Anonymous


Vues: 26017 Created: 2007.07.29 Mis à jour: 2007.07.29

Ma Femme Me Torture L'anus

Ma Femme Me Torture L'anus

Quand ma femme souhaite me faire subir le doux supplice du lavement, voici comment elle s'y prend: elle baisse sa culotte et me demande de lui lécher le trou du cul en signe de totale soumission. Je m'exécute aussitôt. Elle remet sa culotte. Elle n'a que sa culotte et des bottes noires de dominatrice. Je dois, à mon corps défendant, à mon cul se fendant, préparer soigneusement les instruments de torture: le bock transparent de deux litres, le long tuyau souple et coquin, la canule cruelle et noire. Je remplis le bock d'eau tiède et un tantinet savonneuse. Quand tout est prêt, je dois me déshabiller complètement et supplier mon bourreau de m'administrer un lavement:

- Je l'ai cent fois mérité. Fais-moi mal à moi le mâle! Donne-moi un récital distribué par voie rectale.

Je m'agenouille sur le grand lit recouvert d'une alèse. Je suis confiant, je suis à l'aise. Je tends mon derrière. Je l'arrondis. Ma femme rit et me demande à quoi mon cul ressemble.

- A un postérieur rose de bébé, à une courge avec des couilles.

Quand j'ai plaisanté un peu, la cérémonie va commencer. Ma femme va officier. Elle met ses gants. Elle les fait claquer sur mes fesses.

- Pour que tu ne bouges pas ton cul, je vais te préparer.

Je dois uriner dans ses mains, sur un vase. Elle interrompt parfois le jet en pressant sur mon pis et ça me fait mal. J'ai pissé tout mon soûl. Elle me retrousse à fond le prépuce.

- Ainsi, tu seras à ma merci. Si tu gigotes, je te frottes le membre viril avec de l'eau de Cologne.

Je promets tout ce qu'elle voudra. Lorsqu'on n'a plus sa culotte, on oublie un peu la parlotte. Elle introduit lentement la canule après avoir lubrifié mon sphincter anal. Elle a mis de la vaseline pour mon cucul la praline. J'écarte les cuisses au maximum pour accueillir ce bizarre spéculum dans mon rectum. Je dois me coucher sur un coussin pour recevoir l'averse. Ainsi, mon gland s'y frottera et me chatouillera, m'agacera. Mon cul est bien proéminent et attend son lavement. Ma femme ouvre le robinet Elle laisse couler la flotte et je regarde sa culotte. Je gémis un peu, pour la forme.

- Surtout, ne bande pas trop! Si tu es bien sage, je te remettrai le prépuce en place. Je te masturberai pendant que les deux litres du lavement vagabonderont dans ton cul bien rond.

Je me laisse faire comme un enfant. J'ouvre mon cul bien grand, bien béat, bien bébé soumis. Je suis en paradis. Elle ôte parfois la canule, la glisse sur mon zizi, la replante plus profond, tout au fond du fondement, Mon cul se fait complice pour ces mouvements de coulisse. Je tente désespérément de serrer la canule dans mon cul. Mais ma femme est la plus forte. Elle retire l'embout, le rentre, le fait aller et venir. Parfois, elle arrête un peu ce manège et passe son doigt ganté dans ma raie, de bas en haut, de haut en bas. Elle insinue son index dans mon anus et ça remplace avantageusement la canule. J'ai le bout dur. Elle joue avec mon cul.Ca rentre et ça ressort, ce tuyau, comme un malin ressort. J'ai le cul bien offert et je me laisse faire.

De temps en temps, je fais semblant de refermer mon cul. Je serre les fesses ainsi qu'un étau. C'est un peu le jeu du chat et de la souris. Mon infirmière me caresse alors la peau sensible du gland et je m'empresse de lui offrir à nouveau mes fesses. Le tunnel est dégagé. Ma dominatrice a le feu vert. Elle me fait souffrir à l'endroit, à l'envers.

Je la supplie :

- Poursuis l'inondation de mon boyau! Verse de l'eau, beaucoup d'eau dans mon fondement Fais bobo à ton vilain garne-ment Son cul avait très soif! Il mérite ce que te lui infliges. Insères ta canule et injecte...!

Avec toutes ces intromissions, je vais tomber en pamoison. Ma femme entreprend une légère masturbation. A même le gland, ça fait la chair de poule. Elle ne me fait pas jouir. Elle veut faire durer mon plaisir. Elle me remplit de joie, elle me remplit. C'est si bon, toute cette eau entre les jambons. C'est fantastique, angélique, érotique... Ca gargouille. C'est pornographique. Le supplice a duré une heure. Mon cul va rendre l'eau.

- Voilà! J'ai terminé. Viens un peu àmes côtés.

Je m'assieds tant bien que mal. Je laisse échapper un peu d'eau. Elle me gronde:

- Puisque tu fais le gros cochon, je vais te mettre un cornichon.

Elle me l'enfonce dans le cul et il y fera bouchon. Je dois garder mon lavement pendant un long moment, supporter le clapotement de l'eau. Je peux enfin me soulager. Je serre les fesses pour y aller, au petit coin. Humilié, je reviens... Ma femme me propose un second lavement. Cette fois. elle me masturbera à fond, sans me retrousser le prépuce, pour me récompenser de ma patience. Elle me fait confiance. J'accepte. C'est elle l'ordonnatrice des pompes du clystère. Je remets sagement le ventre à terre. Et ça recommence. Le cul commence à me brûler. Heureusement que j'ai un pompier! Toutes les cinq minutes, je dois lécher son cul. Elle m'inflige un supplément: un litre encore, tout doucement; elle a tout son temps. Ca dure deux heures de tourment. Mon ventre se distend. Elle me chatouille les couilles, elle me tourneboule les deux boules. Vers elle, mon orifice anal se tend. Je me recule pour mieux offrir mon cul à la canule. Je m'empale. Mon cul devient moins pâle. Il s'étale; je ne pense qu a lui, à sa fête des histoires d'eau... Il est rempli mon postérieur, il n'a plus de vide à l'intérieur.

Je suis enfin dans son gant humide, pendant qu'elle me plante un doigt de son autre gant dans le cul tout mouillé. Je ne puis plus me retenir. La coquine sait s'y prendre pour me pourfendre. Je mouille abondamment, par derrière et par devant...

Je suis exténué, nu et clystérisé. Je vasouille, je gazouille... Mon cul a bu trois litres. Il est un peu ivre !

- Voilà, mon cher bébé! J'espère que tu t'es bien amusé. Si je t'ai fait un peu souffrir, dans une heure tu vas bien en rire...

L'eau coule!

Voilà comment on fait un lavement à son cher petit amant!

Laurent, 54 ans