeu érotique qui pourrait éventuellement l'exciter elle-même avant de faire l'amour.

Depuis, nous faisons cela une ou deux fois par semaine; j'ai acheté dans un magasin spécialisé un bock à lavement d'un modèle ancien en fer émaillé blanc d'une contenance de deux litres. Quand il est plein, elle s'approche de moi nue, l'instrument à la main. Je m'agenouille sur le bord du lit, les cuisses serrées pour mieux sentir la présence de la canule couverte de vaseline qu'elle m'introduit lentement dans l'anus. Elle règle ensuite l'écoulement du liquide pour qu'il passe très lentement; j'aime bien qu'elle me masturbe en même temps. Elle suspend le bock au mur et vient se placer en levrette face à ma verge. Pendant que je la pénètre, rien n'est plus agréable que de sentir la chaleur du liquide se répandre dans mon ventre.