Jean


Vues: 3904 Created: 2007.10.24 Mis à jour: 2018.11.11

Marthe

Marthe

Author: Jean

C’est un prénom féminin, mais aussi celui d’un petit animal a la douce fourrure ! Elle possédait en plus de ses quarante bons balais un caractère qui avait repoussé tous ses prétendants, même les moins regardants ce qui fait qu’on l’appelait encore mademoiselle. Non elle n’étais plus vierge, mais bien que de temps a autre, a index perdu, elle satisfasse quelque démangeaison intime elle ne faisait plus ça que par hygiène ! Son physique était plutôt avenant mais si mal mis en valeur ! Toujours une robe ou une jupe longue, la poitrine si masquée qu’elle ne donnait aucune envie de sucions même au plus assoiffée ou amoureux de protubérances mammaires. Des chaussures plates, une coiffure en chignon et sans maquillage, bref la bonne du curé parfaite ! Donc comme faute de vocation la place était libre et elle fut engagée presque sans solliciter la place. Le brave curé en poste lui donnait l’absolution par automatisme et n’écoutait même plus de si pauvres péchés qu’il aurait pu en rajouter pour rendre son ministère plus crédible.

Hors un jour le neveu du curé vint passer ses vacances chez son oncle et Marthe n’eut même pas plus de travail notre curé était appelé a déchiffrer quelques obscurs manuscrits jugées de valeur par l’évêché. Jean, les neveux révisaient ses cours de deuxième année de médecine avec grand sérieux et habitué à la fac entretenait la chambre faisant le lit et lavait bien sûr ses modestes affaires à la grande satisfaction de Marthe. Un jour justement ou le temps l’obligeait à un étendage intérieur, il dut demander à mademoiselle ou il pouvait étendre son linge ? Sans réfléchir plus avant elle lui indiqua la porte d’un grenier, séchoir ou à côté des champignon et autres fruits ou légumes mis à sécher bien a l’abri il y avait quelques fils dédiée au linge. Surprise ! Parmi le linge habituel, il se trouvait des sous-vêtements féminins et un vieux caleçon masculin. Si le caleçon était sans doute propriété de son oncle, les soutiens et les petites culottes étaient sans nul doute à Marthe. Il disposa son linge rapidement et examina les culottes. L’une d’elles attira son attention. Doublée de caoutchouc, sauf la taille elle paraissait identique a celle des bébés qui se mouillent. Marthe aurait-elle besoin de se protéger ? A l’entre jambes le caoutchouc paraissait avoir changé de couleur mais le toucher en étais doux. A regret il quitta le séchoir remarquant la rougeur des joues de Marthe qui paraissait troublée.

Vous n’aurez qu’à me donner votre linge si vous voulez ?

Ce n’est pas la peine pour si peut de chose !

Comme vous voudrez !

Dans la journée, ils eurent l’occasion de se rencontrer faute a un robinet qui sous l’effort de Marthe céda brusquement libérant un jet qui l’arrosa entièrement lui faisant pousser un cris et comme le métal étais rompus au ras du sol, le jet arrosait directement son ventre et ses fesses. Trempée dessus et dessous elle n’eut que la force d’appeler a l’aide Jean qui entrant dans la pièce mis quelques secondes a réaliser. Un seau lesté d’objet lourd eut raison de la violence du jet puis sur ses indications il trouva le robinet principal et à l’aide de quelques outils pliassent l’extrémité du tube pour en assurer l’étanchéité provisoire. La pression précautionneusement rétablie il rejoint Marthe qui semblais changée en statue de sel. Ce n’est pas grave des demain je vous répare tout celas, en attendant il faut vous changer.

Oui mais vous aussi.

En un instant il eut récupéré ses vêtements secs et fit l’échange puis ramassant ses affaires à elle les pliât bien soigneusement laissant l’étrange petite culotte sur le dessus de la pile ne sachant pas comment la plier. Il la chercha et en désespoir de cause voulut placer ses effets dans sa chambre qu’il ouvrit sans voir personne, il disposa ses affaires sur le lit ne pouvant s’empêcher de palper l’étrange culotte.

C’est alors que la porte de l’armoire restée ouverte se referma révélant

Marthe les bras engagés dans une robe et prisonnière du tissu du fait de sa précipitation.

Il put donc admirer des seins superbes et sous un ventre plat un sexe très peut velus avec de grosses lèvres roses luisantes et comme elle se retournait pour dissimuler son sexe un petit objet en tomba qu’elle s’empressa de ramasser lui dévoilant la totalité de son sexe et de son anus entre ses fesses ouvertes. Enfin la robe retomba sur elle cachant à Jean un spectacle qu’il regrettait déjà. Il ne pouvait dissimuler une formidable érection et en bégayant voulus sortir de la chambre a reculons sans prendre garde que sa main accrochait la fameuse culotte ce qui le figeât sur place.

Elle s’avança à son tour tendant la main. De toute façon elle ne vous irait pas !

Et ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps elle glissa sa main dans le pantalon de Jean pour saisir l’impressionnante verge dressée.

Et vous avez quel age ?

Rassurez-vous je suis majeur, timide, vierge mais majeur.

Et tu voudrais ?

Oh oui !

Avec moi ? Une vieille ?

Mais je vous trouve si belle et si désirable.

J’ai bien vu ! Et sentis !

Mais que faisait-tu avec ma culotte à la main ?

C’est que je n’en avais jamais vu comme ça doublée !

Ah oui Je t’expliquerai, mais a présent laisse mois il me faut m’habiller et préparer le repas.

Au fait merci pour le linge !

Il mangeât peu pourtant c’était délicieux quoi que simple.

Elle portait un chemisier simple qui bien que presque transparent laissant deviner la pointe des seins et l’aréole plus sombre. Sa jupe de velours bleu était bien plus courte que ce qu’il lui connaissait et elle avait relevé ses cheveux en une lourde queue-de-cheval ornée d‘un ruban du même velours que sa robe. En lui passant du pain, sa serviette il avait frôlé sa main et elle ne l’avait pas retiré alors s’armant d’audace il lui pris carrément lamain, l’enveloppant d’un geste caressant. Elle le laissa faire et même lui prit l’autre main pour compléter la caresse.

« Tu voudrais ? Avec moi ? » .

« Oh ! Oui apprenez-moi ! »

Se levant elle l’entraîna dans sa chambre, et alluma sa lampe de chevet pour éteindre la lumière trop crue du plafonnier.

Elle déboutonna sa chemise puis entreprise de défaire sa ceinture, les boutons n’eurent aucune résistance et le pantalon dégringola sur ses chevilles. Elle parcouru des lèvres la jeune poitrine, s’amusant des minuscules tétons qu’elle pris en bouche tandis qu’une main baissait le caleçon dégageant les fesses et devant aidait les tissus à franchir la verge dressée.

Se redressant les yeux brillant elle lui souffla

« A ton tour ! »

Déboutonnant le chemisier il fit jaillir une orgueilleuse poitrine, nue, les tétons pointant fièrement. Il les cueillis tour a tour pour les suçoter tandis que sa main caressait l’autre. A son tour il s’attaqua a l’agrafe de la jupe de velours qui chus sur la descente du lit. Avec tendresse et respect il fit glisser la simple petite culotte le long des jambes et la renversant sur le lit acheva de la débarrasser de l’inutile vêtement non sans en sentir puis toucher une subtile odeur et une moiteur attendue. Une très faible pilosité ne masquait nullement un sexe rose aux grosses lèvres proéminentes mais bien entrouvertes sur de plus petites au rose plus tendre et l’amorce d’une ouverture. De part et d’autre un filet aux reflets brillants annonçait une abondante lubrification intime. Au sommet, un petit capuchon dissimulait imparfaitement un bouton nacré. Elle se laissa détailler se tournant même quand il voulut voir ses fesses et les écartant a deux main quand il voulus détailler son périnée et enfin son anus rose et fripée. Elle se laissa lécher tout au long du périnée mais eut un mouvement de recul quand elle sentis qu’il parcourait de la langue son petit trou, déplissant la petite rose, puis la pointe de la langue tentant de s’y introduire elle voulus s’y opposer mais poussant dans son ventre réussi à faire saillir la petite taupinière et à l’entrouvrir à la langue fureteuse. Marthe ruisselait et Jean abandonnant provisoirement sa découverte partis explorer cette source et tenter de s’y abreuver. De la bouche il tenta de débusquer le petit bouton de nacre et comme elle s’ouvrait en grand se prêtant à cette caresse. N’en pouvant plus elle pressa sa tête contre l’ouverture et il fut surpris de sentir un jet dans sa gorge. Cette sorte de pipi sans presque de goût n’y d’odeur et il se mis a téter la source la faisant se tordre de plaisir.

A son tour elle le pris en bouche veillant bien a ne pas le faire jouir mais a bien le développer. Enfin le conduisant par la verge elle le guida en elle. Chaleur moite intense, puis resserrement sur lui, il lui semblait qu’elle le tétait voracement.

À son tour il veilla à ne pas perdre ses forces trop vite. Soudain alors qu’il la pilonnait sans relâche il sentis un jet brûlant contre son ventre , puis d’autres jets alors qu’elle se contractais spasmodiquement sur lui, lui faisant perdre son contrôle et a son tour jaillir en elle tandis qu’a nouveaux elle l’inondais. Il Restait au plus profond de son ventre et comme elle le maintenait il osa poser la question.

« Je me demande si tu fais pipi ou quoi ? »

« Les deux ! Quand je suis excitée ou que je jouis je ne contrôle plus mon sphincter ! »

« J’aime bien, c’est un peut humide mais j’aime bien »

Il ressortais doucement et comme elle voulait lui faire découvrir tous les plaisir elle le pris a nouveaux en bouche pour le raidir ce qui se produisit rapidement.

Elle se disposât sur le ventre en passant deux oreillers sous son ventre ce qui faisait ressortir ses fesses.

« Ne méprise pas mon petit trou ! Il peut nous donner bien du plaisir !

Et le tien aussi ! »

S’écartant les fesses a deux main elle lui présenta.

De la langue il tenta de l’amadouer, mais il dut forcer sa langue en pointe pour y entrer de quelques millimètres et en savourer un goût épicé.

Bien sur elle était très propre et il n’avait nullement le goût de goûter son caca !

Comme elle coulait toujours par-devant il n’eut aucune peine a lubrifier son doigt puis l’anus et ses environs. Enfin transportant sa mouille directement dans l’anus il entrepris d’y glisser son doigt, découvrant une caverne brûlante d’on les parois semblaient vivantes semblants l’aspirer. Il massa longuement l’orifice qui maintenant semblait totalement assouplis lui arrachant une petite plainte de plaisir a chaque aller-retour au plus loin possible. L’anus maintenant béant ne se satisfaisait plus d’un seul doigt et il joignit le majeur à son index ce qui bien que doublant l’intrusion ne semblait pas satisfaire totalement sa partenaire, qui tout en entretenant son érection semblait réclamer plus encore ! L’annulaire se joignit aux autres doigts et cette fois ci elle semblait vraiment comblée. Elle donnât un coup de reins pour éloigner ses doigts et lui ordonna en le guidant.

« Maintenant vient, entre jusqu’au fond ! »

Le disposant au bord de son anus, elle le lâcha pour mieux s’ouvrir, poussant dans son ventre elle fit ressortir un peut de chair rose ou il présenta la pointe de sa verge tout en poussant doucement. Il se sentit glisser dans cet endroit interdit mais si accueillant. Les chairs s’écartant autour du gland il entra les replis du prépuce en entier touchant bien le muscle rond qui semblait le déglutir doucement. Il était dans la caverne soyeuse et lubrifié par tous ses sucs les plus secrets il glissait toujours sentant les douces aspérités des parois et enfin il sentis la bague de l’anus buter contre son ventre. Sans bouger il percevait le ventre se mouvoir autour de lui et glissant sa main sous son ventre sentis le clitoris saillir, verge minuscule mais digne d’intérêt.

L’oreiller était trempé par sa mouille aménageant un nid douillet où il se caressait seul. Il lui saisit les seins les malaxant comme une pâte qu’il aurait pétris les faisant doubler de volume et déclanchant une tornade entre ses fesses. Il se sentis repoussé puis aspiré a nouveaux et il joignit ses mouvements aux siens doublant leur amplitude. Il allait si loin et elle s’ouvrait si grand qu’il put sentir l’autre bague qui ferme le colon.

Il avait trop de plaisir ! Il ne pouvait plus jouir et commençait à l’irriter.

Il la sentis s’entrer un doigt devant puis le glisser couvert de ses sécrétions juste entre ses fesses a lui. Il s’efforçât donc de lui faciliter la tache et elle pus enfin lui glisser son doigt déclenchant sa jouissance a la quelle elle joignis la sienne. Répondant a chaque jet par un mouvement et un jet par devant ils furent bientôt épuisé et il resta coincé entre ses fesses se dégonflant doucement.

« Lâche- moi j’ai envie de faire un gros pipi ! »

Serrant mieux les fesses elle lui répondit.

« Mais fait où tu es, j’aime ça aussi ! »

Le plus difficile est de lâcher le premier jet mais une fois la route établie il faut se dépêcher de continuer l’injection, souvent une érection survient et bloque la miction. Tout surpris de son exploit il avait remis ça, mais cette fois ci il baignait dans une soupe innommable le liquide injecté avait remonté dans le colon libérant les matières qui autrement auraient attendu leurs heures. Tout en restant en guise de bouchon il l’accompagna a la salle de bain ou le plus difficile fut d’entrer dans la baignoire. Pour hâter sa jouissance elle pris une poire vaginale qu’elle empli d’eau et a tâtons lui glissa l’embout dans l’anus. La première pression déclencha son plaisir et à chaque jet elle répondait en pressant la poire. Bien sur le plaisir même écuplée a une fin et comme il se repliait il fut soudain éjecté avec force recevant en prime le jet qu’elle avait en réserve. Elle le fit pivoter et lui écartant les fesses l’incita a se vider a son tour et comme elle lui maintenait les fesses ouvertes elle se pressa contre lui pour tenter de lui injecter son jet, tentative a demis concluante et la douche heureusement les débarrassa rapidement. Il fallut refaire un lit pour enfin se reposer mais il remarqua qu’elle enfilait la fameuse culotte y plaçant une garniture.

« Tu comprends son utilité maintenant ? »

« Moi qui voulait encore te caresser ! »

« Tu peux par-dessus la culotte, mais tu me donne une idée » ……..

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clyso Il ya 4 ans